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🎙️La justice sans fraternité oublie la bonté, et la bonté sans respect devient vulnérabilité.🎙️ La justice doit être accompagnée de solidarité pour être véritablement efficace. Ignorer la gentillesse des autres peut mener à des abus. En même temps, la bonté, si elle n'est pas respectée, peut être exploitée. Il est essentiel de reconnaître et de valoriser ceux qui agissent avec empathie pour construire une société juste et fraternelle. *JS♥️MALUMALU*


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*RDC : INTERDICTION DE PHÉNOMÈNE DES MAQUIS DANS LE CADRE DES PRÉPARATIFS DE l'EXETAT 2025* L'EXETAT, ou Examen d'État, est une étape cruciale pour les élèves de la République Démocratique du Congo. Alors que les préparatifs pour l'examen de 2025 battent leur plein, un phénomène préoccupant appelé "maquis" émerge, suscitant des inquiétudes parmi les autorités éducatives et les parents. Les "maquis" désignent des groupes clandestins ou des centres d'études non autorisés qui se sont multipliés ces dernières années. Ces structures, souvent dirigées par des enseignants non qualifiés, promettent une préparation rapide et efficace aux examens, attirant ainsi des élèves en quête de réussite. Ce phénomène a déjà été interdit depuis l'année scolaire 2019-2020 par l'ancien ministre de l'Éducation Primaire, Secondaire et Technique (EPST), Willy Bakonga. Cette décision a été motivée non seulement par la crise liée à la COVID-19, mais aussi par les mauvaises pratiques observées parmi les élèves au sein des maquis. Les autorités ont donc jugé nécessaire de prendre des mesures strictes pour protéger l'intégrité du système éducatif. Le développement des maquis a des conséquences néfastes sur le système éducatif. Les élèves qui choisissent d'y participer risquent de recevoir une éducation de qualité inférieure, ce qui peut nuire à leur performance lors de l'EXETAT. De plus, ces pratiques soulèvent des questions sur l'intégrité des examens et la valeur des diplômes obtenus. Face à cette situation, l'Inspection Générale de l'Éducation a pris des mesures pour contrer ce phénomène. Des campagnes de sensibilisation sont mises en place pour informer les élèves et les parents des dangers liés aux maquis. Les directions des écoles peuvent également soutenir cette initiative en veillant à ce que les élèves soient informés des risques et en les encourageant à fréquenter des établissements reconnus. Le phénomène des maquis représente un défi majeur pour garantir une éducation de qualité en République Démocratique du Congo. Il est essentiel que les autorités, les enseignants et les parents collaborent pour promouvoir des solutions durables et veiller à ce que tous les élèves aient accès à une préparation adéquate pour l'EXETAT 2025. #Planète univers avec JS #Jacques Malumalu


🎙️Construis ton avenir avec ardeur, mais n'oublie jamais que la justice et la fraternité sont les fondations les plus solides.🎙️ Voici l'importance du courage à travailler avec détermination tout en valorisant l'éthique et la solidarité.


