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We want to promote Change for Africa, Freedom and Peace in the World via a Multipolar International World Order ./ Nous faisons La promotion d'une Afrique libre ET UN nouvel ordre mondial multipolaire sous le leadership DES BRICS. Nous faisons La promotion des Eats Unis d'Afrique par UN PANAFRICANISME Conquerant Dans la Solidarité,la liberté et la Justice pour TOUS . Promouvoir l'organisation Generation BRICS+ ET les BRICS+ par le Panafricanisme Revolutionnaire pour la PAIX dans le monde.
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Le Dr AHOUA DON MELLO Vice President de l'Alliance Internationale des BRICS en charge des Projets Stratégiques et VP du PPA-CI est arrivé a Geneve cette semaine

Le President Tiani du Niger precise la determination de son pays face aux colons Et leurs valets au Benin Et ailleurs

 :La haine quâĂ©prouve le prĂ©sident Ouattara pour le prĂ©sident Gbagbo , risque de lui causer un AVC.

đš Report de lâĂ©vĂ©nement âTalk with ADMâ La 2á” Ă©dition initialement prĂ©vue le 8 juin est reportĂ©e au samedi 28 juin 2025 Ă 15h đïž, suite Ă un changement de calendrier du Ministre Ahoua Don Mello. đ Salle SNEPPCI, Yopougon (1er pont sable) đŻ ThĂšme : BĂątir une Nation MaĂźtresse de son Destin : Jeunesse, Entrepreneuriat, Industrialisation et Croissance Inclusive â Nouveau ModĂšle dans un Monde Multipolaire. đ EntrĂ©e gratuite â inscription obligatoire đ https://ahouadonmello.com/talk-with-ahoua-don-mello-2-0/ âđŸ Pour les bĂątisseurs de demain. LâAfrique nâattend plus, elle agit.


De Retour de sa Conference PUBLIQUE en Italie le weekend dernier, le Dr AHOUA DON MELLO a fait escale a Paris ce Mardi oĂș il a Ă©tĂ© recu a laeroport par la Haute Direction du Mouvement MSA -ADM dirigĂ© par le President Kore MOUSSA Mognon


 :La haine quâĂ©prouve le prĂ©sident Ouattara pour le prĂ©sident Gbagbo , risque de lui causer un AVC.

đđđđ-đđđđđ : đđđđđđđđ đđđđÌđđđđ đđ đđđÌđđđđđđ đđđđđđđ đđđđđđ Je voudrais remercier toutes les dĂ©lĂ©gations des partis amis et frĂšres qui sont venus, je voudrais saluer les autoritĂ©s de Port-BouĂ«t, Petit-Bassam qui sont venus bĂ©nir la cĂ©rĂ©monie. Et puis vous, les frĂšres, les camarades, les amis qui ĂȘtes venus Ă ce meeting, je vous salue. Je vous salue, comme je salue aussi tous les membres de la direction du parti qui sont Ă ma droite et Ă ma gauche. Mais aujourdâhui est un jour important, aujourdâhui est un jour important Ă cause de ce que la CEI a fait. Chers amis, on a publiĂ© une liste sur laquelle il nây a pas le nom de Laurent Gbagbo. Est-ce que vous avez compris ça ? On a publiĂ© une liste sur laquelle il nây a pas Cheikh Tidjane Thiam, sur laquelle il nây a pas Soro Guillaume etc. Est-ce que vous avez compris ça ? Que moi, Gbagbo Laurent, je ne serais pas digne dâĂȘtre candidat Ă la prĂ©sidence de la RĂ©publique parce que jâai volĂ©. Est-ce que vous entendez ça ? Parce que braquer, câest un mot brutal pour dire voler. Je ne suis pas un voleur. Et ceux qui ont fait la liste savent que je ne suis pas un voleur. Mais comme ils veulent quâon se batte, on va se battre. Ici, en CĂŽte dâIvoire, parmi tous ceux qui font de la politique, moi Gbagbo, personne ne peut me traiter de voleur. Je considĂšre que cela est une insulte Ă ma personne. Câest une