Le courage ne crie pas. Il avance, même quand tout semble perdu. Il se cache parfois derrière un regard tremblant, un silence plein de doute, un cœur battant trop vite. Mais il est là, dans chaque pas qu’on ose faire malgré la peur. C’est cette force invisible qui pousse à tenir bon quand les genoux fléchissent. C’est le choix de se relever une fois de plus, de croire en soi, même quand personne ne le fait. Le courage, ce n’est pas l’absence de peur, c’est sa domination lente et patiente. C’est décider de parler quand le monde attend ton silence, de rester debout quand tout pousse à l’abandon. Et quand tu te demandes si tu es assez fort, souviens-toi : tu as déjà traversé des tempêtes que tu pensais insurmontables. Le courage, c’est toi.