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6/21/2025, 11:19:43 AM

Le Maroc se positionne Ă  la 70e place mondiale dans l’Indice 2025 de la transition Ă©nergĂ©tique publiĂ© par le Forum Ă©conomique mondial, enregistrant un recul de cinq rangs par rapport Ă  l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, oĂč il occupait la 65e position.

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6/21/2025, 11:19:51 AM

Le Maroc se positionne Ă  la 70e place mondiale dans l’Indice 2025 de la transition Ă©nergĂ©tique publiĂ© par le Forum Ă©conomique mondial, enregistrant un recul de cinq rangs par rapport Ă  l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, oĂč il occupait la 65e position. Le Forum Ă©conomique mondial (WEF) a dĂ©voilĂ© son rapport 2025 sur l’Indice de transition Ă©nergĂ©tique (ETI), qui Ă©value 118 pays en fonction de la performance actuelle de leurs systĂšmes Ă©nergĂ©tiques, en s’appuyant sur trois critĂšres, notamment la sĂ©curitĂ©, l’équitĂ© et la durabilitĂ©, auxquels s’ajoutent cinq dimensions mesurant la prĂ©paration Ă  la transition (rĂ©glementation, innovation, infrastructures, Ă©ducation et investissements). En se basant sur ces critĂšres, l’Indice a classĂ© le Maroc au 70e au niveau mondial, avec un score de 53,7 points, confirmant ainsi les dĂ©fis persistants dans ce domaine stratĂ©gique, d’autant plus qu’il a perdu cinq places par rapport au classement 2024 oĂč il se positionnait 65e. Le classement est d’ailleurs dominĂ© par les pays scandinaves, avec la SuĂšde en tĂȘte (77,5 points), suivie de la Finlande et du Danemark (71,6 points). Dans la rĂ©gion Moyen-Orient et Afrique du Nord, les Emirats arabes unis mĂšnent la danse, occupant la 43e place mondiale. En revanche, la RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo ferme le classement mondial Ă  la 118e position. De son cĂŽtĂ©, la Chine signe sa meilleure performance historique, se hissant Ă  la 12e place, portĂ©e par sa capacitĂ© d’innovation et son rĂŽle central dans les investissements mondiaux en Ă©nergie propre. Les Etats-Unis, quant Ă  eux, se positionnent au 17e rang, portĂ©s par une sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique renforcĂ©e et des avancĂ©es en durabilitĂ©. L’édition 2025 du rapport met en lumiĂšre des amĂ©liorations notables en matiĂšre d’équitĂ© Ă©nergĂ©tique et de durabilitĂ©, attribuĂ©es notamment Ă  la baisse des prix de l’énergie, aux rĂ©formes des subventions, Ă  une moindre intensitĂ© Ă©nergĂ©tique et d’émissions, ainsi qu’à la montĂ©e en puissance des Ă©nergies propres. Elle enregistre une hausse globale de 1,1 % des scores Ă  l’échelle mondiale, un rythme deux fois supĂ©rieur Ă  la moyenne des trois derniĂšres annĂ©es. Toutefois, la sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique progresse peu, et l’élan de prĂ©paration Ă  la transition semble marquer le pas. En 2024, la demande Ă©nergĂ©tique mondiale a bondi de 2,2 %, tirĂ©e notamment par l’électrification et l’essor de l’intelligence artificielle, mettant en lumiĂšre les fragilitĂ©s persistantes des chaĂźnes d’approvisionnement. MalgrĂ© une progression des Ă©nergies propres, les Ă©missions de CO2 atteignent un niveau