insulte Ă ma famille. Mais ils veulent quâon se batte. Mais, quâils sachent quâon se battra. Alors, les jeunes, vous criez, on veut un mot dâordre, on veut un mot dâordre. Ce nâest pas comme ça quâon se bat. Ce nâest pas comme ça quâon se bat. Aujourdâhui, jâai 80 ans. Et je me bats depuis que jâai 18 ans et on ne mâa pas encore vaincu. Si je suis debout, câest que je sais me battre. Je sais de recevoir les coups, mais je sais en donner. Mais je sais surtout quand il faut donner les coups. On ne donne pas les coups nâimporte quand, ni nâimporte comment. Ils veulent quâon se batte, on va se battre. Je vais me battre pour mon honneur. Et je vais me battre pour la CĂŽte dâIvoire. Parce quâil y en a qui parlent. Ils parlent, ils parlent. Mais si ce nâest pas pour la CĂŽte dâIvoire, certains-lĂ peuvent me parler, moi ? On est ici en CĂŽte dâIvoire, on se connait. Il y en a qui parlent. Ils passent de plateau de tĂ©lĂ©vision en plateau de tĂ©lĂ©vision, et ils parlent⊠Attention ! Vous ĂȘtes en train dâaller trop loin ! Trop, câest trop. Trop, câest trop. On mâappelle Gbagbo Laurent. Je ne sais pas sâils sont au courant. Mon grand-pĂšre, Gbagbo Gomiti, est mort en se battant contre les Français qui rentraient dans Gagnoa. Mon pĂšre, Zegbe Koudou, a fait la guerre en Normandie contre les armĂ©es de Hitler. Il a Ă©tĂ© blessĂ© de guerre. Et le prĂ©nom Laurent que je porte Ă©tait le prĂ©nom de son commandant de compagnie dans la guerre contre les Allemands. Attention. Vous ĂȘtes en train dâaller trop loin. Attention. On peut se tromper, mais il ne faut pas aller trop loin. Et des gens que jâai ramenĂ©s Ă la vie qui veulent me jeter au royaume de la mort. Est-ce que ça, câest normal ? Donc, chers amis, considĂ©rez quâils veulent quâon se batte, donc on se battra. On ne peut pas laisser ça comme ça ! Vous venez trouver un fils authentique chez lui. Et vous voulez le piĂ©tiner chez lui. Mais non ! Ăa ne peut pas se passer comme ça. Tu ne peux pas me trouver Ă Mama et puis vouloir me piĂ©tiner Ă Mama. Ăa, ce nâest pas possible. Alors, tu me trouves en CĂŽte dâIvoire et tu veux me piĂ©tiner en CĂŽte dâIvoire. Moi ? Ăa ne peut pas ĂȘtre comme ça. Ăcoutez-moi bien. Ceux qui sâoublient lĂ . Il faut quâils se souviennent que câest eux qui sont inĂ©ligibles. En restant strictement sur la lecture de la Constitution. Elle dit quâun citoyen ne peut faire que deux mandats. Tu veux faire ton quatriĂšme mandat ? Est-ce que câest vrai ça ? Ou bien est-ce que jâai mal entendu ? Trois, ce nâest pas un peu trop lĂ ? Tu viens et le troisiĂšme mandat, tu dis que ton candidat est dĂ©cĂ©dĂ©. Amadou Gon Coulibaly. Donc vraiment, ça te fait pitiĂ©. Tu ne pouvais pas faire autrement. Aujourdâhui, Amadou Gon Coulibaly est encore dĂ©cĂ©dĂ© ? Parce que câĂ©tait le prĂ©texte pour le troisiĂšme mandat. Ah oui, jâavais laissĂ© la candidature Ă un jeune, mais la mort me lâa arrachĂ©e. Comme si au RDR, il nây avait pas dâautres candidats. Donc, faisons attention ! Quand tu viens me parler Ă moi, Gbagbo le fils de Koudou, pour dire que je ne peux pas ĂȘtre candidat lĂ , il faut bien regarder ton slip, ton pantalon. Moi, je nâai pas cherchĂ© la bagarre. Regardez en 2010 ! On a fait une Ă©lection. Qui a respectĂ© la loi ? Le conseil constitutionnel dit que câest Gbagbo Laurent qui a gagnĂ©. Vous dites