Indépendance Autodétermination Souveraineté Décolonisation
Indépendance Autodétermination Souveraineté Décolonisation
June 7, 2025 at 07:16 PM
Mesdames et Messieurs les représentants des Nations, Je prends la parole aujourd’hui en tant que président de la Guadeloupe, Kaloukéra, pour affirmer la volonté de notre peuple d’exercer pleinement son droit à l’autodétermination. Au nom de notre population guadeloupéenne, je voudrais saluer les membres de l'Assemblée générale des Nations Unies. En mon nom propre de président guadeloupéen et président de l'Alliance de la Caraïbe Libre, votre Excellence M. Gilbert Mathieu ÉDINVAL, je salue le pays qui accueille cette réunion, les États-Unis et son président M. Donald TRUMP. L'ONU est formée de pays ayant véritablement gagné la seconde guerre. J'espère que cette séance historique, 80e cession, présidée par l'Allemagne, Mme Anna Léna Baerbock, restera dans l'histoire. Les défis qui attendent le monde sont énormes. Et, naturellement, les défis internationaux sont importants. Nous avons les crises internationales, les crises de l'eau, de la nourriture, les épidémies naturelles, celles causées par l'homme. Les problèmes économiques, politiques, le défi climatique, les problèmes de l'eau, d'immigration, de piraterie, la pauvreté, des travailleurs mal ou non rémunérés, les mises en danger d'autrui... La terre doit permettre à chacun d'y vivre dignement et équitablement. Nos agriculteurs, nos éleveurs, nos pêcheurs sont limités dans leur droit à travailler de manière souveraine. La Guadeloupe n'est pas exsangue de problématiques importantes. A commencé par la soustraction de notre souveraineté, de notre indépendance et de notre autodétermination par la France. Depuis, le début de la colonisation française en juillet 1635 en Guadeloupe, Kaloukéra. Qui s'est faite par ruse. En effet, les indiens Kalinagos pensant secourir des marins en perdition, n'ont fait que redonner force et vigueur a des colons français. Qui n'ont eu de cesse que de coloniser sauvagement notre pays. Après la fin de la première période de mise en esclavage, le 04 février 1794. Il faut signaler que l'extermination des Kalinagos puis la première traite négrière sont tous deux des crimes contre l'humanité, imprescriptibles dans le temps. La Guadeloupe s'organise pour mettre en place une autorité capable d'autodétermination de souveraineté et d'indépendance. Le Conseil provisoire de Gouvernement met en place une Assemblée pour l'indépendance de la Guadeloupe. Qui vote le 21 octobre 1801 l'Indépendance de la Guadeloupe. Promulguée le 10 mai 1802 par l'officier guadeloupéen Joseph IGNACE. Napoléon Bonaparte après une longue campagne de génocide, réinstalle la colonisation française sur notre territoire guadeloupéen. En, 27 avril 1848, une nouvelle fois, l'esclavage est aboli en Guadeloupe. Entre les deux versions du Code noir faisant de nous des objets meubles corvéables à souhait. La première, en mars 1685, est élaborée par le ministre Jean-Baptiste Colbert, promulguée par Louis XIV. La seconde est promulguée par Louis XV au mois de mars 1724. Puis intervint le Code de l'indigénat du 28 juin 1881 : loi n° 10-680. Notre statut a très peu évolué. Nous sommes aujourd'hui soumis à un système électoral qui récupère notre souveraineté au profit de la France. La pandémie de la COVID-19 ou 75% des Guadeloupéens ont refusé l'injection d'ARn a marqué la nécessité d'exercer notre souveraineté, notre autodétermination par une indépendance effective. Avec une très mauvaise gestion française qui a vu partir au bas mot 1 000 et au plus haut 3 000 personnes, a été un désastre pour notre pays. Alors qu'à Montserrat, il n'y a eu que deux morts durant toute la période de pandémie. L'accord de