𝗧𝗜𝗠𝗢𝗧𝗛𝗘𝗘 𝗠𝗢𝗬𝗘
𝗧𝗜𝗠𝗢𝗧𝗛𝗘𝗘 𝗠𝗢𝗬𝗘
February 27, 2025 at 09:41 PM
*378. Romains 7.14-18 : “Nous savons que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car ce que je veux faire…pas : car ce que je veux, je ne le veux pas, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je (r-e-c-…) par—par là, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n’est plus moi qui le fais, mais c’est le péché qui habite en moi.” Je ne comprends pas ceci.* 26 Eh bien, ils ont écrit le passage de l’Écriture; c’est Paul qui parle aux Romains. Or il a dit… Permettez-moi de le présenter un peu plus clairement, pour que vous voyiez ce qu’il en est. Il a dit : “En moi, il y a deux personnes : l’une qui veut que je fasse le bien; l’autre qui veut que je fasse le mal. Et chaque fois que je commence à faire le bien, alors le mal me fait obstacle.” 27 Combien, parmi vous qui avez été vus en entretien cet après-midi, se trouvaient aux prises avec cette même chose-là, et ce matin aussi, vous voyez, cette même chose-là? J’en ai parlé ce matin, brièvement. 28 Vous êtes un homme extérieur, lequel est contrôlé par six sens; vous êtes un homme intérieur contrôlé par un seul sens, qui est la foi. Et cette foi est en désaccord avec tous les six sens, si les six sens ne s’accordent pas avec la foi. Mais l’un est contraire à l’autre. Bon, tant que les six sens s’accordent avec la foi, c’est merveilleux; mais quand les six sens ne s’accordent pas avec la foi, alors laissez les six sens de côté. 29 Maintenant, par exemple ici, Jésus a fait une déclaration, une promesse. L’homme intérieur dit que c’est la vérité; l’homme extérieur, lui, raisonne et dit que pour vous ça ne peut pas être vrai, alors ne prêtez aucune attention à l’homme extérieur et acceptez l’homme intérieur. Or, Paul parle de la même chose. Il était vendu, de par la loi, au péché de la chair. C’est la même chose pour chacun de nous. C’est pour ça que nous sommes, que nous avons les ennuis que nous avons, comme d’être mariés quatre ou cinq fois, et ceci, et cela, et toutes sortes de péchés, des adultères et tout ce qu’il y a d’autre dans nos vies; c’est à cause de ces choses. Nous sommes charnels, et cette partie-là doit périr; par contre, à l’intérieur, nous sommes un homme esprit, l’âme qui est à l’intérieur, et c’est là la foi dans la Parole de Dieu. Alors nous soumettons notre corps extérieur à la Parole, par la foi, en acceptant ce que Dieu a dit. 30 Comment est-ce que je peux prendre un grateron et en faire un grain de blé? Il m’est impossible de le faire. Le seul moyen possible, c’est que l’intérieur de ce grateron ait été transformé, d’un grateron de blé, d’un grateron en un germe appelé “vie de blé”. Alors enterrez ce grateron, et il produira un grain de blé (C’est vrai. Voyez?), parce qu’une vie de blé a été mise dans le grateron. Et la vie de ce grateron a été retirée; mais la nature du grateron est toujours piquante, vous voyez, et elle le restera, jusqu’à ce que cette nouvelle vie ait atteint son plein développement, en sortant de la terre, qu’elle ait été ressuscitée. Quand elle sort, alors ce n’est plus un grateron, mais du blé—mais du blé. Mais, pendant qu’il est ici sur terre et, dans, qu’il vient de la terre, pendant qu’il est un grateron, il est toujours piquant, mais à l’intérieur il a la nature du blé. 31 Et tant que vous serez dans cette vie, vous allez être piquant et avoir une nature charnelle, qui va vous causer des ennuis tant que vous vivrez; mais à l’intérieur de vous, vous êtes né de nouveau. Et quand vous ressusciterez, vous serez à l’image de Christ, et tout le péché aura été éliminé de vous. Voyez? Voilà—voilà de quoi il s’agit. 32 Permettez-moi de dire ceci. Ça a l’air d’une plaisanterie. Un Indien — ce sont de très drôles de gens, et je, ce n’est pas qu’ils sont