*JS ♥️ : Un Artisan de la Justice et de la Fraternité* JS Sa force réside dans sa capacité à faire ce qu'il sait faire, avec une détermination et une sincérité qui le caractérisent. Chaque mot qu'il écrit est un acte de communication, une manière de s'exprimer sur des sujets qui lui tiennent à cœur : la justice et la fraternité. JS ne se contente pas de suivre des tendances ou d'imiter les autres. Il possède une quête intérieure, cherchant ce qui est vrai et juste. Sa sincérité dans ses actions et ses écrits lui permet d'établir un lien authentique avec son public. Il ne s'agit pas seulement de transmettre un message, mais de le faire avec une conviction profonde. L'éducation de JS joue un rôle crucial dans son parcours. Il applique les leçons qu'il a apprises avec discernement, sachant que chaque expérience est une occasion d'apprendre. Il ne voit pas l'apprentissage comme un simple transfert de connaissances, mais comme un processus évolutif qui enrichit sa perspective. JS refuse de placer des idoles sur un piédestal. Il comprend que chaque individu a ses propres intérêts, que ce soit pour le bien ou le mal. Cette vision nuancée lui permet d'applaudir ceux qui réussissent mieux que lui, non pas par jalousie, mais par reconnaissance de la valeur d'autrui. Ce respect mutuel crée un écosystème où chacun peut croître et s'améliorer. Le véritable esprit de JS réside dans cette réciprocité. Il sait que l'échange d'idées et de talents est ce qui nourrit la créativité et l'innovation. En célébrant les succès des autres, il cultive une atmosphère de fraternité, où chacun se sent encouragé à donner le meilleur de soi-même. JS ♥️ est donc plus qu'un simple communicateur ; il est un modèle de passion, d'intégrité et d'humanité. Sa philosophie de vie inspire et encourage ceux qui l'entourent à embrasser leurs propres quêtes avec le même enthousiasme et la même sincérité.


*RDC : INTERDICTION DE PHÉNOMÈNE DES MAQUIS DANS LE CADRE DES PRÉPARATIFS DE l'EXETAT 2025* L'EXETAT, ou Examen d'État, est une étape cruciale pour les élèves de la République Démocratique du Congo. Alors que les préparatifs pour l'examen de 2025 battent leur plein, un phénomène préoccupant appelé "maquis" émerge, suscitant des inquiétudes parmi les autorités éducatives et les parents. Les "maquis" désignent des groupes clandestins ou des centres d'études non autorisés qui se sont multipliés ces dernières années. Ces structures, souvent dirigées par des enseignants non qualifiés, promettent une préparation rapide et efficace aux examens, attirant ainsi des élèves en quête de réussite. Ce phénomène a déjà été interdit depuis l'année scolaire 2019-2020 par l'ancien ministre de l'Éducation Primaire, Secondaire et Technique (EPST), Willy Bakonga. Cette décision a été motivée non seulement par la crise liée à la COVID-19, mais aussi par les mauvaises pratiques observées parmi les élèves au sein des maquis. Les autorités ont donc jugé nécessaire de prendre des mesures strictes pour protéger l'intégrité du système éducatif. Le développement des maquis a des conséquences néfastes sur le système éducatif. Les élèves qui choisissent d'y participer risquent de recevoir une éducation de qualité inférieure, ce qui peut nuire à leur performance lors de l'EXETAT. De plus, ces pratiques soulèvent des questions sur l'intégrité des examens et la valeur des diplômes obtenus. Face à cette situation, l'Inspection Générale de l'Éducation a pris des mesures pour contrer ce phénomène. Des campagnes de sensibilisation sont mises en place pour informer les élèves et les parents des dangers liés aux maquis. Les directions des écoles peuvent également soutenir cette initiative en veillant à ce que les élèves soient informés des risques et en les encourageant à fréquenter des établissements reconnus. Le phénomène des maquis représente un défi majeur pour garantir une éducation de qualité en République Démocratique du Congo. Il est essentiel que les autorités, les enseignants et les parents collaborent pour promouvoir des solutions durables et veiller à ce que tous les élèves aient accès à une préparation adéquate pour l'EXETAT 2025. #Planète univers avec JS #Jacques Malumalu