méthode qui devait être signé au vendredi 31 décembre 2021 minuit. La crise se poursuit dans le sens où l'État, la présidence française, n'est pas apparu sur la table de discussions. Le 24 octobre 2022, la Commission d'écriture de la constitution guadeloupéenne provenant du Congrès Nationale Guadeloupéen Pour l'Indépendance de la Guadeloupe. Qui remplace l'Assemblée pour l'indépendance de la Guadeloupe de 1801 a fait partir à l'ONU par courriers recommandés internationaux avec accusés de réception AR n° RK 730 418 687 FR - UN Headquarters - First Avenue at 46 th Street - NY 10017 - New-York - USA et AR n° RK 730 418 673 FR - UNO Palais des Nations - Avenue de la Paix 14 - Portal de Pregny - 1202 Genève - Suisse notre constitution guadeloupéenne. Puis nous avons constitué un Gouvernement guadeloupéen en remplacement du Conseil provisoire de Gouvernement de 1801. Avec à sa tête le président du parti politique indépendantiste Avcvk Pol : M. Gilbert Mathieu EDINVAL. Seul candidat alors que la constitution guadeloupéenne entrait en vigueur le 1er janvier 2023. Il prend la place de président de la république démocratique guadeloupéenne le 1er avril 2023 jusqu'au au 1er avril 2029. Et s'évertue à combattre par décret la colonisation française en Guadeloupe, Kaloukéra, conformément aux résolutions des Nations-Unies. Nous avons différents moyens, dont la résolution 1514 (XV) de l'Organisation des Nations- Unies, en date du 14 décembre 1960, qui reconnaît le droit des peuples à l'autodétermination. La résolution du 17 octobre 2024, CPSD/810, https://press.un.org/fr/2024/cpsd810.doc.htm/, tout gouvernement légitimement déclaré et des réparations sont reconnues. Et nous demandons le départ de la France en Guadeloupe : Siège des Nations-Unies - ONU Son Excellence, M. António Guterres - First Avenue at 46th Street - New York, NY 10017, USA. Ayant légalement déclaré notre gouvernement guadeloupéen, nous chiffrons les réparations à 922.800.000.000€ ou écus guadeloupéens jusqu'au 31 décembre de l'année N en cours. L'écu est équivalent à l'euro : 1 écu guadeloupéen est égal à 1 euro. Somme à laquelle nous rajoutons 8 000 000€ au 1er janvier de chaque nouvelle année, soit N+1. Que nous traitons comme une dette économique française récupérable par sa vente à l'internationale selon la loi Dailly, loi du 2 janvier 1981, modifiée en 1984, sur la cession de créance, la cession de dettes et la lettre de change, articles L511-1 à L511-81 du 18 sept. 2020 - Titre VIII de la lettre de change et du billet à ordre, articles 110 à 189 du code du commerce. Soit, le coût de l'opportunité ou "opportunity cost", calcul actuariel et/ou le calcul d'intérêt ; Le "shortfall", le "deficiency", le "loss of income" ou notre bénéfice manquant à la suite d'une volonté persistante de la France de nous ôter par différents stratagèmes notre autodétermination, notre souveraineté et notre Indépendance. Tout ceci pour le soutien de notre monnaie numérique, l'Écu guadeloupéen de sigle e à l'envers soit Ə, monnaie fiduciaire que nous déclinons en monnaie numérique d'investissement pour soutenir notre État Guadeloupéen. C'est le Gwadloup Token - GWPT déployé sur le réseau de la blockchain Ethereum à l'adresse 0xA73518e151eAE5a938198Ad86fD322209A314a72, valorisée à 0, 000000999900670889 au 02 avril 2025. Un but qui est de créer la Banque centrale nationale guadeloupéenne pour battre notre monnaie : l'Écu. Et d'installer notre banque d'opérations pour chaque devise : Yuan, Euro, Dollar, Rouble, etc. Pour permettre la vente de devises des réserves sur le marché des changes interbancaire par notre Banque Commerciale Guadeloupéenne, BCG. Et tous les organismes financiers nécessaires dont la Banque de développement guadeloupéen, BDG. La