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Société civile | Sensibilisation à la chose publique | Média Citoyen |« En politique, le devoir de faire devrait l'emporter sur le pouvoir de dire »
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🌾 APPEL À CANDIDATURE : 1000 JEUNES VOLONTAIRES AGRICOLES 🌱 Dans le cadre du Programme Agricole 2025/2026, le Service Civique National lance un appel à candidature pour le recrutement de 1000 jeunes volontaires agricoles, à raison de 2 volontaires par commune à vocation agricole. 🇸🇳 🎯 Missions principales : ✅ Enrôler digitalement les producteurs et mettre à jour les bases de données ✅ Appuyer la distribution et le suivi des intrants subventionnés ✅ Participer à la planification et au suivi de la campagne agricole ✅ Accompagner les producteurs avec les conseillers agricoles ✅ Sensibiliser sur les Bonnes Pratiques Agricoles ✅ Collecter des données agro-climatiques, agricoles et de suivi des cultures ... et plus encore ! 📝 Pour postuler, remplis le formulaire en ligne ici : 👉 https://forms.gle/wZowtgSvw7TGNHHv7 📆 Date limite : mercredi 11 juin 2025 à 23h59. ⏳ Ne tarde pas, les places sont limitées ! 🙋♂️🙋♀️ Jeunes du Sénégal, engagez-vous pour l’avenir de notre agriculture !

De l’honorable Amadou Ba Pastef “Alioune Sall: un ministre aux réformes herculéennes Le ministre Alioune Sall a, en moins de 10 mois, initié l’une des plus grandes et importantes réformes du secteur des médias. On peut mesurer l’ampleur de la tâche à travers le baromètre Canal+ qu’il a obligé à payer plus de 4 milliards de fcfa de redevance. Une première historique. Au début, ceux qui criaient au loup de la purge politique de médias d’opposition, ont ravalé prestement leurs vomissures. Ce qu’il a entrepris dans le secteur des médias, va au-delà de la simple régulation traditionnelle. Il s’agit, dans le vaste mouvement tectonique induit par la fulgurante transformation technologique du secteur, préserver notre SOUVERAINETÉ NUMÉRIQUE. Les grands médias internationaux s’autorisent aujourd’hui, et cela va s’amplifier avec l’IA, de proposer leur contenu et propagande dans nos langues nationales directement aux populations rurales. Cela augmente notre vulnérabilité dans la désinformation et la guerre d’influence des grandes puissances, des multinationales qui captent nos richesses et des lobbies culturelles. Voilà les sentiers herculéens auxquels s’attaque le ministre Alioune Sall, que des groupes d’intérêts veulent noircir en voulant zieuter sur les quelques couacs aux conséquences mineures et facilement réversibles.”

https://x.com/lapatrie221/status/1893579665362551224?s=48&t=jIuyE9hwkZlEVxSjSzyBIw

Lundi 24 février au CICAD 🇸🇳 Le président de la République Bassirou Diomaye Faye lance le New deal technologique, une stratégie ambitieuse pour accélérer la révolution numérique du continent. Innover, Accélérer, Transformer! Powered by AI 🚀🚀


