Moi Makaya
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Revelations fracassantes, investigation & secrets du Palais du bord de mer. [email protected] #gabon 🇬🇦
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Oligui est tellement soumis à son maître Paris qu’il refuse même d’affirmer une identité gabonaise lorsqu’on le lui demande. Alors que la France a officiellement rétrocédé la base des Éléments français au Gabon (EFG) en juillet 2024, Paris lui a suggéré à plusieurs reprises de renommer l’enceinte militaire, le camp de Gaulle, comme l’ont fait d’autres pays africains soucieux de s’émanciper. Mais fidèle à son rôle de parfait exécutant de la Françafrique, Brice Clotaire Oligui Nguema s’accroche obstinément à cette appellation, préférant honorer un général français plutôt que de marquer une rupture avec l’ère coloniale. Aujourd’hui, il incarne à lui seul la soumission et la perpétuation de la domination française au #Gabon.
Noël Bertrand Boundzanga: « pour le salut de notre pays et pour avoir des vraies perspectives heureuses, il faut absolument de nouveaux acteurs. Les anciens ne sont pas ceux qui vont nous sauver demain et les gens manquent de courage pour appeler au respect des principes. Par exemple, le président de la transition a dit le 4 septembre qu'il remettrait le pouvoir aux civils à l'issue de l'organisation d'élections présidentielles libres et transparentes »
Affaire Mays Mouissi-Karpowership : Un règlement de compte? Le cas de @mays_kinga illustre parfaitement les dérives du pouvoir en place. Alors que le ministre est soupçonné d’avoir perçu des pots-de-vin, la manière dont il est traité interroge. Tandis que Charles M’ba s’est contenté d’une simple formalité administrative, Mays Mouissi a été soumis à une interminable audition de plus de six heures, contraint de justifier son train de vie comme s’il était déjà coupable. Cette inégalité de traitement soulève de sérieuses interrogations, d’autant plus que le ministre de l’Environnement n’a plus de lien direct avec les dossiers économiques à l’origine de sa convocation. Faut-il y voir un règlement de comptes ? Qui cherche à abattre le génie de Josué ? Une manœuvre sournoise semble être à l’œuvre, révélant les pratiques arbitraires d’un système où la justice devient un instrument de persécution politique.