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*🔴 MISE AU POINT :* *TikTok et X ne sont pas enterrés en RDC, ils continuent de fonctionner normalement.* Ne confondez pas cette situation avec ce qui s'est passé aux États-Unis. En réalité, il s'agit d'une restriction que l'état a imposé aux fournisseurs d'accès à Internet via télécommunication, tels que Vodacom, Airtel, Orange et Africel. Cependant, d'autres fournisseurs utilisant des technologies comme la fibre optique, les VPN ou les connexions satellitaires leur permettent toujours d'accéder à TikTok et X. C'est le cas pour moi et plusieurs autres congolais, nous continuons à nous y connecter et à y poster chaque jour. _Flavien MUGISHO_

Un arrêté organisant l'enseignement à distance vient d'être signé par madame la Ministre de l'éducation nationale, il vise à garantir l'accès à l'éducation malgré les défis sécuritaires, tout en préparant les jeunes aux exigences du 21e siècle grâce aux technologies modernes.

Face aux défis sécuritaires, le Serment du Citoyen rappelle l’importance de l’amour, de la loyauté et de la responsabilité envers la RDC. Depuis octobre, les élèves de tout le pays récitent ce serment quotidiennement pour intégrer ses valeurs : protéger le bien commun, respecter les autres et promouvoir l’unité nationale. Ensemble, restons solidaires et engagés pour construire un Congo uni, fort et prospère.

COMMENT ACCREDITER UN MÉDIA D'INFORMATION EN RDC ? L’accréditation d’une chaîne de télévision congolaise pour publier des informations nationales et internationales dépend de plusieurs étapes administratives, légales et techniques. Voici les démarches essentielles à suivre : 1. Obtenir une licence de radiodiffusion Légalement, toute chaîne de télévision opérant en République Démocratique du Congo (RDC) doit obtenir une licence auprès du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), qui régule les médias dans le pays. Déposer une demande officielle d’autorisation d’émettre. Respecter les exigences de contenu et d’éthique journalistique. S’acquitter des frais exigés. 2. S'enregistrer auprès du Ministère de la Communication et Médias Remplir les formalités administratives requises. Obtenir un récépissé de reconnaissance en tant qu’organe de presse. 3. Respecter la réglementation sur la presse et l’information Se conformer au Code de déontologie des journalistes en RDC. Engager des journalistes professionnels reconnus par l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC). Assurer un traitement équilibré et impartial de l’information. 4. Adhérer aux conventions internationales pour diffuser des informations mondiales S’abonner aux agences de presse internationales (AFP, Reuters, AP) pour obtenir des sources fiables. Établir des partenariats avec des médias étrangers. 5. Assurer la conformité technique Acquérir un matériel de diffusion conforme aux normes locales et internationales. Respecter les fréquences et normes techniques définies par l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPTC). 6. Éviter les sanctions et censures Vérifier que chaque contenu respecte la loi congolaise sur la presse. Éviter la diffusion de fausses nouvelles ou de propos jugés diffamatoires. 7. Optimiser sa crédibilité Former l’équipe éditoriale aux principes du journalisme responsable. Avoir une charte éditoriale claire. Mettre en place un conseil de rédaction indépendant pour garantir la fiabilité des informations.

*Les Syndicats des Agents de l'État Contestent la Suspension des Augmentations Salariales* Le Collectif des syndicats des agents de l’État congolais rejette la suspension des augmentations salariales, des corrections de grade et des mécanisations pour 12 mois, annoncée dans le cadre de l’effort de guerre. Ils dénoncent une injustice sociale, estimant que les fonctionnaires, déjà sous-payés et marginalisés, ne doivent pas être les seuls à supporter les sacrifices. Le collectif exige que l’effort de guerre commence par la réduction des dépenses excessives de la Présidence, du Gouvernement et du Parlement, qui accaparent d’importantes ressources publiques. Il met en garde contre une potentielle instabilité sociale si ces mesures ne sont pas révisées. Enfin, les syndicats réclament une revalorisation salariale, notamment un minimum de 500 $ pour les agents les moins gradés des forces de sécurité, comme condition à leur soutien à l’effort de guerre.