_*Lettre anonyme relative à la situation de Dakaractu non reconnu par l’Etat suite au communiqué du ministère de la communication des télécommunication et de l’économie numérique de ce jeudi 06 février 2025._ Dans le contenu de l’article intitulé « Publication des médias sénégalais : Dakaractu injustement exclu, ferme ses bureaux au Sénégal et s'établit à l'étranger » paru en ligne jeudi 6 février sur le site Dakaractu, il est clairement mentionné «nous exigeons le rétablissement de nos droits ». Il faut souligner que Dakaractu n’a jamais respecté les droits des travailleurs qui exercent depuis des années dans la boite. Ils avaient rangé dans les tiroirs nos droits les plus élémentaires et aujourd’hui que l'organe est exclu, l'organe parle de rétablissement de ses droits. Depuis que l’Etat a exigé aux médias de se conformer aux dispositions fiscales, l'entreprise de presse Dakaractu a tout simplement renvoyé presque tout le personnel au chômage prétextant des difficultés financières. Beaucoup de pères et mères de familles sont restés des mois sans salaires. En termes simples, les responsables de Dakaractu ont laissé pourrir la situation obligeant la quasi totalité des employés à partir. Ils ont ensuite procédé à la « liquidation » des travailleurs de manière individuelle sans fondement légal bafouant les règles et droits des travailleurs. Ils ont proposé 3 mois de salaires. Face à cette situation insoutenable, beaucoup ont accepté de se faire rembourser leurs arriérés en plus d'un ou de 2 mois de salaires faisant objet de leurs départ définitif de la boite. Il faut aussi préciser qu’aucun travailleur de Dakaractu ne bénéficie de contrats de travail et les gens étaient payés par billetage. Le personnel qui était là-bas jusqu’à jeudi (06 février 2025) était considéré comme stagiaireLettre anonyme relative à la situation de Dakaractu non reconnu par l’Etat suite au communiqué du ministère de la communication des télécommunication et de l’économie numérique de ce jeudi 06 février 2025. Dans le contenu de l’article intitulé « Publication des médias sénégalais : Dakaractu injustement exclu, ferme ses bureaux au Sénégal et s'établit à l'étranger » paru en ligne jeudi 6 février sur le site Dakaractu, il est clairement mentionné «nous exigeons le rétablissement de nos droits ». Il faut souligner que Dakaractu n’a jamais respecté les droits des travailleurs qui exercent depuis des années dans la boite. Ils avaient rangé dans les tiroirs nos droits les plus élémentaires et aujourd’hui que l'organe est exclu, l'organe parle de rétablissement de ses droits. Depuis que l’Etat a exigé aux médias de se conformer aux dispositions fiscales, l'entreprise de presse Dakaractu a tout simplement renvoyé presque tout le personnel au chômage prétextant des difficultés financières. Beaucoup de pères et mères de familles sont restés des mois sans salaires. En termes simples, les responsables de Dakaractu ont laissé pourrir la situation obligeant la quasi totalité des employés à partir. Ils ont ensuite procédé à la « liquidation » des travailleurs de manière individuelle sans fondement légal bafouant les règles et droits des travailleurs. Ils ont proposé 3 mois de salaires. Face à cette situation insoutenable, beaucoup ont accepté de se faire rembourser leurs arriérés en plus d'un ou de 2 mois de salaires faisant objet de leurs départ définitif de la boite. Il faut aussi préciser qu’aucun travailleur de Dakaractu ne bénéficie de contrats de travail et les gens étaient payés par billetage. Le personnel qui était là-bas jusqu’à jeudi (06 février 2025) était considéré comme stagiaire hormis un groupe restreint au service choisi par les responsables pour faire le travail sinon ce sont des proches parents du DG. Par ailleurs, il faut rappeler que tous les travailleurs n’ont pas été « indemniser » jusqu'ici et ont été surpris par la décision du groupe de fermer et de s’installer à l’étranger. Une décision qui impacte des personnes soutiens de familles qui sont restés plus de 7 mois sans salaires. En dehors de l’exclusion du groupe Dakaractu des médias, il faut comprendre simplement que les travailleurs n’ont jamais signé de contrats avec leur employeur, les aides à la presse n’ont jamais impacté les conditions de travail, le misérabilisme des salaires, les droits des travailleurs bafoués (absence de cotisations à l’Ipres, absence de prise en charge etc.). Nous réclamons une assistance pour que le groupe Dakaractu indemnise dans les règles de l’art les travailleurs démis ou liquidés. hormis un groupe restreint au service choisi par les responsables pour faire le travail sinon ce sont des proches parents du DG. Par ailleurs, il faut rappeler que tous les travailleurs n’ont pas été « indemniser » jusqu'ici et ont été surpris par la décision du groupe de fermer et de s’installer à l’étranger. Une décision qui impacte des personnes soutiens de familles qui sont restés plus de 7 mois sans salaires. En dehors de l’exclusion du groupe Dakaractu des médias, il faut comprendre simplement que les travailleurs n’ont jamais signé de contrats avec leur employeur, les aides à la presse n’ont jamais impacté les conditions de travail, le misérabilisme des salaires, les droits des travailleurs bafoués (absence de cotisations à l’Ipres, absence de prise en charge etc.). Nous réclamons une assistance pour que le groupe Dakaractu indemnise dans les règles de l’art les travailleurs démis ou liquidés.

