Les mots forts utilisés par Joseph Kabila contre son successeur - « Ivresse du pouvoir sans limite » - « Violation délibérée de la Constitution » - « Coup d’État institutionnel » - « Simulacre des élections » - « Volonté irrésistible de concentrer tous les pouvoirs entre les mains d’un seul homme » - « Dictature », « Tyrannie » - « Populisme et démagogie érigés en politique du gouvernement » - « Régime en place à Kinshasa » (utilisé dans un sens péjoratif, plusieurs fois) - « La République a cessé d’être démocratique » - « La justice a complètement démissionné » - « Instrument d’oppression d’une dictature » - « Chambre d’enregistrement de la volonté d’une seule personne » (à propos du Parlement) - « Imposition de la pensée unique » - « Milices tribales, police et services de renseignements… détournés de leur mission » - « Terrorisme d’État » - « Crime incontestable contre l’humanité » - « Massacre des adeptes » - « Déliquescence de la situation sécuritaire » - « Chaos indescriptible » - « Perte du monopole de la violence légitime » - « Institutionnalisation du tribalisme et du népotisme » - « Discours de haine, stigmatisation, injustice, impunité » - « Repli identitaire, intolérance, division » - « Asphyxie des populations » - « Abandon de la population par le pouvoir central » - « Régime qui tente désespérément de survivre à contre-courant de l’histoire » - « Corruption et détournement des deniers publics ont atteint un niveau inédit » - « Le pays est redevenu un État failli » - « Recul spectaculaire de la démocratie » - « Politique extérieure faite de jérémiades et de mendicité »