non, ce nâest pas normal. Câest un ami de Gbagbo. Yao NâdrĂ©. Donc, sa parole, vous voyez, câest Youssouf Bakayoko. Ce quâil a dit lĂ , câest ça qui est vrai. Mais Youssouf Bakayoko est qui ? PrĂ©sident de la CEI, câest tout. Depuis quand le prĂ©sident de la CEI peut-il avoir une parole qui dit le droit ? Jamais. Ce nâest pas lui le juge de lâĂ©lection prĂ©sidentielle. Câest le prĂ©sident du conseil constitutionnel. Alors la nuit, Youssouf Bakayoko, il traĂźne dans le QG de campagne de mon adversaire. Et de façon totalement illĂ©gale, il parle. Jâai dit de façon illĂ©gale, parce que pour que mĂȘme il parle, il faut quâil soit entourĂ© des membres de la CEI. Les dames de lâapplication, ils Ă©taient lĂ ? MĂȘme les Bamba Yacouba, ils Ă©taient lĂ ? Non. Non. Mais quand Yao NâdrĂ© vient, et il dit, il vient avec toute son Ă©quipe. Et il dit, câest Gbagbo Laurent qui a gagnĂ©. On dit, oh, mais ça, câest lâami de Gbagbo. Et qui dit ça ? Le prĂ©sident de la RĂ©publique française, qui sâappelait Ă lâĂ©poque Nicolas Sarkozy. Nicolas Sarkozy, il est oĂč aujourdâhui ? Et moi, ici, oĂč ? Il porte des chaĂźnes partout ? Toi, un pays nâest pas ton pays. Une Ă©lection a lieu lĂ -bas. Deux candidats se disputent le rĂ©sultat. Et câest Ă toi tu cours, tu vas Ă lâONU, tu vas au Conseil de sĂ©curitĂ©, tu cherches des rĂ©solutions. Et tu dis, bon, on doit aller appliquer ça. On va aller faire la guerre. Mais oĂč est ton problĂšme ? Sarkozy, oĂč est ton problĂšme ? OĂč est ton problĂšme ? Tu cours Ă droite, tu cours Ă gauche. Tu cherches des rĂ©solutions Ă lâONU. Et aussitĂŽt, tu viens les appliquer Ă lâAbidjan. Mais qui tâa envoyĂ© ? Qui tâa envoyĂ© ? Qui tâa demandĂ© de lâaide ? Vous voyez ? Et câest la mĂȘme chose quâils sont en train de recommencer. Est-ce quâils peuvent recommencer ça ? Ă Abidjan, ici, on dit que câest le premier couillon qui est couillon. Le deuxiĂšme couillon nâest pas couillon. Une fois, vous nous avez eu. Vous ne pouvez pas nous avoir une deuxiĂšme fois. Non, non, non, non, non. Non, non, non, non. Chers camarades, je vous demande de rester vigilants et mobiles. Parce que ce sont des provocations, ça. Ce sont des provocations. Il y en a qui parlent : Il est trop vieux. Il nâa quâĂ laisser. Mais entre Alassane Ouattara et moi qui est vieux. Donc, je suis venu vous dire que celui qui est candidat pour un quatriĂšme mandat, il nâest pas candidat. Il nâest pas candidat. Et lui, celui qui est candidat pour un quatriĂšme mandat, il nâa quâĂ savoir que nous ferons tout pour quâil ne soit pas candidat. Ah oui. Comme il veut la bagarre. On va faire la bagarre. On ne parlait pas trop de ça. Et eux, ils ont inventĂ© un droit foireux, bizarre, nul, pour dire que voilĂ , comme il y a eu une nouvelle constitution... Mais ça, câest quoi ça ? Ce nâest pas du droit. Câest du nâimporte quoi. On dit, si tu as Ă©tĂ© candidat, et dâailleurs lui-mĂȘme, quand je faisais mon discours pour le racheter, je lui avais dit que câĂ©tait un mandat exceptionnel. Que je lui donnais. Ăa va devenir quatre mandats ? Je tâaide. On te donne un mandat exceptionnel pour que tu sortes un peu la tĂȘte de lâeau et câest toi qui vas venir me dire que moi, qui tâai donnĂ© la chance, je ne suis pas candidat ? Mais câest toi qui vas ĂȘtre mon candidat pour la quatriĂšme fois ? Est-ce que le trop