📌10 principales irrégularités graves, avec les chiffres clés issus du rapport :🇸🇳 1. Rattachements irréguliers de recettes: -👉🏼2022: 76,86 milliards FCFA de recettes rattachées irrégulièrement. -👉🏼2023: 54,19 milliards FCFA de recettes rattachées irrégulièrement. - 👉🏼Impact sur le déficit: En 2022, le déficit sans rattachements irréguliers est supérieur de 0,46 % du PIB, et en 2023, de 0,27 % du PIB. 2. 📌Non-exhaustivité des restes à recouvrer (RAR): - Créances douanières non incluses: 261,71 milliards FCFA. - Total des RAR au 31 mars 2024: 669,9 milliards FCFA (au lieu de 408,2 milliards FCFA rapportés). 3. 📌Absence de rapports d'évaluation des dépenses fiscales: - 👉🏼Dépenses fiscales non rapportées pour 2022 et 2023: 454,8 milliards FCFA (2022) et 391,7 milliards FCFA (2023) selon la DGD. - 👉🏼Violation de la Décision UEMOA: Les rapports annuels devaient être publiés au plus tard le 31 mars de chaque année. 4. 📌Transferts importants aux services non personnalisés de l'État (SNPE): - 👉🏼Montant total des transferts aux SNPE (2019-2024): 2 562,17 milliards FCFA. - 👉🏼Part des transferts aux SNPE dans les transferts globaux: 28,06 %. 5. 📌Utilisation irrégulière des comptes de dépôt: - 👉🏼Compte "CAP/Gouvernement": 1 343,58 milliards FCFA décaissés entre 2019 et 2023, dont 305,94 milliards FCFA pour le remboursement de dettes bancaires sans lien avec l'objet initial. - 👉🏼Compte "PDIES"** : 303,03 milliards FCFA décaissés entre 2019 et 2023. 6. 📌Discordances sur les données des ressources extérieures: - 👉🏼Écart global entre les données DODP et TOFE: 143,98 milliards FCFA. - 👉🏼Dépenses sur ressources extérieures non enregistrées dans le TOFE: 696,7 milliards FCFA en 2023. 7. 📌Surfinancements non reportés ou utilisés de manière irrégulière: - 👉🏼Surfinancement de 2023: 604,7 milliards FCFA, dont 326,43 milliards FCFA utilisés pour des dépenses sans couverture budgétaire. - 👉🏼Écarts dans les reports de surfinancements: 117,54 milliards FCFA en 2021 et 35,44 milliards FCFA en 2022 non reportés. 8. 📌Dette bancaire importante contractée hors circuit budgétaire: - 👉🏼Encours de la dette bancaire au 31 mars 2024** : 2 517,14 milliards FCFA. - 👉🏼Service de la dette bancaire (2019-2024)** : 2 497 milliards FCFA (dont 298,77 milliards FCFA d'intérêts et 21,73 milliards FCFA de pénalités de retard). 9. 📌Déficits budgétaires sous-estimés** : - 👉🏼Déficit recalculé en 2023** : 2 291 milliards FCFA (12,30 % du PIB), contre 911,7 milliards FCFA (4,90 % du PIB) affiché. - 👉🏼Écart entre déficit affiché et recalculé** : 7,40 % du PIB en 2023. 10. 📌Encours de la dette supérieur aux documents officiels** : - 👉🏼Encours total de la dette au 31 décembre 2023** : 18 558,91 milliards FCFA (99,67 % du PIB), contre 13 854,25 milliards FCFA (74,41 % du PIB) affiché. - 👉🏼Dette bancaire hors cadrage** : 2 096,46 milliards FCFA en 2023 non inclus dans les document Mouhamadou SECK Directeur de Cabinet MCTN

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