
Cameroon Liberation Movement / Mouvement de Libération du Cameroun
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About Cameroon Liberation Movement / Mouvement de Libération du Cameroun
*Ce Canal WhatsApp est réservé aux Camerounais qui croient en la vision, la passion et la compétence de Success Nkongho pour libérer le Cameroun des mains de ceux qui l'ont tenu en otage pendant des années. Faisonts cela a travers les élections présidentielles de 2025*/ This group is strickly for Cameroonians who believes in the vision, Passion and competence of Success Nkongho to liberate Cameroon from the hands of those who have held it hostage for years. Let's do it through the presidential elections of 2025.
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*DATES TO REMEMBER CONCERNING THE 2025 PRESIDENTIAL ELECTION IN CAMEROON* An insider who regularly shuttles between the Presidency and ELECAM informed me 2 hours ago, that President Paul Biya is expected to convene the Electoral body between the end of July and the first week of August 2025. According to this credible source, ELECAM will open their doors for candidates to submit their caution (deposit) — Submission of Candidatures — between August 15th and August 25th. Official Publication of Candidatures will take place between August 27th, 2025 and September 7th, 2025. Pre-Election Disputes at the Constitutional Council will occur between September 8th and September 25th, 2025. Official Campaigns are set to begin on September 27th and will run until midnight on October 11th. The Presidential Election is scheduled to take place on October 12th, 2025. Post-Election Disputes at the Constitutional Council will occur from October 15th to October 28th, 2025. Proclamation of Results is expected between October 29th, 2025 and November 3rd, 2025. Some of These dates could be changed, but the information comes from a reliable and well-placed source. https://www.facebook.com/share/p/16SuTPxKbV/

DATES À RETENIR CONCERNANT L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2025 AU CAMEROUN Un informateur qui effectue régulièrement des navettes entre la Présidence et ELECAM m’a informé il y a deux heures que le Président Paul Biya devrait convoquer le corps électoral entre la fin juillet et la première semaine du mois d’août 2025. Selon cette source crédible, ELECAM ouvrira ses portes pour le dépôt de caution et des dossiers de candidature entre le 15 août et le 25 août 2025. La publication officielle des candidatures aura lieu entre le 27 août et le 7 septembre 2025. Les contentieux préélectoraux devant le Conseil constitutionnel se dérouleront entre le 8 septembre et le 25 septembre 2025. La campagne électorale officielle débutera le 27 septembre et prendra fin à minuit le 11 octobre 2025. L’élection présidentielle est prévue pour le 12 octobre 2025. Les contentieux post-électoraux devant le Conseil constitutionnel auront lieu du 15 octobre au 28 octobre 2025. La proclamation des résultats est attendue entre le 29 octobre et le 3 novembre 2025. Certaines de ces dates pourraient être modifiées, mais l'information provient d'une source fiable et bien placée. https://www.facebook.com/share/p/16SuTPxKbV/

MESSAGE DU 20 MAI 2025 DE SUCCESS NKONGHO — LE LIBÉRATEUR ET L’UNIFICATEUR Mes chers compatriotes, En ce 20 mai 2025, alors que nous célébrons une nouvelle Journée de l’Unité au Cameroun sous le thème : « Armée et Nation unies pour un Cameroun tourné vers la Paix et la Prospérité », ce message se veut certes inspirant — mais reste tragiquement ironique. Car en vérité, depuis l’indépendance, notre armée ne s’est pas unie à la nation — elle l’a opprimée. Elle est devenue un instrument de peur, une ombre de la domination coloniale, un bouclier d’un régime qui gouverne contre le peuple, et non pour le peuple. La police et l’armée, au lieu de protéger la population, ont trop longtemps défendu les intérêts d’une minorité. Elles existent pour un seul homme, pas pour la nation, et elles ont brutalement réduit au silence toute contestation. En tant que votre candidat préféré, la voix des sans-voix, je le dis haut et fort : Les Camerounais méritent mieux que des slogans cérémoniaux annuels. Nous