record, signale le WEF. De plus, l’annĂ©e 2024 a mis Ă  nu de profondes vulnĂ©rabilitĂ©s dans les chaĂźnes d’approvisionnement Ă©nergĂ©tiques mondiales, sur fond de demande en forte hausse. Les conflits gĂ©opolitiques ont perturbĂ© les Ă©changes commerciaux, tandis que l’électrification rapide, notamment due Ă  la croissance exponentielle des centres de donnĂ©es liĂ©s Ă  l’intelligence artificielle, a fait grimper la consommation mondiale d’énergie de 2,2%, soit son rythme de croissance le plus rapide depuis plusieurs annĂ©es. En dĂ©pit de l’expansion continue des Ă©nergies renouvelables et d’une meilleure efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, les Ă©missions de CO2 liĂ©es Ă  l’énergie ont atteint un nouveau record de 37,8 milliards de tonnes, poursuit la mĂȘme source. Quant aux investissements dans les Ă©nergies propres, ils ont dĂ©passĂ© pour la premiĂšre fois la barre des 2.000 milliards de dollars, doublant le niveau de 2020. Toutefois, ce montant reste bien en deçà des 5.600 milliards de dollars par an jugĂ©s nĂ©cessaires pour maintenir le cap de la transition d’ici Ă  2030. Pire encore, le rythme de croissance de ces investissements a ralenti, passant Ă  11% en 2024, contre 24 Ă  29% les trois annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Pour le WEF, l’adoption de solutions adaptĂ©es aux rĂ©alitĂ©s locales s’impose comme un levier crucial pour rĂ©ussir la transition vers des Ă©nergies propres. Ces approches sur mesure sont dĂ©sormais indispensables pour garantir Ă  la fois la rĂ©silience des systĂšmes Ă©nergĂ©tiques et l’accessibilitĂ© Ă©conomique de l’énergie pour les populations. Le Forum insiste Ă©galement sur la nĂ©cessitĂ© d’accĂ©lĂ©rer l’innovation, en tirant pleinement parti des potentialitĂ©s offertes par l’intelligence artificielle, l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, les carburants propres, les technologies de stockage, les rĂ©seaux intelligents et d’autres solutions technologiques avancĂ©es. Pour construire des systĂšmes Ă©nergĂ©tiques plus solides, le rapport met l’accent sur plusieurs prioritĂ©s stratĂ©giques. Il s’agit tout d’abord d’instaurer des cadres politiques stables, mais suffisamment flexibles, afin de rassurer les investisseurs de long terme et de favoriser une coopĂ©ration internationale durable. Dans le mĂȘme esprit, une modernisation en profondeur des infrastructures Ă©nergĂ©tiques, notamment des rĂ©seaux Ă©lectriques, des dispositifs de stockage et des interconnexions, est jugĂ©e essentielle. Cela doit notamment s’appuyer sur le dĂ©veloppement du capital humain, affirme le Forum. En effet, la transition Ă©nergĂ©tique nĂ©cessite des compĂ©tences nouvelles, capables d’accompagner l’innovation technologique et d’en assurer une mise en Ɠuvre efficace sur le terrain. Par ailleurs, le rapport appelle Ă  accĂ©lĂ©rer la mise sur le marchĂ© des technologies propres, en particulier dans les secteurs dits « difficiles Ă  dĂ©carboner », comme l’industrie lourde ou le transport maritime. A cela s’ajoute l’augmentation des investissements dans les pays en dĂ©veloppement qui est jugĂ©e prioritaire pour Ă©viter une transition Ă©nergĂ©tique Ă  deux vitesses. #PrepaSucces