nâest pas trop ? Quand mĂȘme ! Donc, les jeunes qui Ă©taient lĂ , mes amis lĂ , soyez prĂȘts pour la bagarre ! Parce quâils veulent quâon se bagarre, on va se bagarrer ! Parce quâils croient quâon a peur de le dire mais Ă un moment, il faudra quâon envahisse toutes les rues dâAbidjan. Mais il faut le faire pour que ça soit efficace. Câest pourquoi on attend. Sinon, on a peur de quoi ? Quâest-ce quâon nâa pas encore vu ? A lâheure actuelle, il y a 107 prisonniers dâopinion dans les prisons de CĂŽte dâIvoire. 107 ! Quant Ă mes jeunes gens avec qui je marche lĂ , les Pickass, les koua. Eux, les convoquer lĂ , câest devenu une routine. Chaque matin, un policier se lĂšve, il les convoque. Un matin, un juge se lĂšve, il les convoque. Non ! Ce nâest pas ce pays-lĂ dont moi jâai rĂȘvĂ©. Non ! Jâai rĂȘvĂ© dâun pays oĂč il y a la libertĂ©. Jâai rĂȘvĂ© dâun pays oĂč les gens nâont pas faim. Jâai rĂȘvĂ© dâun pays oĂč lâĂ©cole est gratuite. Jâai rĂȘvĂ© dâun pays oĂč chacun peut se soigner quand il est malade. VoilĂ , câest mon rĂȘve. Mais chaque matin, appeler Koua Justin ? Demain, un policier ou un juge. Appeler Damana Pickass. Appeler StĂ©phane KiprĂ©, tout ça. Câest dĂ©passĂ© ! Câest dĂ©passĂ©, ça ! Câest des gaous ! Câest dĂ©passĂ© ! Et puis, ça veut dire quoi ? Regardez, notre camarade de Dosso Charles Rodel, un homme qui a participĂ© Ă une manifestation contre la vie chĂšre et la faim, il est encore en prison. Ăa, ça veut dire quoi ? Ăa veut dire quoi ? Est-ce que la vie nâest pas chĂšre ? Mais alors ! Est-ce que quand on dit que la vie est chĂšre, on a tuĂ© quelquâun ? La vie est chĂšre, il dit que la vie est chĂšre ? Vous les prenez, vous les mettez en prison ? Non, il faut sortir, il faut sortir de ce cauchemar. Maintenant, câest un cauchemar. Ce nâest mĂȘme plus un pays. Mais en tout cas, si câest moi quâils cherchent, il faut leur dire quâils mâont trouvĂ©. Comme ils me cherchent, ils mâont trouvĂ©. Depuis, je suis lĂ , je ne dis rien, je ne fais rien, je fais mes petits meetings ici, mes meetings lĂ , et ils ont dit, mais lui lĂ , il est trop tranquille, on va aller le chercher. Bon, ils mâont cherchĂ©. Dites-leur quâils mâont trouvĂ©. Ils cherchent la bagarre. Bon, on va se battre. Que câest eux, ils ont dĂ©jĂ donnĂ© leur coup sur mon visage. Maintenant, ils se demandent oĂč je vais donner mon coup. Ăa, ça me regarde. Nous voulons un pays propre. Nous voulons un pays oĂč les gens sont libres. Nous voulons un pays oĂč les enfants vont Ă lâĂ©cole. Mais Amani Nâguessan, quand je lâai nommĂ© ministre de lâĂ©ducation nationale, nous avons fabriquĂ© des livres pour toute lâĂ©cole primaire. Comme ça, chaque enfant qui venait Ă lâĂ©cole, on lui donnait les livres. On lui donnait les livres. Aujourdâhui, quâest-ce quâils font avec ça ? Eux-mĂȘmes, ils font les livres et puis ils vendent. Quand on cherche lâargent, il y a des endroits oĂč on ne doit pas chercher lâargent. Les enfants du pays quâon tâa confiĂ©s, pour leur apprendre Ă lire, Ă Ă©crire, Ă calculer, ce nâest pas sur eux que tu vas gagner lâargent. Si tu cherches lâargent lĂ -bas, câest la mort que tu cherches. VoilĂ ce que je voulais dire Ă nos amis. Que maintenant, on sera intransigeant. Il nây aura pas de quatriĂšme mandat parce quâAmadou Gon Coulibaly nâest pas mort. Il nâest pas mort. Amadou