méritons la justice, la vérité, l’égalité et la libération ! Oui, j’accepte le résultat historique du référendum de 1972 — mais je ne peux pas nier, et je ne nierai jamais, la réalité selon laquelle des millions d’Anglophones considèrent ce référendum comme frauduleux, car il a fait passer le pays de la République Fédérale du Cameroun à la République Unie du Cameroun. Ce fut le début de leur marginalisation, une trahison douloureuse, emballée sous le nom de l’unité. Puis est venu le décret présidentiel N°84/001 du 4 février 1984 de Paul Biya, qui a effacé la mention « République Unie » pour proclamer « La République du Cameroun » — un acte que de nombreux anglophones ont interprété comme la suppression définitive de leur identité et de leur place constitutionnelle. Depuis, la crise anglophone a couvé dans les années 90, a explosé en 2016, et a aujourd’hui coûté des milliers de vies dans un conflit armé qui aurait pu être évité avec la vérité, le dialogue et la justice. Mais je vous fais aujourd’hui ce serment solennel, chers compatriotes : Une fois élu Président, nous ne cacherons pas ces vérités sous le tapis. Nous retournerons aux racines profondes de la crise anglophone — et de toutes les autres crises de notre pays — pour les résoudre avec courage, transparence et amour de la patrie. Camerounais, Camerounaises, La constitution actuelle n’est pas la nôtre. C’est une copie coloniale imposée à notre peuple. Elle n’est pas née de notre identité collective, ni de notre histoire, ni de notre culture. Elle ne parle pas notre vérité — elle la bâillonne. Je mènerai le processus de destruction de cette constitution coloniale pour donner naissance à une nouvelle constitution — rédigée par les Camerounais, pour les Camerounais. Nous nous assiérons comme une grande famille — plus de 250 tribus et groupes ethniques, tous les genres, toutes les régions — pour écrire une constitution qui reflète nos valeurs africaines, nos systèmes indigènes, nos aspirations panafricaines et nos réalités modernes. Conformément au thème de cette année, je le dis : Oui, nous devons unir notre armée à notre peuple — mais pas dans la peur et la brutalité. Dans mon gouvernement : L’armée servira le peuple, et non un seul homme. La police protégera au lieu de persécuter. Le Cameroun deviendra une nation sans hostilité, où le soldat est un frère, pas une menace. Nous bâtirons une armée républicaine, panafricaine et patriotique — et non une armée coloniale déguisée en uniforme camerounais. Nous ne parlerons pas seulement français et anglais — nous réveillerons une langue camerounaise indigène commune, enseignée dans toutes les écoles, parlée par tous, et adoptée comme symbole d’une unité authentique. Cette langue nous unira par les racines — et non par la surface. Dans mon administration : Les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire refléteront une représentation équitable de toutes les 250+ tribus et groupes ethniques du Cameroun. Le gâteau national sera partagé équitablement entre les 360 arrondissements, et non selon le favoritisme tribal ou la loyauté politique. Nous réécrirons nos livres d’histoire, pour effacer les mensonges coloniaux et restaurer nos héros, nos vérités et notre gloire indigène. Nous libérerons le Cameroun de l’éducation coloniale, de la religion imposée, des systèmes de gouvernance étrangers et de la manipulation occidentale. Nous mettrons fin à la démocratie occidentale pour introduire l’Afrisocratie, un système enraciné dans nos cultures, nos réalités et nos peuples. Ce n’est pas qu’un discours. C’est un nouveau pacte avec le peuple camerounais. Je suis Success Nkongho. Je ne suis pas un politicien. Je suis un libérateur, un réformateur politique, unificateur, la voix du futur. Ensemble, nous reconstruirons un Cameroun où chaque citoyen est égal, libre, fier et puissant. Un Cameroun où l’unité est réelle, et la paix est juste. Un Cameroun où le 20 mai signifie vraiment quelque chose pour tous les Camerounais — pas seulement pour ceux au pouvoir. Levons-nous, Unissons-nous et Libérons le Cameroun ! Success Nkongho Présidentiable 2025 Le Libérateur et l’Unificateur Mouvement de Libération du Cameroun « La Patrie avant tout »