drôles. Nous, nous les trouvons bizarres; mais à leurs yeux, ils sont très bien. Et si vous apprenez à les connaître, ils sont très bien. Une fois on a demandé à un Indien, après qu’il avait été sauvé… 33 Je me souviens de l’un d’eux, à Phoenix, en Arizona. Billy descendait distribuer des cartes de prière. Il se tenait là, simplement, et il distribuait des cartes de prière. Et les gens qui étaient capables d’aller en vitesse chercher les cartes de prière, eh bien, c’était les—les gens bien portants qui n’avaient, en réalité, qu’un mal de tête, un mal de dents, ou des problèmes avec un orteil, c’est eux—c’est eux qui avaient les cartes de prière, Frère Ruddell. Et à—à ce moment-là, alors, dans la ligne de prière, tout ce que j’avais, c’était quelqu’un qui avait un mal de tête, quelqu’un qui avait des problèmes avec un orteil, quelque chose comme ça. Et il y avait des gens qui étaient assis là, qui se mouraient du cancer et tout, qui n’avaient pas pu venir dans la ligne de prière. J’ai dit : “Billy, descends là, et demande aux gens quel est leur problème. Et s’ils n’ont pas un cancer, ou une terrible maladie, ou quelque chose qui va les tuer, ne leur donne pas ces cartes de prière. Les gens que tu fais venir là, dans la ligne de prière, que ce soit ceux qui vont—qui vont bientôt mourir, si le Seigneur ne leur vient pas en aide. Les autres, qu’ils attendent; qu’ils passent dans une ligne rapide, ou quelque chose comme ça. Mais que ces gens qui sont sur le point de mourir…” J’ai dit : “Pose-leur la question.” Il a dit : “Eh bien, tu avais dit : ‘Bats simplement les cartes, et distribue-les.’ C’est ce que je faisais.” J’ai dit : “Mais tu fais venir ces gens, qui arrivent en vitesse et devancent les autres, c’est eux qui ont… Les pauvres infirmes et tout, ils ne peuvent pas les avoir. — Très bien, c’est ce que je vais faire.” Il descend; il y avait un vieil Indien (et ils sont très bizarres), il ne voulait pas s’asseoir sur une chaise. On lui avait donné une chaise, mais il s’est assis par terre dans la tente. Il portait un chapeau, il ne voulait pas l’enlever, — une plume dépassait, à l’arrière, — il restait assis là. Billy s’est approché de lui, en passant, il a dit : “Vous voulez une carte de prière? — Hmm.” Il a dit : “Quel est votre problème, chef?” Il a dit : “Moi malade!” Il a dit : “Mais quel est votre problème?” Il a dit : “Moi malade!” Il a dit : “Mais je veux savoir quel est votre problème!” Il a dit : “Moi malade!” 34 C’est tout ce qu’il pouvait obtenir de lui, il a dit : “Très bien, je reviendrai tout à l’heure.” Alors, Billy a continué à demander aux gens. Le vieil Indien ne lâchait pas des yeux les cartes de prière, qui diminuaient de plus en plus. Chaque fois qu’il les sortait de sa poche, il y en avait un peu moins. Alors, au bout d’un moment, le vieil Indien s’est levé, il s’est avancé, et il a tapé Billy sur l’épaule, pour lui rappeler que lui aussi, il était de la partie. Il a dit—il a dit : “Chef, quel est votre problème?” Il a dit : “Moi malade!” Il a dit : “Eh bien, chef, il faut me le dire. Papa a dit de ne pas donner ces cartes aux gens qui…qui n’avaient que, disons, un mal de ventre, des maux de tête, et ce genre de chose là. ‘Donne-les aux gens qui sont vraiment malades.’” Il a dit : “Quelle est la gravité de votre maladie, chef?” Il a dit : “Moi malade.” Il l’a fait rasseoir, et avant de…il n’avait presque plus de cartes. Quelques minutes… Il ne lâchait pas ces cartes des yeux. Il est revenu et l’a tapé encore sur l’épaule. Il a tendu la main. Billy a mis la carte dans sa main, et il a dit : “Chef, allez écrire là-dessus : ‘Moi malade.’” 