MBONGUI-KANDZA LIBERTÉ VÉRITÉ 242
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Se taire est lâche. Dénoncer est respecter la loi. Vive MBONGUI KANDZA !
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Le 05 juin 2025, à 03h du matin, on a signalé le décès de MBERl Martin né le 31 décembre 1940.
" Le soleil ne se couchera pas avant que le coq chante pour des personnes comme celle dont la photo est en apostille. Car le ver est dans le fruit. Le gardien du Temple Ki ka't na mou nga kio La bête noire de Petit David du Journal La Rue Meurt. L'homme qui multiplia moults artifices pour empêcher l'intronisation de Bernard KOLELAS en sa qualité de Député Maire de la Ville de Brazzaville. Heureusement que le président Lissouba était plus d'une fois clairvoyant et savait se mettre au dessus de la mêlée. Il tapa du poing sur la table et s'investissa lui-même pour que se réalisa enfin l'intronisation de Bernard KOLELAS comme Député Maire de la ville de Brazzaville en sa présence (lui même le président Lissouba). Le ministre d'État, le Tout puissant ministre d'État avait même violé la constitution du 15 mars 1992 pour avoir créé des entités territoriales *à plein exercice* , d'autres *à moyen exercice* en violation de ladite constitution pour empêcher Kolelas et le MCDDI de travailler. Il est aussi parmi ceux qui avaient plaqué Lissouba en 1997. Le gardien du Temple Kika't na mou nga kio. SIGNÉ : Afrique manthe ZÉZÉ FIT MCDDI ORIGINAL KOLÉLISTE PUR SUCRE. Oncle Dario
Madame Alphonsine Mikouiza , C’est avec le plus grand respect que je me permets de vous adresser ce message après avoir pris connaissance de votre récente communication publiée sur Facebook, dans laquelle vous évoquez avec clarté et détermination le rôle que souhaite jouer la diaspora dans l’accompagnement de l’organisation des primaires de l’opposition au Congo-Brazzaville, en vue de l’élection présidentielle à venir. Permettez-moi tout d’abord de vous adresser mes félicitations pour le courage et la lucidité dont vous faites preuve en portant une initiative aussi noble qu’exigeante. Il s’agit là d’un acte politique d’une rare portée, que je tiens à saluer avec la considération qui vous est due. Sans appartenir moi-même à l'opposition, ni à une quelconque formation politique ou prétendre à un rôle actif dans ces primaires, j’ai l’honneur de vous faire part de ma volonté sincère d’apporter ma modeste contribution à votre projet. En effet, depuis mon plus jeune, j’ai eu le privilège d’assister et d’accompagner mon défunt père, le Sénateur Louis ZOUBABELA NGABANKA , dans diverses activités politiques. Ce compagnonnage de longue date m’a permis de développer, au fil des années, une certaine expérience en matière de stratégie politique, d’organisation et de conseil. J’ai eu également l’occasion de conseiller quelques personnalités, et de participer à l’élaboration de projets de grande envergure. C’est fort de cette expérience acquise sur le terrain que je me permets aujourd’hui, très humblement, de me tourner vers vous. Vous trouverez donc, ci-joint à ce courrier, une proposition d'un plan de réalisation détaillé des primaires de l’opposition congolaise. Ce document n’a d’autre vocation que de vous apporter une base de travail. Il peut bien entendu être modifié, enrichi ou adapté selon votre vision, vos moyens ou les réalités du terrain. Il s’agit là, Madame, de ma contribution volontaire, désintéressée et sincère à une œuvre de salubrité démocratique. Je n’aspire à aucune nomination, ni à aucune participation directe au processus. J’apporte simplement un modeste soutien technique, convaincu que ce genre d’appui, s’il devait être confié à un cabinet professionnel, représenterait un coût important. Je vous prie de bien vouloir trouver, en pièce jointe, ledit plan structuré de manière à servir de base pour une réflexion et une action concertée. Recevez, Madame, l’expression de ma haute considération, ainsi que mes encouragements les plus chaleureux dans cette mission aussi exigeante que nécessaire : convaincre, fédérer, et bâtir une