20TH MAY, 2025 MESSAGE OF SUCCESS NKONGHO — THE LIBERATOR AND UNIFIER My Fellow Cameroonians As we celebrate this year's 20th May, 2025, which marks yet another Unity Day in Cameroon with the theme, “Army and Nation United for a Cameroon Turned Towards Peace and Prosperity”, is inspiring—yet tragically ironic because in truth, since independence, our army has not united with the nation—it has oppressed it. It has become a tool of fear, a shadow of colonial domination, and a shield for a regime that rules not for the people, but over them. The police and military, rather than protect the population, have for too long protected the interests of a few, they exist just for one man and not for the nation and they brutally silenced dissent. As your Preferred candidate, the voice of the voiceless, I boldly say this: Cameroonians deserve more than annual ceremonal slogans—we deserve justice, truth, equality, and liberation! Yes, I accept the historical outcome of the 1972 referendum—but I cannot deny, and I will never ignore, the truth that millions of Anglophones consider that referendum fraudulent which transitioned the country from the Federal Republic of Cameroon to the United Republic of Cameroon. It marked the beginning of their marginalization, a painful betrayal wrapped in the name of unity. Then came Paul Biya’s 1984 decree number 84/001 of 4th of February 1984, which erased the “United Republic” and declared “La République du Cameroun” — an act many Anglophones saw as the final erasure of their identity and constitutional place. Since then, the Anglophone Crisis has smoldered through the 90s, exploded in 2016, and has now consumed thousands of lives in an armed conflict that could have been avoided with truth, dialogue, and justice. But I make this solemn vow to you today fellow Cameroonians: Once elected as President, we shall not sweep these truths under the carpet. We shall go back to the roots of the Anglophone crisis—and every other crisis in the country —and we shall resolve them with courage, transparency, and love for country. Fellow Cameroonians, the current Constitution is not our Constitution. It is a colonial blueprint imposed on us. It was never born of our collective identity, history, or culture. It does not speak our truth—it silences it. I will lead the process to destroy this colonial Constitution and give birth to a new one—crafted by Cameroonians, for Cameroonians. We shall sit as one family—all over 250 tribes or ethnic groups, all genders, all regions—and we shall write a Constitution that reflects our African values, our indigenous systems, our Pan-Cameroonian aspirations, and our modern realities. In line with this year's theme, I say: Yes, we must unite our military and our people—but not under fear and brutality. In my administration: The military shall serve the people, not a single man. The police shall protect, not persecute and Cameroon shall become a hostility-free nation—where the soldier is a brother, not a threat. We shall create a Republican, Pan-African, and patriotic military, not a colonial army dressed in Cameroonian uniforms. We shall not only speak French and English—we shall revive one common indigenous Cameroonian language to be taught in all schools, spoken by all, and embraced as our symbol of true unity. That language will unite us at the roots—not at the surface. In my administration: The Executive, Legislative, and Judiciary will reflect equal representation of all over 250 tribes or ethnic groups. The national cake will be divided equally to all 360 subdivisions, not according to tribal privilege or political loyalty. We will rewrite our history books, removing the colonial lies and restoring our heroes, truths, and indigenous glory. We will liberate Cameroon from colonial education, religion, governance systems, and Western manipulation. We shall put an end to Western democracy and introduce Afrisocracy that suits our culture and people. This is not just a speech. This is a new covenant with the Cameroonian people. I am Success Nkongho. I am not a politician. I am a liberator, i am a political reformer. I am the unifier And I am the voice of the future. Together, we shall rebuild a Cameroon where every citizen is equal, free, proud, and powerful. A Cameroon where unity is real, and peace is just. A Cameroon where May 20th truly means something to every Cameroonian—not just those in power. Arise, Unite & Liberate Cameroon! Success Nkongho Presidential Candidate 2025 The Liberator and Unifier Cameroon Liberation Movement “Fatherland Above All”