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6/14/2025, 6:05:11 PM

Implantations industrielles : la dynamique se poursuit Les zones industrielles du Royaume continuent d’attirer les grands acteurs mondiaux de l’industrie, notamment dans le secteur automobile. Et le rythme des annonces d’implantations et d’ouverture d’usines s’enchaĂźne. Pour le Maroc, c’est un pas important dans son processus de se transformer en hub industriel incontournable au Sud de l’Europe. De Tanger Med Zones au pĂŽle industriel de Casablanca, en passant par l’Atlantic Free Zone de KĂ©nitra, les implantations de grands acteurs continuent de s’enchaĂźner au Maroc. Il s’agit d’un signal fort du rĂŽle dĂ©terminant que le Royaume commence Ă  jouer en termes de relocalisation. Et ce qu’il importe de souligner, c’est que les acteurs chinois sont trĂšs prĂ©sents dans cette dynamique. Ce qui tĂ©moigne non seulement que le Maroc a rĂ©ussi, dans une certaine mesure, Ă  s’insĂ©rer dans la Nouvelle route de la soie chinoise, mais surtout, que le Royaume parvient progressivement Ă  devenir Ă  la fois une plateforme de relocalisation post-covid, aussi bien pour les entreprises europĂ©ennes que chinoises. Et certainement avec les chamboulements liĂ©s aux surtaxes douaniĂšres amĂ©ricaines du prĂ©sident Donald Trump, cette dynamique risque fort de se maintenir, Ă  condition que le Maroc poursuive son opĂ©ration sĂ©duction auprĂšs des grands acteurs mondiaux en quĂȘte d’environnement propice pour relocaliser leurs unitĂ©s de production. Dans cette optique, le dĂ©placement actuellement d’une dĂ©lĂ©gation du patronat marocain en CorĂ©e du Sud pourrait ouvrir la voie Ă  l’arrivĂ©e d’autres acteurs asiatiques importants, avec une option bien claire en ce qui concerne le transfert de technologies et de compĂ©tences. EuropĂ©ens et Chinois En attendant, c’est surtout dans l’industrie automobile et de la grande vitesse que l’on note des projets importants ces derniĂšres semaines. A Tanger, l’entreprise d’ingĂ©nierie suĂ©doise, SKF, vient d’inaugurer sa nouvelle usine. Ce nouveau site avec sa soixantaine d’emplois est dĂ©diĂ© Ă  la fabrication des composants pour des roulements magnĂ©tiques et des moteurs Ă©lectriques Ă  grande vitesse. Cette implantation fait suite Ă  l’annonce, quelques mois plus tĂŽt, de l’arrivĂ©e d’acteurs chinois dans l’industrie automobile, Ă  l’instar de Century Tire qui a dĂ©cidĂ© de rĂ©affecter Ă  Tanger son unitĂ© initialement prĂ©vue en Galice, en Espagne. C’est Ă©galement le cas d’un autre gĂ©ant chinois, Shanshan, spĂ©cialisĂ© dans les anodes en graphite synthĂ©tique. En outre, un autre leader chinois de production de fils d’acier pour pneus, Ă  savoir Shandong Daye, a rĂ©cemment confirmĂ© son investissement de plus de 1 MMDH, pour faire sortir son usine tangĂ©roise dĂ©nommĂ©e Daye Morocco. Agrandissement Cette attractivitĂ© croissante gagnĂ©e par les zones industrielles du Nord du Maroc, Ă  travers l’intĂ©rĂȘt des grands opĂ©rateurs mondiaux, a poussĂ© le gouvernement Ă  Ă©largir le pĂ©rimĂštre de Tanger Automotive City (TAC). D’ailleurs, toujours prĂšs de Tanger, l’entreprise espagnole Exlabesa vient d’inaugurer, en ce dĂ©but juin, Ă  Asilah, sa troisiĂšme ligne de production au Maroc, dans son usine Kaye Aluminium Tanger. Quelques jours plus tĂŽt, c’est le chinois BTR New Material Group, acteur majeur dans la fabrication de matĂ©riaux pour batteries, qui a promis de choisir Tanger pour Ă©tablir un nouveau site industriel stratĂ©gique. KĂ©nitra aussi D’autres pĂŽles industriels du Royaume parviennent de mĂȘme Ă  attirer des implantations d’acteurs Ă©trangers. C’est le cas de l’Atlantic Free Zone de KĂ©nitra. Sur place Ă©galement, les annonces d’implantations retentissent pĂ©riodiquement. On citera l’exemple de Gotion Power Morocco, filiale du fabricant sino-europĂ©en de batteries pour vĂ©hicules Ă©lectriques Gotion High Tech, avec la construction d’une gigafactory. Ce qui vient concrĂ©tiser l’accord d’investissement signĂ© avec le gouvernement marocain en juin 2024 pour crĂ©er la premiĂšre gigafactory en Afrique, pour un investissement total de 6,5 milliards de dollars. Par ailleurs, l’indien Samta Group a rĂ©cemment annoncĂ© le dĂ©marrage l’annĂ©e prochaine de la production d’aluminium dans la zone franche de KĂ©nitra, avant celle de cuivre, qui devrait suivre un an et demi plus tard. Il s’agit d’installations industrielles qui s’étendront sur 36.600 mĂštres carrĂ©s, avec un investissement de 70 millions de dollars, et la crĂ©ation de plus de 400 emplois directs et indirects. #PrepaSucces

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6/14/2025, 6:03:32 PM

*Implantations industrielles : la dynamique se poursuit*

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5/25/2025, 11:44:34 AM
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5/25/2025, 11:44:34 AM
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5/25/2025, 11:44:33 AM
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5/25/2025, 11:44:35 AM
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5/24/2025, 1:19:02 PM