35 Il est passé dans la ligne de prière et, alors que je priais pour lui, je lui ai dit : “Croyez-vous, chef?” Il a dit : “Exact.” Et j’ai dit : “Eh bien, croyez-vous que Dieu va vous guérir?” Il a dit : “Exact.” J’ai dit : “Vous allez être un bon garçon?” Il a dit : “Exact.” Je l’ai rencontré à peu près une semaine plus tard. Je crois que Frère Fred Sothmann était là. C’est quand on, quand il y avait les réunions sous la tente. C’était à Phoenix. Et je l’ai rencontré un peu plus tard dans la semaine; j’ai dit : “Ça va bien, chef?” Il a dit : “Exact.” J’ai fini par découvrir, en parlant à… Comment s’appelait ce missionnaire là-bas, ce vieil homme avec une moustache blanche, qui travaillait là-bas parmi les Apaches? Son nom m’échappe. Oh, c’est un brave vieillard. Sa femme a été guérie du cancer, vous savez. Il a dit : “Frère Branham, c’est tout ce qu’il sait dire.” Il a dit : “Je lui ai appris à dire : ‘Moi malade.’ C’est tout ce qu’il sait dire : ‘Exact.’” Alors, c’est—c’est à peu près tout, vous voyez. “Exact. Moi malade!” 36 Quelqu’un m’a raconté qu’une fois, il y en avait un qui s’était converti, qui avait reçu le Saint-Esprit, et il lui avait dit : “Comment ça va?” Et il a dit : “Assez bien et assez mal.” Il a dit : “Eh bien, qu’est-ce que vous voulez dire par là : assez mal et assez bien?” Il a dit : “Eh bien, depuis que moi recevoir le Saint-Esprit”, il a dit, “il y a deux chiens en moi, l’un est un chien noir, et l’autre un chien blanc.” Il a dit : “Ils se disputent tout le temps.” Il a dit : “Ils grognent et ils se battent.” Et il a dit : “Le chien blanc veut que je fasse le bien; le chien noir veut que je fasse le mal.” Il a dit : “Eh bien, chef, lequel des deux gagne le combat?” 37 Il a dit : “Ça dépend, c’est celui que chef nourrit le plus.” Alors, ça, je trouve que c’est une bonne réponse. Voyez? Ça dépend seulement du combat qui se mène dans le corps, à l’intérieur de vous; ça dépend de celui que vous nourrissez, de la nature que vous nourrissez : la nature charnelle qui s’affectionne aux choses du monde, ou la nature spirituelle qui s’affectionne aux choses de Dieu. C’est ça qui agit. *381. Expliquez l’ange qu’a chaque personne, et qui demeure avec elle de la naissance à la mort. Très bonne question.* 48 Je n’aime pas laisser ces questions de côté; ce sont de bonnes questions. Et je veux que mes—mes enfants connaissent ces choses. Voyez? “Maintenant, qui peuplera la terre, à l’extérieur de la Ville?” À l’extérieur, ce sont les rachetés qui peupleront la terre, à l’extérieur de la Ville, mais ceux-ci ne seront pas l’Épouse qui a été appelée et élue. L’Épouse habitera à l’intérieur du Royaume avec le Roi. À l’extérieur, il y aura les rois de la terre qui travailleront et qui apporteront leurs labeurs, qui apporteront, non pas leurs labeurs, mais qui apporteront leurs fruits dans la Ville. Et les portes ne se fermeront pas la nuit. 49 Maintenant, au, maintenant, cette Lumière au sommet de la montagne n’éclairera pas le monde entier, Elle n’éclairera que la Ville. Mais Elle pourra être vue à distance, à des milliers de milles [kilomètres] peut-être; mais Elle n’éclairera pas la terre; en effet, la Bible dit que dans le Nouveau Monde, d’un sabbat à l’autre et d’une—d’une nouvelle lune à l’autre (voyez?), les gens se présenteront devant le Seigneur à Sion, monteront à la Ville pour y adorer. 50 Donc, ils seront à l’extérieur de la Ville, non pas l’Épouse, mais les gens qui reviendront, à la seconde résurrection, qui seront cultivateurs, tout comme Adam l’était, et ainsi de suite, et jardiniers. Mais le Roi et la Reine resteront dans la Ville. 51 “Expliquez l’ange qu’a chaque personne, et qui demeure avec elle depuis la naissance.” Maintenant, si vous remarquez… Or ceci, c’est assez profond. Bon, je n’ai pas du tout, je viens juste de la prendre, là, c’est écrit en partie à la machine et en partie au crayon, ou, au stylo. 