Dear Lovers of Cameroon Liberation, *This is the summary of the Political Calendar as outlined in our meeting held yesterday, February 7, 2025, from 9:00 PM to 11:00 PM. The meeting brought together at least two representatives from each region, plus the diaspora.* *Political Calendar – 2025* 1. Political Return / Political Come back: March 2025 - This shall be a very big ceremony that shall gather at least 8000 people with over 50 journalists or media houses. 2. Appointment of National and International Representatives: March 2025 3. Appointment and Installation of Regional Representatives in the 10 Regions: April 2025 4. Appointment and Installation of Divisional Representatives in the 58 Divisions: May 2025 5. Appointment and Installation of Subdivisional Representatives in the 360 Subdivisions: June 2025 6. Investiture Ceremony for the Candidacy of Success Nkongho: July 2025. - This shall be a very big ceremony that shall gather at least 50.000 people with over 200 journalists or media houses 7. Training, Certification, and Equipping of 8,500 Election Supervisors: July 2025 8. Payment of ELECAM's Caution Fee: August 2025 9. Official Campaign Period: September 2025 10. Presidential Election: October 2025 11. Inauguration of the 3rd President of Cameroon: November 2025 *Important Notes:* Detailed discussions were held during the meeting, and confidential documents were shared with representatives. Each representative is expected to begin groundwork immediately upon installation. Official nationwide and overseas activities commence from the day of the Political Comeback in March 2025. Thank you, and may God bless you. *Success Nkongho* February 8, 2025

Lettre ouverte au Président Paul Biya à l'occasion de la célébration de son 92ème anniversaire Cher Président Paul Biya, Alors que vous célébrez aujourd’hui votre 92ème anniversaire, nous nous joignons à vos amis, votre famille et vos sympathisants pour vous souhaiter encore de nombreuses années de santé et de sagesse. Cependant, nous estimons qu'il est important d'aborder certaines questions majeures qui pèsent lourdement sur le cœur de nombreux Camerounais, y compris le nôtre. Vous avez semé une mauvaise graine en combattant votre père, votre mentor et votre prédécesseur, le Président Ahmadou Babatoura Ahidjo. IL N’EST PAS TROP TARD POUR FAIRE CE QUI EST JUSTE MAINTENANT. La présidence du Cameroun vous a été remise sur un plateau d’or par le Président Ahmadou Ahidjo, mais au lieu d’honorer ce cadeau, vous avez trahi votre prédécesseur et mentor. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles, malgré votre long règne, vous n’avez jamais été véritablement libre dans votre propre pays et vous semblez avoir si peur que les Camerounais s’unissent comme un seul homme. C’est pourquoi, pendant 43 ans, vous avez utilisé la stratégie du diviser pour régner, du tribalisme, etc. pour rester au pouvoir. Il est également rumeur que votre défunte épouse, la Première Dame Jeanne Irène Biya, n’est pas morte de cause naturelle, une tragédie qui jette une ombre supplémentaire sur votre présidence. N'AYEZ PAS PEUR QUE NOUS VENGIONS AHIDJO, NOUS VOUS PARDONNERONS, VOUS PROTÉGERONS ET PRENDRONS PÉRIODIQUEMENT DES CONSEILS AVISÉS DE VOUS. Excellence, Monsieur le Président, Depuis 43 ans, votre règne est marqué par l’intimidation, la manipulation et l’oppression. Sous votre leadership, l’armée, la police et la gendarmerie ne servent que vos intérêts et non ceux du peuple. Les citoyens sont réduits au silence et opprimés, et les libertés d’expression, d’opinion et d’association sont qualifiées d’insurrection, de terrorisme, de trahison ou de rébellion. Nous vivons dans une peur constante, sachant que s’exprimer pourrait nous coûter tout, y compris notre propre vie. SI VOUS SOUHAITEZ LAISSER UN HÉRITAGE