https://www.youtube.com/live/KXOar9MiNi8?si=P8REM2Yha5BLvw0q

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5/14/2025, 12:20:17 PM

*Gestion des finances publiques : bientĂŽt, un DataLab axĂ© sur l’IA* Le ministĂšre de l’Économie et des Finances vient de lancer une consultation internationale pour choisir un prestataire en charge de concevoir un laboratoire de donnĂ©es (DataLab) et d’assurer les prestations d’assistance technique, de formation et de transfert de compĂ©tence y affĂ©rentes. Objectif : amĂ©liorer la gestion des finances publiques, Ă  travers une meilleure analyse des dĂ©penses et recettes ainsi qu’une amĂ©lioration des prĂ©visions budgĂ©taires. GrĂące Ă  sa polyvalence et son efficacitĂ©, l’intelligence artificielle (IA) est de plus en plus utilisĂ©e dans la gestion des giga-donnĂ©es. Le ministĂšre de l’Économie et des finances compte surfer sur cette dynamique Ă  travers la crĂ©ation d’un DataLab axĂ© sur l’IA et destinĂ© Ă  la collecte de donnĂ©es massives, qu’elles soient conventionnelles ou non. Ce laboratoire digital «permettra l’intĂ©gration de ces donnĂ©es, leur stockage, leur traitement et leur visualisation, tout en alimentant les systĂšmes dĂ©cisionnels et en exploitant les donnĂ©es Ă  l’aide de modĂšles d’IA et de machine learning», explique le ministĂšre. *Surveiller les donnĂ©es en temps rĂ©el et dĂ©tecter rapidement les tendances Ă©mergentes* D’aprĂšs le dĂ©partement de Nadia Fettah, ce laboratoire de donnĂ©es permettra de fĂ©dĂ©rer la collecte, l’analyse et l’interprĂ©tation des donnĂ©es pertinentes provenant de diffĂ©rentes sources du ministĂšre et de ses partenaires. «GrĂące Ă  l’analyse des donnĂ©es gĂ©nĂ©rĂ©es au niveau du DataLab, le ministĂšre souhaite disposer d’une meilleure comprĂ©hension des besoins et prĂ©fĂ©rences des acteurs Ă©conomiques et des citoyens. Cela peut aider Ă  cibler les services de maniĂšre plus prĂ©cise et Ă  proposer des solutions plus adaptĂ©es aux attentes des partenaires», ajoute-t-il. Ce DataLab va aussi amĂ©liorer la rĂ©activitĂ© et l’anticipation des problĂšmes Ă  travers la surveillance des donnĂ©es en temps rĂ©el, et permettre de dĂ©tecter rapidement les tendances Ă©mergentes afin de mettre en place des mesures prĂ©ventives pour Ă©viter les dysfonctionnements et intervenir rapidement pour rĂ©soudre les problĂšmes. *AmĂ©liorer la gestion des finances publiques* L’autre avantage, c’est l’amĂ©lioration de la gestion des finances publiques. En effet, ce puissant outil digital «peut conduire Ă  une prise de dĂ©cision Ă©clairĂ©e, Ă  une meilleure utilisation des ressources et Ă  une gestion financiĂšre plus transparente, et ce, Ă  travers une meilleure analyse des dĂ©penses et des recettes, une amĂ©lioration des prĂ©visions budgĂ©taires et une gestion efficiente de la dette et des obligations», explique le ministĂšre de l’Économie et des Finances. Afin de prĂ©parer la mise en place du DataLab, la Direction des affaires administratives et gĂ©nĂ©rales du ministĂšre vient de lancer une consultation internationale pour choisir le prestataire qui va le concevoir et assurer les prestations d’assistance technique, de formation et de transfert de compĂ©tence y affĂ©rentes, pour un budget estimĂ© Ă  6,14 millions de dirhams (MDH). *Cas d’usage axĂ©s sur quatre thĂ©matiques* ConcrĂštement, l’adjudicataire devra concevoir l’architecture fonctionnelle et technique du futur DataLab, identifier et documenter une vingtaine de cas d’usage, prototyper et en dĂ©ployer trois, dont un avec l’IA, et tracer une feuille de route priorisĂ©e et budgĂ©tisĂ©e pour dĂ©ployer et opĂ©rer le DataLab. Il aura aussi Ă  dĂ©finir les modalitĂ©s de gouvernance des donnĂ©es, Ă  dĂ©finir la structure organisationnelle et les besoins tant humains que techniques, et Ă  Ă©laborer les termes de rĂ©fĂ©rence techniques et fonctionnels de mise en place de ce laboratoire. Selon le ministĂšre, les cas d’usages seront axĂ©s sur l’analyse Ă©conomique et prĂ©visions, l’évaluation des politiques publiques, l’analyse des dĂ©penses publiques et leur impact sur l’économie et le commerce extĂ©rieur. «L’utilisation d’approches crĂ©atives et la combinaison des diffĂ©rentes sources de donnĂ©es pourront fournir une lecture et prĂ©diction complĂštes des Ă©changes extĂ©rieurs, permettant ainsi une prise de dĂ©cision plus informĂ©e notamment au niveau de l’analyse et du contrĂŽle des marchandises et des marchĂ©s», prĂ©cise l’institution. L’ouverture des plis est prĂ©vue pour le 25 juin. #PrepaSucces

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