alternative crédible pour le Congo. Je vous prie d’agréer, Madame Alphonsine Mikouiza, l’assurance de ma plus profonde considération et de mon respect distingué. Louis Modeste ZOUBABELA @à la une Armand Boueya Arsène Séverin officiel Ouabari Mariotti E-news Dac Jean-Jacques Serge Yhomby-opango Jacques Joachim Yhomby Opango Maître Jean-Jacques Bayonne Castador Alexis Passy Nhauble Bouity Tebola Babins Joseph Miena @à la une Marion Michel Madzimba Ehouango Brice Landry Decaux Uphrem Dave Mafoula Alain Makaya Destin Junior Mampolo Jean Claude Mampassi Eliane Flore Mampouya Sébastien Mampassi Pasteur Noumazalay Alain Kimpo Arme Lourd Kimpanzou Jean Blaise Mayani Breziani Motors Mayala Vrai Enode Malonga Mbemba Mbemba Yannick Mbemba Alexis Passy Bienel Hombessa
Au 5 juin 2025, Deux dates, A deux destins, dans mon existence. Le 5 juin 1944 et le 5 juin 1997. Le 5 juin 1944, je nais à Mabirou, en République du Congo. La construction de la vie et l'avenir se sont ouverts à moi. Cinquante trois ans plus tard, le 5 juin 1997, M. Pascal Lissouba, Président de la République du Congo, survient le déclenchement, à Brazzaville, des hostilités, entre les militaires de la Force Publique et les milices du Président Denis Sassou Nguesso. Au cours des affrontements, sont littéralement détruits les biens meubles et immeuble du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice que j'étais à l'époque. S'en suit, pour moi et d'autres figures du pouvoir du Président Pascal Lissouba, pour des raisons de sécurité, la route de l'exil en France où Mave, mon épouse et Didi O, mon fils de 15 ans, trouvent la mort. Un épisode dont j'ai beaucoup souffert et qui a brisé mes rêves. Ainsi le 5 juin 1944 et le 5 juin 1997 symbolisent deux dates antinomiques dans le cours de ma vie. Le contraste entre elles souligne l'espérance qui s'est créée en moi à ma naissance et la douleur ainsi que la colère que j'ai ressenties, lors des affrontements militaires de Brazzaville qui ont causé des milliers de victimes dont de très nombreuses qui s'en sont allées n'ont jamais eu de sépultures. .. Cependant, ce contraste met en lumière la résilience et la détermination qui m'ont permis, par la suite, dans la dignité, le travail, le courage, la liberté et le bon sens, de continuer d'espérer à un avenir meilleur. Toujours, au plan politique, attaché aux valeurs de la République, à l'UPADS, mon parti et à La Ligue pour la Culture de la Modernité, Association de la société civile, fondée de concert avec quelques amis. Aimant, par ailleurs, intensément mon pays, le Congo, à propos duquel, je voudrai qu'il parvienne à une alternative nouvelle, en passant par l'étape de la tenue des états généraux de la nation qui devront aboutir à un compromis politique dont les termes seront à définir pour ouvrir la voie à une élection présidentielle aux normes de transparence, de liberté et de démocratie garanties. Les états généraux de la nation seraient une occasion unique de rassembler toutes ses forces vives pour refonder le pays sur de nouvelles bases et trouver des solutions collectives à ses maux. Ce qui pourrait contribuer à réduire les tensions et les divisions, nettement visibles au Congo, d'autant qu'elles sont aggravées par les inégalités sociales, la pauvreté, la forte accumulation des biens de la classe au pouvoir et l'extravagance de ceux qui exhibent insolemment des attributs de richesse. Ce à quoi s'ajoute la non indemnisation par des pouvoirs publics des destructions des biens et autres sinistres survenus au pays par le fait des violences politiques et autres catastrophes dont l'Etat est rendu responsable. Ce 5 juin 2025, deux postures. Par rapport au 5 juin 1944, mes pensées sont tournées vers tous les membres de la Grande Famille Ouabari. Également, en direction des personnes qui me sont chères, parents, autres proches et amis qui m'ont quitté, m'ayant accompagné dans ma vie. S'agissant du 5 juin 1997, puisse le Président Denis Sassou Nguesso, faire preuve de générosité, de grandeur et de hauteur en accordant la totale liberté aux prisonniers