*RWANDA : LES RESSORTISSANTS RWANDAIS RAPATRIÉS DE RDC VIVENT UN « RETOUR FORCÉ »* Depuis le 17 mai, près de 1 800 ressortissants rwandais vivant en République Démocratique du Congo (RDC) ont été rapatriés vers leur pays d'origine. La majorité de ces personnes résidaient au Nord-Kivu depuis des décennies. Accusés d'être en situation irrégulière par le groupe rebelle AFC-M23, ils ont été arrêtés et remis à l'UNHCR, qui a organisé leur transport vers le Rwanda. Actuellement, ces rapatriés sont accueillis dans deux centres de transit au Rwanda, dont l'un est situé à Kijote, à environ 30 kilomètres de la frontière avec Goma. Dans ce centre, près de 360 personnes sont hébergées. Beaucoup d'entre eux expriment leur mécontentement quant aux conditions de leur retour, le qualifiant de « retour forcé ». Un rapatrié a décrit comment ils ont été surpris par les militaires à 4 heures du matin, pensant qu'ils allaient simplement être interrogés, avant d'apprendre qu'ils allaient être renvoyés au Rwanda. D'autres rapatriés, ayant vécu en RDC depuis longtemps, craignent de devoir tout recommencer à zéro, ayant souvent investi dans des terres et des biens dans leur pays d'accueil. Les autorités rwandaises, de leur côté, affirment qu'un soutien matériel et financier sera fourni aux rapatriés à leur sortie des centres de transit. Le ministre des Affaires étrangères a également mentionné que les rapatriés obtiendront leurs papiers et bénéficieront de formations pour faciliter leur réintégration dans la société rwandaise. Cependant, ces retours récents ne se sont pas déroulés selon les modalités habituelles, ce qui a suscité des critiques de la part de l'UNHCR, qui a souligné que ces rapatriements ont eu lieu sous pression. Les retours volontaires de réfugiés rwandais en RDC sont généralement organisés chaque année dans le cadre d'un accord tripartite entre le Rwanda, la RDC et le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés. Depuis 2010, plus de 82 000 retours ont été facilités, mais la situation actuelle soulève des inquiétudes quant à la manière dont ces rapatriements sont gérés. #jacques MaluMalu


*DIPLOMATIE : ACCORD MINIER ENTRE LA RDC ET LE RWANDA : UN CONTEXTE TENDU* Malgré la situation sécuritaire précaire dans l'est de la République Démocratique du Congo (RDC), les discussions entre Kigali et Kinshasa concernant des accords miniers se poursuivent. Ces négociations, soutenues par le département d'État américain, visent à établir des partenariats avec des entreprises américaines pour l'exploitation des ressources minérales congolaises. Un protocole d'accord a déjà été signé du côté rwandais, tandis que les négociations continuent à Kinshasa. Ces discussions portent sur un accord commercial qui pourrait s'étendre sur plusieurs décennies, englobant une grande partie du sous-sol congolais, au-delà des régions traditionnelles comme le Katanga et le Kivu. Kinshasa s'appuie sur des cabinets de lobbying américains, tels que Von Batten-Montague-York, pour influencer les décisions politiques et économiques aux États-Unis. Cela souligne l'importance stratégique de ces accords pour la RDC. Kinshasa insiste sur la nécessité de transformer les ressources sur place, bien que cette exigence ne soit pas encore garantie à court terme. La situation sécuritaire dans l'est de la RDC reste tendue, avec des affrontements récents entre les forces armées congolaises (FARDC) et le mouvement rebelle M23. La présence de Joseph Kabila à Goma a également exacerbé les tensions entre les autorités de Kinshasa et les acteurs locaux. Des combats ont été signalés dans plusieurs localités, notamment à Walikale et Rutshuru. L'intérêt des investisseurs américains pour le secteur minier congolais demeure fort, en particulier pour le lithium, malgré la concurrence chinoise. La société californienne KoBold Metals, soutenue par des figures comme Jeff Bezos et Bill Gates, est déjà active en Zambie et vise à s'implanter en RDC. Les discussions se poursuivent avec des présentations prévues aux États-Unis, où la Première ministre congolaise est attendue pour encourager les investissements. Cependant, la prudence des entreprises face à la situation sécuritaire pourrait freiner les initiatives. Pour enrichir cet article, nous avons contacté plusieurs experts et acteurs du secteur. Dr. Jean-Pierre Mbuyi, analyste politique, souligne que les accords miniers sont cruciaux pour la RDC, mais que la sécurité doit être une priorité. Sans stabilité, aucun investisseur ne prendra le risque de s'engager. Mme Aline Ndundu, représentante d'une ONG locale, ajoute que les ressources doivent bénéficier aux populations locales et espère que les négociations incluront des clauses sur le développement communautaire. M. Eric Ngoy, entrepreneur dans le secteur minier, mentionne que l'intérêt américain est réel, mais qu'il faut des garanties de sécurité, car les entreprises attendent de voir comment la situation évolue. #jacques MaluMalu