Gon Coulibaly nâest pas mort de nouveau. Câest ça. Donc, il nây aura pas de quatriĂšme mandat. Et il nây aura pas de droit foirĂ©. Donc, si câest ainsi, chaque un an et demi, tu fais une nouvelle constitution, et puis tu dis, oui, selon la nouvelle constitution lĂ , jâai droit encore Ă un mandat. Et puis, aprĂšs, tu fais encore non. Non, non, non, et non. Jâai vu beaucoup de choses, mais je nâavais pas encore vu ça. Chers amis, chers amis, je vous salue. Vous qui ĂȘtes venus nous accompagner, je vous salue. Chers amis, je vous salue. On se battra jusquâau bout. Que Dieu bĂ©nisse la CĂŽte dâIvoire. đđđźđ«đđ§đ đđđđ đđš, đ„đ đ đŁđźđąđ§ đđđđ đđšđ«đ-đđšđźđđ


*GENERATION BRICS+* *BONSOIR LES BRICS* *ACTUALITĂS* *Une bourse de cĂ©rĂ©ales des BRICS: la Russie dĂ©veloppe actuellement sa conception* *Ensuite, le projet sera prĂ©sentĂ© aux partenaires, a dĂ©clarĂ© le vice-Premier ministre russe* *AnnoncĂ©e en 2024, cette initiative russe a pr mission de*: *renforcer la souverainetĂ© alimentaire du groupe* *rĂ©duire la dĂ©pendance aux plateformes commerciales occidentales, a expliquĂ© Dmitri Patrouchev*. *BUREAU DE L'INFORMATION* *G-BRICS+*


*GENERATION BRICS+* *ACTUALITĂS GĂOPOLITIQUES* *BONJOUR L'AFRIQUE* *Il est temps de redresser les torts historiques*! đŹđ C'est l'appel le *PrĂ©si du Ghana John Dramani Mahama*, JournĂ©e de l'Afrique 2025. Cette annĂ©e a Ă©tĂ© placĂ©e par l'UA sous le thĂšme "Justice pr les Africains Ă travers les rĂ©parations", rappelle-t-il. Voici ce que d'autres dirigeants du continent ont tenu Ă dire Ă ce propos đŹ "*Notre continent est en marche, malgrĂ© les nombreux dĂ©fis dâun monde en crise. Ensemble, continuons dâĆuvrer pour lâintĂ©gration africaine en consolidant le legs des pionniers pour une Afrique paisible, souveraine et prospĂšre*." đžđł *Bassirou Diomaye Faye* *PrĂ©si sĂ©nĂ©galais* đŹ "*Avec plus de 2.5 milliards d'habitants en 2050 sur le continent, des millions d'hectares de terres arables, des ressources miniĂšres innombrables, des sources d'eau intarissables et un ensoleillement exceptionnel, le continent dispose de tous les atouts pr rĂ©aliser le rĂȘve de tous les Africains Ă savoir lâAfrique que nous voulons intĂ©grer, pacifique et prospĂšre*." đ *Mahmoud Ali Youssouf* prĂ©si de la Commission de l'Union africaine đŹ "*Le continent doit continuer Ă plaider pr une architecture financiĂšre internationale plus Ă©quitable, une architecture qui ne renforce plus les inĂ©galitĂ©s historiques mais qui permette Ă l'Afrique de dĂ©finir sa propre voie vers un dĂ©veloppement durable*." đżđČ *Hakainde Hichilema* *PrĂ©si zambien* đŹ "*Ns sommes unis avec toutes les nations africaines, en particulier celles qui sont encore aux prises avec les fardeaux cumulĂ©s de l'injustice historique et de l'iniquitĂ© actuelle. En cette JournĂ©e de l'Afrique, que ns renouvelions notre dĂ©termination collective Ă poursuivre la justice, Ă cĂ©lĂ©brer l'unitĂ© et Ă construire un continent oĂč chaque gĂ©nĂ©ration peut s'Ă©lever et s'Ă©panouir*." đžđš *Wavel Ramkalawan* *PrĂ©si seychellois* đŹ "*Il est de notre devoir de reconnapire et de faire reconnaĂźre les injustices historiques subies par les Africains et les personnes d'ascendance africaine, notamment l'esclavage, la colonisation, l'apartheid et les gĂ©nocides*." *BUREAU DE L'INFORMATION* *G-BRICS+*