Jean Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa, deux de ses concurrents à l'élection présidentielle de mars 2016, ainsi qu'au Ministre Benoît Koukebene qui purge un exil forcé en France, depuis les lendemains du 15 octobre 1997. Reste qu'au regard de toutes les considérations, bonnes ou mauvaises, qui gravitent autour des démarches républicaines nobles, comme les états généraux de la nation, les concertations et dialogues, sans exclusive, les compromis politiques, toujours pas bien acceptés par les tenants du pouvoir de Brazzaville, par pur égoïsme et instinct de conservation des privilèges, seule demeure déterminante, dans ces cas, la décision constructive, dans l'intérêt supérieur de la nation, du Président Denis Sassou Nguesso, lui-même, symbole et incarnation de l'expression de l'unité et de la cohésion nationales. Paris 5 juin 2025 Ouabari Mariotti
À chaque fois dans une société ou dans un pays quand les individus et leurs égos seront plus forts que les institutions et les textes qu'ils ont élaborés pour elles, l'issue finale se soldera par la guerre. Ce faisant, tous les acteurs politiques, civils et militaires qui ont d'une manière ou d'une autre été acteurs à la conférence nationale souveraine portent chacun selon son rang une part de responsabilité de la trajectoire morbide qu'a pris notre beau Congo. Voilà jour pour jours vingt huit ans que quelque chose a à tout jamais changé dans notre prisme de vie et dans notre façon de nous apprécier les uns des autres, sans prioriser d'abord un clivage. (Jeudi 5 juin 1997- Jeudi 5 juin 2025). Le Congo notre pays est une jeune République qui n'a même pas cent ans d'indépendance mais avec une histoire d'un poids considérable et très douloureuse. Et parmi les autres pans, la guerre civile qui officiellement se déclencha le jeudi 5 juin 1997 qui dura jusqu'au 15 octobre de la même année en ayant causé des dégâts multidimensionnelles que le pays et ses composants n'en sont plus jamais levés. Cependant que ladite histoire soit belle ou mauvaise, triste ou heureuse, lourde ou moins lourde, il faut savoir la compter dans tous ses détails comme elle s'était passée, afin qu'elle ne se détériore ni ne meurt pas. Ce sera très édifiant pour ceux qui viendront après nous pour s'en servir non seulement comme béquilles mais aussi comme projecteurs pour éclairer le chemin qu'ils devront suivre et conduire avec eux le pays hérité. Repos éternel à toutes les victimes de cette guerre qu'elles aient été civiles ou soldats et qu'importe leur appartenance politique ou ethnique. Beaucoup de courage à leurs familles. Je pense aux ami(e)s et grands-frères du quartier dont certains demeurent portés disparus à ce jour. Don Presley Mhatt
CONGO INTERDIT USA : Donald Trump interdit Denis Takou Nguesso et d’autres ressortissants de douze pays d'entrer aux États-Unis. Les ressortissants d'Afghanistan, de Birmanie, du Tchad, du Congo-Brazzaville, de Guinée équatoriale, d'Érythrée, d'Haïti, de l'Iran, de la Libye, de la Somalie, du Soudan et du Yémen auront à partir du 9 juin l'interdiction d'entrer aux États-Unis pour "protéger" le pays de "terroristes étrangers". Donald Trump justifie ce nouveau "travel ban" par la récente attaque dans le Colorado. Le Président Donald Trump estime que le Congo n'a pas rempli les conditions nécessaires (d'immigration et émigration) exigées par son administration. Le Congo ne respecte pas les droits de l'homme, avec tous les opposants politiques en prisons. Les multiples évasions répétées des détenus abandonnés aux maladies infectieuses et MST. Les détournements de fonds publics à répétition. L'impunité totale des dignitaires, l'évasion fiscale et un chapelet de crimes économiques et de sang.
CONGO ETAT TERRORISTE : L'administration Trump estime que le Président Sassou Nguesso Denis héberge plusieurs antennes des groupes terroristes du Hezbollah et Al-Qaïda. Le Congo est connu pour avoir hébergé des terroristes qui ont fait exploser un avion Air Afrique au dessus du désert.
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