POSITIF, VOUS DEVEZ VOUS EFFORCER DE CORRIGER CELA MAINTENANT. Une question pour vous, Monsieur le Président : Excellence, Monsieur le Président, Êtes-vous FIER de votre présidence ? Comment pouvez-vous gouverner un pays au 21ème siècle avec un système autoritaire et totalitaire ou une oligarchie au lieu de la démocratie que vous prétendez pratiquer ? Est-il normal qu'un pays ait plus de 85% de parlementaires issus de votre parti au pouvoir, le RDPC, et que seuls six sénateurs d’opposition sur cent aient été nommés par vous, juste pour faire bonne figure ? Dans quel pays au monde avez-vous déjà vu des sénateurs et des gouverneurs nommés par le président ? Pourquoi avez-vous réduit notre constitution à un simple journal légal et vous êtes-vous élevé au-dessus d’elle ? Pourquoi les ministres, les juges, la police et l'armée doivent-ils attendre vos ordres avant de prendre des décisions ? Pourquoi avez-vous instrumentalisé les institutions gouvernementales contre les citoyens camerounais ? Pourquoi, avec seulement 30 millions d’habitants, le Cameroun a-t-il presque autant de ministres que l’Inde, qui compte plus d’un milliard d’habitants ? Pourquoi le Cameroun est-il devenu un régime d’un seul homme sous votre leadership ? Pourquoi vous considérez-vous au-dessus de la loi du Cameroun ? Les libertés d’expression, d’opinion, d’association et même la liberté de rêver grand sont considérées par votre administration comme insurrection, terrorisme, rébellion et trahison. Ainsi, chaque Camerounais vit dans la peur et l’incertitude. Pire encore, même vos propres ministres vivent dans la peur permanente. Les médias sont réduits au silence, corrompus ou achetés par votre administration. Pourquoi ? Ne pouvez-vous au moins prétendre nous accorder la liberté de la presse ? Corruption et Échec de la Gouvernance : Sous votre règne, la corruption est devenue la norme. Des milliards de dollars ont été détournés, tandis que le peuple camerounais demeure dans la pauvreté. Votre gouvernement a échoué à fournir des services de base tels que la santé, l’éducation et les infrastructures. En 2022 et 2023, les Camerounais ont affirmé que vous n’étiez plus réellement aux commandes, mais plutôt une marionnette manipulée par vos collaborateurs d’un syndicat criminel exécutif. Vous avez confirmé cette réalité dans votre discours du 31 décembre 2023, en ne respectant aucune des promesses faites lors de cette allocution, y compris l’arrestation des personnes impliquées dans la corruption. Au lieu de cela, les activistes dénonçant la corruption ont été arrêtés au Cameroun et à l’étranger, tandis que les criminels exécutifs au pouvoir continuent d’abuser de leurs fonctions et de s’enrichir en toute impunité. Les Désastres sous Votre Règne et la Manière dont Votre Administration les a Commercialisés et Militarisés : Depuis 1982, votre présidence a été marquée par d’importantes catastrophes naturelles et artificielles, que votre administration a exploitées à des fins lucratives et répressives. Vos collaborateurs ont utilisé ces tragédies pour s’enrichir, tandis que les victimes en subissaient encore plus les conséquences. Quelques exemples incluent : Catastrophes naturelles : 1. Désastre du Lac Monoun (15 août 1984) – Une éruption limnique a tué 37 personnes. 2. Désastre du Lac Nyos (21 août 1986) – Une éruption limnique a tué plus de 1 700 personnes. 3. Éruptions du Mont Cameroun (1982, 1999, 2000, 2012) – Plusieurs éruptions avec des impacts locaux. 4. Explosion du train de Nsam (14 février 1998) – Une explosion a tué plus de 200 personnes. 5. Attaques de Boko Haram (2014–présent) – Des attaques terroristes qui ont causé des milliers de morts. 6. Glissements de terrain et inondations (2019–2022) – Plusieurs catastrophes ayant causé des morts et des déplacés. Catastrophes Naturelles : 1. Catastrophe du Lac Monoun (15 août 1984) – Une éruption limnique au Lac Monoun (Région de l'Ouest) a tué 37 personnes. 2. Catastrophe du Lac Nyos (21 août 1986) – Une éruption limnique catastrophique a tué plus de 1 700 personnes dans la Région du Nord-Ouest. 3. Éruptions du Mont Cameroun (1982, 1999, 2000, 2012) – Plusieurs éruptions, avec des impacts locaux, mais sans victimes majeures. 