52 Or, il y a un Ange, mais cet Ange de l’Éternel — ils campent autour de ceux qui les craignent…qui Le craignent. Voyez? Or, il n’a pas été promis aux pécheurs d’avoir des Anges, il n’y a que les rachetés qui ont des Anges. Le saviez-vous? Les Anges de l’Éternel campent autour de ceux qui Le craignent. 53 Or les Anges, ce sont des messagers. Je veux vous faire remarquer ceci. C’est vraiment parfait, et ça va vous prouver la prédestination. Voyez? 54 Maintenant, quand un petit bébé prend forme sous le cœur de sa mère. Et vous, les petits enfants qui comprenez ces choses, vous voyez, le Seigneur vous a donné à maman. Et elle vous a porté sous son cœur, parce que vous êtes près de son cœur. Puis, un jour, le Seigneur est descendu et vous a détaché du cœur de maman, Il vous a séparé de son cœur, mais vous serez toujours dans son cœur. 55 Maintenant, pendant que ce petit corps se forme, que ce petit corps naturel se forme dans la mère, il y a un corps spirituel de la terre qui est prêt à recevoir ce corps naturel dès qu’il naîtra. Or, le bébé naît avec des muscles vivants, un cœur qui bat, mais aucun souffle de vie en lui. Ce sont des muscles qui se contractent. Voyez? Par contre, vous voyez, si c’était autrement, s’il n’y avait pas d’esprit qui devait venir en lui plus tard, alors notre souffle pourrait nous quitter, nous ne respirerions plus tout en étant quand même vivants. Mais quand ce corps ne reçoit pas d’oxygène de…ou, de souffle (l’inspiration et l’expiration de nos poumons), alors nous sommes morts. 56 Bon, mais quand la mère, le petit bébé descend du cœur de sa mère vers la terre. “Descend”, vous comprenez ce que je suis en train de dire, la façon dont je, pourquoi je le dis de cette façon. Quand le petit bébé descend, qu’est-ce qui arrive? Aussitôt qu’il sort, s’il ne se met pas à crier, le docteur, la sage-femme, ou celui qui est là, lui donne une claque sur les fesses [Frère Branham tape dans ses mains. — N.D.É.], le déplie. Celui-ci doit recevoir un choc, et qu’est-ce qui arrive? 57 Remarquez, une mère, elle peut être tout à fait mesquine et cruelle, mais juste avant que le bébé naisse, il y a une certaine bonté qui s’installe. Avez-vous déjà remarqué une mère quand elle doit enfanter? Il y a quelque chose de doux chez elle; elle revêt toujours cette douceur. C’est parce que ce petit ange, ce petit esprit, un petit messager pour cette petite demeure est prêt à apparaître dans le monde. Ensuite, une fois que ce petit ange entre dans le corps (c’est un petit ange de la terre, un esprit qui est destiné par Dieu à occuper ce corps), ensuite ce bébé doit pouvoir choisir. Il prend sa décision. Puis, quand ceci se produit, alors, vous voyez, l’Ange de l’Éternel maintenant entre ici, ce qui est le corps spirituel, celui qui est Éternel. 58 Celui-ci est un esprit mourant dans un corps mourant; mais, bon, vous ne pouvez pas être dans deux corps à la fois, par contre il peut y avoir deux natures en vous à la fois. Maintenant, la nature de l’Esprit du Seigneur… Quand vous naissez de nouveau, vous ne naissez pas physiquement, comme dans le cas du bébé; mais ce qui est arrivé, c’est que vous avez reçu la naissance spirituelle. Et, alors que cette naissance spirituelle grandit dans votre cœur, naissance qui vient de Dieu, il y a un corps physique, ou un corps céleste qui grandit pour recevoir cet esprit. Et quand la vie quitte ce corps, elle va vers ce corps-là. Tout comme quand le corps est présenté à la terre, l’esprit entre, et quand l’esprit sort du corps, il y a un corps qui attend. “Nous savons, en effet, qu’après que cette tente où nous habitons sur la terre aura été détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà.” Voyez? C’est ça : le corps spirituel des gens. 64-0830E - Questions et réponses #4 Rév. William Marrion Branham
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