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Chacun aura son avis sur ce reportage mais nous choisissons de le publier en entier vu la gravité de la situation…

EN IMAGES. Invasion des sargasses en Martinique : paysage de désolation au Marigot et à Sainte-Marie ( Photos Martinique La 1ère)

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Omniprésente dans notre société, la pornographie est souvent considérée comme un divertissement anodin, voire incontournable. Pourtant, derrière ses images léchées et ses promesses de plaisir immédiat, se dissimule une réalité bien plus sombre. Chez les hommes, une consommation intensive provoque une montée alarmante des troubles de l’érection. Les usagers quotidiens présentent jusqu’à quatre fois plus de risques de dysfonction sexuelle que les non-consommateurs. Certains médecins voient apparaître des cas précoces de panne, conséquence directe d’une hyperstimulation du cerveau par le porno. Le X propose une sexualité déformée, standardisée, loin de toute intimité authentique. À force de s’exposer à des corps “parfaits” et à des scénarios extrêmes, les gros consommateurs développent des attentes irréalistes, qui minent la satisfaction réelle et altèrent l’estime de soi. Dans la majorité des productions, la femme est réduite à un simple objet de jouissance, exhibée et utilisée, quand l’homme, souvent sans visage, incarne la domination. Le plaisir féminin y est souvent secondaire ou surjoué. Ce schéma alimente une vision déshumanisée de la sexualité, où la performance prime sur la connexion. Beaucoup d’hommes en ressortent déconnectés d’eux-mêmes et des autres, incapables d’échanges intimes réels. Agissant sur le cerveau comme une drogue, le porno peut créer une véritable dépendance. Près de 20 % des utilisateurs reconnaissent devoir recourir à des contenus toujours plus extrêmes pour ressentir de l’excitation. Ce conditionnement finit par désensibiliser aux plaisirs vécus dans la réalité. À cela s’ajoute une corrélation forte avec la dépression, la perte de motivation et l’isolement. En saturant artificiellement le circuit de la récompense, le porno épuise peu à peu le système nerveux, entraînant apathie, isolement social, chute de l’estime de soi. Beaucoup s’enfoncent dans ce mal-être sans en identifier la source : une addiction silencieuse mais dévastatrice. Les plus vulnérables à ces ravages restent les jeunes, exposés dès le plus jeune âge à une sexualité déformée, violente et stéréotypée. Une étude de l’IFOP révèle qu’en France, près d’un adolescent sur deux a déjà vu du porno avant ses 13 ans. Sans cadre, sans discussion, ces images deviennent leur première "éducation sexuelle". Résultat : confusion, angoisse, pression de performance, perte du rapport au consentement. De jeunes garçons imitent des pratiques vues à l’écran sans comprendre leur portée. De jeunes filles, elles, apprennent trop tôt à se conformer à une sexualité où leur plaisir compte peu. Loin de former, le porno formate – et laisse des traces profondes dans l’estime de soi, la perception du corps, et les premières expériences affectives. Quelques instants de plaisir virtuel peuvent ainsi coûter cher – trop cher. Ouvrir les yeux sur ces mécanismes invisibles, c’est déjà commencer à reprendre le pouvoir sur sa vie intime.