4. Explosion du Train de Nsam (14 février 1998) – Une explosion de camion-citerne à Nsam (Yaoundé) a tué plus de 200 personnes. 5. Attaques de Boko Haram (2014–présent) – Attaques terroristes dans la Région de l'Extrême-Nord, causant des milliers de morts et des déplacements massifs. 6. Roches & Inondations (2019–2022) – Plusieurs glissements de terrain et inondations à travers le pays, entraînant plusieurs morts et déplacements. Catastrophes Artificielles (Créées par l'Homme) : 1. Crash du Vol Mbanga Pongo (5 mai 2007) – Un vol de Kenya Airways s'est écrasé près de Douala, tuant 114 personnes. 2. Déraillement du Train d'Eséka (21 octobre 2016) – Un accident de train à Eséka a tué 79 personnes et en a blessé plus de 500. 3. Crise Anglophone (2016–présent) – Conflit armé entre séparatistes et forces gouvernementales, entraînant des milliers de morts et une crise humanitaire. 4. Insurrection de Boko Haram (2014–présent) – Attaques terroristes, massacres, enlèvements et déplacements à grande échelle. 5. Assassinat de Martinez Zogo (2022) – Votre administration a utilisé cette tragédie pour régler des comptes personnels et impliquer des rivaux politiques. Excellence, Monsieur le Président, L'affaire de Martinez Zogo a clairement montré au monde que vous n'êtes plus au controle du Cameroun, mais que vous êtes maintenu par quelques criminels gouvernementaux sans âme qui veulent rester pertinents en vous utilisant pour légitimer leur vol. Vous avez échoué à fournir des solutions adéquates ou un soutien aux victimes de ces catastrophes. Au lieu de cela, vous avez instrumentalisé ces tragédies à des fins politiques, vous enrichissant, ainsi que vos alliés, au détriment du peuple. Excellence, Monsieur le Président, Sous votre leadership, la corruption au Cameroun a atteint de nouveaux sommets. Votre administration a détourné tellement d'argent qu'elle pourrait rembourser la dette du Cameroun, construire Dubaï 18 fois au Cameroun, et offrir des emplois et des salaires gratuits à tous les Camerounais. Pourtant, à la place, le peuple continue de souffrir. DEPUIS L'INDÉPENDANCE, LE CAMEROUN EST LE SEUL PAYS AU MONDE DONT 60 % DES REVENUS SONT RESTÉS DANS LES POCHES DE QUELQUES INDIVIDUS PRIVILÉGIÉS TANDIS QUE LES MASSES MOURRANT DANS LA DOULEUR. Votre administration est tellement corrompue que vos alliés volent des choses dont ils n'ont même pas besoin. Vous avez passé les 43 dernières années de votre vie à prendre de mauvaises décisions et à nommer des voleurs sans cœur comme vos collaborateurs, et c'est pour cette raison qu'ils ne veulent pas la fin de votre régime, car cela mettrait fin à leur vol et, au final, beaucoup d'entre eux fuiraient en exil ou feraient face à la justice véritable d'un président démocratiquement élu. Excellence, tous les membres de votre gouvernement viennent du parti au pouvoir, le CPDM, et 99,99 % des partis dits « d’opposition » sont placés par vous. Vous avez amassé suffisamment d'argent pour acheter toute opposition décisive qui oserait ne pas vous soutenir. Cela doit cesser. Vous êtes devenu membre du gouvernement camerounais en 1962 à l'âge de 29 ans. Pourtant, depuis que vous êtes devenu président, aucun membre de votre gouvernement, même pas un directeur, un maire, un sous-préfet ou un inspecteur, n'a moins de 30 ans. Cela signifie-t-il que vous ne croyez pas en la jeunesse ? Pourquoi les jeunes souffrent-ils alors que quelques individus ethniquement privilégiés profitent de leurs positions à vie ? Pourquoi une génération numérique doit-elle être dirigée par une génération analogique ? Pourquoi tous les membres de votre gouvernement, censés être vos successeurs constitutionnels, ont-ils plus de 85 ans ? Un homme de 80 ans peut-il utiliser l'IA ou un ordinateur portable ? Qu'est-ce qu'un homme de 70 ou 80 ans comprend des réalités de cette génération ? Excellence, Monsieur le Président, Vous avez été nommé Chargé de Mission à la Présidence par le président Ahmadou Ahidjo à l'âge de 29 ans, puis vous êtes devenu Premier ministre à 42 ans. Le 6 novembre 1982, à l'âge de 49 ans, vous êtes devenu président du Cameroun. Pourtant, vous n'avez jamais donné de privilèges similaires à la jeunesse