Banque d'investissement guadeloupéenne, BIG. La Banque de dépôt guadeloupéenne, BDG. Un fonds monétaire guadeloupéen, FMG. Un fonds de pension guadeloupéen, FPG. Qui seront basés sur la créance liée aux deux périodes de mise en esclavage. Comme sur tout retard indu de notre autodétermination, de notre souveraineté et de notre indépendance. Nous avons le fonds de dotation, P'jilow, qui fait déjà un grand travail pour la conception du Token guadeloupéen, Gwadloup - Token. Nous sommes en pause politiquement pour résoudre nos difficultés d'aujourd'hui. Qui sont de plusieurs ordres : la vie chère, le manque de souveraineté, d'autodétermination et d'indépendance, les Sargasses, l'amiante, le Chlordécone, ... Le Congrès Nationale Guadeloupéen Pour l'Indépendance de la Guadeloupe, CngPig, est de conception démocratique, concessionnaire dérivé où les femmes, les hommes, les groupes de travail, les faîtières d'artisans, les structures y sont représentées lors de réunions mensuelles non permanentes. C'est-à-dire, un Conseil d'Administration de la société guadeloupéenne Congressiste. Le pouvoir politique en Guadeloupe - Kongwésist : un Président, un Gouvernement, une Assemblée nationale guadeloupéenne large englobant notre population et notre diaspora. Sanblé wouvè 480 000 + DIASPOWA. Mais aussi restreinte, dite en langue guadeloupéenne Langanné, issue du Congrès Guadeloupéen Pour l'Indépendance de la Guadeloupe, Cng-Pig, CngPig, composée de deux chambres : 1 Pwésidan Sanblé piti - 1 Bo-Pwésidan / Chanm I 4+2 Sénatè et 6 Dépité / Chanm II 64 Kongwésist 1 Fanm 1 Nonm pour 32 Komin. Rémunérations des élus guadeloupéens, des personnes guadeloupéennes nommées, voire désignées de facto sous toute mesure juridique applicable. Le service à la nation guadeloupéenne ne peut être poursuivi par un autre État. Les membres du gouvernement guadeloupéen bénéficient d'un passeport diplomatique Nansen, de l'Onu ou de notre État guadeloupéen. Les membres de l'Assemblée restreinte d'un passeport bien moindre ou défini par lettre de mission. Toute réunion, conseil ou assemblée pouvant être dématérialisée sur des médias dédiés. Le mode de l'écrit par l'outillage du stylo physique sur papier est la seule échange valable et opposable aux tiers. Visé par le Secrétariat d'État de la Guadeloupe en-dessous de la présidence de la Guadeloupe, Kaloukéra. Notre système de santé, centralisé et inadapté, ne répond plus aux besoins de notre population. Les scandales sanitaires comme celui du chlordécone, l’insuffisance des moyens hospitaliers et l’éloignement des décisions ont un impact direct sur la vie et la dignité de nos citoyens. Sur le plan économique, notre dépendance à un modèle extérieur freine l’initiative, bloque l’investissement local, pousse nos jeunes à l’exil. Nous voulons bâtir une économie autonome, durable, tournée vers notre environnement, notre savoir-faire et notre région caribéenne. La Guadeloupe est prête à prendre en main son avenir. Ce que nous demandons, ce n’est pas une faveur, mais la reconnaissance légitime de notre droit à décider pour nous-mêmes. Nous appelons la communauté internationale à soutenir notre marche vers l’indépendance, dans la paix, la responsabilité et la solidarité. L'installation de deux usines de gestion et de production est envisagée. Ainsi que la mise en place d'une armée de 35 000 femmes et hommes. Comme le développement de moyens de transports facilitant tous les déplacements sur notre archipel. Pour une Guadeloupe libre, en santé et en maîtrise de son développement. Je vous remercie. M. Gilbert Mathieu ÉDINVAL Chef de l'État, Président de la Guadeloupe, Kaloukéra Président de l'Alliance de la Caraïbe Libre

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