*POLITIQUE : JOSEPH KABILA APPELLE À LA FIN DE LA DICTATURE EN RDC* Joseph Kabila, l'ancien président de la République démocratique du Congo (RDC), a récemment pris la parole pour dénoncer ce qu'il appelle une "dictature" au sein du gouvernement congolais. Cette déclaration a eu lieu le 23 mai 2025, au lendemain de la levée de son immunité parlementaire par le Sénat. Dans une allocution diffusée en ligne, Kabila a affirmé que « la dictature doit prendre fin » et a appelé à la restauration de la démocratie ainsi qu'à une bonne gouvernance économique et sociale. La levée de son immunité parlementaire a ouvert la voie à des poursuites judiciaires contre lui, notamment pour des accusations de trahison et de complicité avec le groupe armé M23. Kabila a également annoncé son intention de se rendre à Goma, une ville de l'est de la RDC actuellement sous le contrôle du M23, un groupe armé soutenu par le Rwanda. Dans son discours, Kabila a critiqué le régime de Kinshasa, l'accusant de prendre des "décisions arbitraires" basées sur des rumeurs. Il a exprimé son désir de "participer au changement" et a souligné que le pays est "gravement malade" et au bord de l'implosion. Il a également dénoncé les violations de la Constitution et a qualifié les institutions actuelles d'illégitimes. Kabila fait face à des accusations graves, y compris des allégations de complicité avec le M23 et des discussions sur un complot pour assassiner l'actuel président, Félix Tshisekedi. Selon des témoignages, il aurait suggéré qu'un coup d'État militaire serait préférable à un assassinat, qui pourrait faire de Tshisekedi un "martyr". L'allocution de Joseph Kabila marque un tournant significatif dans la politique congolaise, alors qu'il tente de reprendre une position d'influence face à un gouvernement qu'il critique ouvertement. Sa déclaration sur la nécessité de mettre fin à la dictature et de restaurer la démocratie résonne dans un contexte de tensions politiques croissantes en RDC. #Planète universavecJS #JSMALUMALU


Bonjour à tous, Je suis *JS MALUMALU* et aujourd'hui, je souhaite partager quelques réflexions sur l'élégance mentale, l'esprit de travail et la collaboration. L'élégance mentale commence par la curiosité. Restez ouvert aux nouvelles idées et perspectives, car l'apprentissage continu enrichit notre esprit. Pratiquer l'empathie est également essentiel, car comprendre les émotions des autres renforce nos relations et crée un environnement respectueux. Enfin, exprimez-vous avec clarté. Une communication claire et respectueuse est la clé pour établir des connexions solides. En ce qui concerne l'esprit de travail, il est important de se fixer des objectifs clairs et réalistes, car cela aide à rester motivé et concentré. La discipline joue un rôle crucial ; la régularité et le sérieux dans notre travail conduisent à des résultats concrets. N'oubliez pas que chaque échec est une occasion d'apprendre. Ne laissez pas la peur de l'échec vous paralyser. La collaboration est également fondamentale. Faites preuve d'ouverture d'esprit en acceptant les critiques constructives et en étant prêt à adapter vos idées. Valorisez la diversité au sein de votre équipe, car chaque membre apporte des compétences uniques. Enfin, maintenez une communication ouverte pour assurer la cohésion et le partage d'idées. En somme, inspirez-vous de ces principes pour construire une carrière enrichissante et réussir dans vos relations professionnelles. L'élégance mentale et le travail d'équipe sont des atouts précieux dans le monde d'aujourd'hui.