camerounaise. Depuis votre arrivée au pouvoir, vous n'avez pas permis des opportunités similaires pour la jeunesse du Cameroun. Chaque poste de pouvoir, des gouverneurs aux sous-préfets, est occupé par des personnes de plus de 60 ans, tandis que la jeune génération capable lutte. Pourquoi avez-vous exclu la jeunesse des postes de leadership et de prise de décision ? Pourquoi les jeunes Camerounais doivent-ils porter le poids de ce régime, tandis que quelques privilégiés profitent du pouvoir et de la richesse ? Pourquoi une génération analogique qui ne sait même pas utiliser un ordinateur ni comprendre quoi que ce soit de l'IA dirige-t-elle une génération numérique, ou le Cameroun recule-t-il sous votre leadership ? Monsieur le Président, ne pensez-vous pas qu'il est temps pour vous de démissionner et de permettre à une nouvelle génération de diriger ce pays ? Votre refus de permettre des élections libres et transparentes, et votre prise de pouvoir continue, ont conduit à une grande désillusion et à des souffrances. Votre administration a échoué, et le temps du changement est arrivé. Les Camerounais ne croient plus au système électoral sous votre surveillance. EN FAIT, MÊME VOS MINISTRES NE VOUS FONT PAS CONFIANCE, ILS VOUS UTILISENT JUSTE POUR VOLER DE L'ARGENT POUR EUX-MÊMES. Le peuple croit que vous ne permettrez jamais une élection juste, et que vous ne quitterez pas le pouvoir, sauf si vous y êtes forcé. Il est temps pour vous de lâcher prise et de permettre une transition pacifique vers un gouvernement qui représente véritablement le peuple. Monsieur Albert Nzokang a allégué que vous avez volé les victoires de Ni John Fru Ndi en 1992 et 1997, et Amidou Marafa Yahyah affirme que vous n'avez jamais remporté aucune élection au Cameroun. Les Camerounais croient qu'il n'y aura jamais d’élection libre et équitable sous votre supervision, ce qui signifie que vous ne voulez pas renoncer au pouvoir avant que vos ancêtres ne vous appellent chez eux. Cela suggère que vous détestez passionnément le Cameroun et les Camerounais, car vous avez transformé notre démocratie en une monarchie gérée par quelques oligarques qui sont vos amis et membres de votre famille. QUAND LE FILS De L'homme pauvre DEVIENDRA-T-IL QUELQU'UN AU CAMEROUN ? Sous votre leadership, seuls les enfants des riches, les petites amies des riches, les épouses des riches ou les amis et membres de famille des riches ont le privilège d’être admis dans des écoles prestigieuses comme l'ENAM, l'EMIA, etc. Ceux d'entre nous qui n'ont pas de parrains politiques devront payer de gros pots-de-vin avant de pouvoir être admis. Vos actions et le système de gouvernement que vous avez créé ont alimenté et créé des rebellions à l'intérieur du pays. Vous conduisez les Camerounais à croire qu'il ci n'y a pas de résistance et que vous mourrez sur le trône. Si ce n'est pas vrai, prouvez-moi le contraire. Tous les responsables gouvernementaux, les chefs traditionnels et les leaders politiques soutenant votre candidature se moquent de vous. Ils vous détestent, et ce sont des ennemis du Cameroun. Je vous exhorte à démissionner honorablement et à retourner au village. Nous vous respecterons, vous honorerons et vous protégerons en tant que patriarche. Je vous ai donné ce conseil en 2011, et je le fais à nouveau aujourd'hui. VOUS POUVEZ UTILISER CES DERNIERS MOIS DE VOTRE TRÈS DERNIER MANDAT POUR CORRIGER TOUTES LES ERREURS DE VOS 43 ANS DE GOUVERNANCE. Nous, le Mouvement de Libération du Cameroun, sommes prêts à guider le Cameroun vers un avenir meilleur. Nous vous demandons de vous retirer avec honneur et de laisser la place à la nouvelle génération. Excellence, en tant que panafricaniste convaincu des valeurs et de la culture africaines, je vous aime en tant qu'être humain, je vous respecte en tant que père et patriarche, et je vous protégerai à tout moment après votre règne. Toutefois, bien que vous soyez un père respecté, vous êtes un mauvais président, Monsieur le Président. Nous vous prions d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de notre plus haute considération. La Patrie avant Tout! Vive le Cameroun libre et uni ! Mouvement de Libération du Cameroun(MLC) 13 Février 2025