
Patrie🇸🇳
February 8, 2025 at 02:28 PM
_*Lettre anonyme relative à la situation de Dakaractu non reconnu par l’Etat
suite au communiqué du ministère de la communication des télécommunication et de
l’économie numérique de ce jeudi 06 février 2025._
Dans le contenu de l’article intitulé « Publication des médias sénégalais : Dakaractu injustement
exclu, ferme ses bureaux au Sénégal et s'établit à l'étranger » paru en ligne jeudi 6 février sur le site Dakaractu,
il est clairement mentionné «nous exigeons le rétablissement de nos droits ». Il faut souligner que Dakaractu n’a jamais respecté les droits des travailleurs qui exercent depuis des années dans la boite. Ils avaient rangé dans les tiroirs nos droits les plus élémentaires et aujourd’hui que l'organe est exclu, l'organe parle de rétablissement de ses droits.
Depuis que l’Etat a exigé aux médias de se conformer aux dispositions fiscales, l'entreprise de presse Dakaractu a tout simplement renvoyé presque tout le personnel au chômage prétextant des difficultés financières. Beaucoup de pères et mères de familles sont restés des mois sans salaires. En termes simples, les responsables de Dakaractu ont laissé pourrir la situation obligeant la quasi totalité des employés à partir. Ils ont ensuite procédé à la « liquidation » des travailleurs de manière individuelle sans fondement légal bafouant les règles et droits des travailleurs. Ils ont proposé 3 mois de salaires. Face à cette situation insoutenable, beaucoup ont accepté de se faire rembourser leurs arriérés en plus d'un ou de 2 mois de salaires
faisant objet de leurs départ définitif de la boite. Il faut aussi préciser qu’aucun travailleur de
Dakaractu ne bénéficie de contrats de travail et les gens étaient payés par billetage. Le personnel qui était là-bas jusqu’à jeudi (06 février 2025) était considéré comme stagiaireLettre anonyme relative à la situation de Dakaractu non reconnu par l’Etat
suite au communiqué du ministère de la communication des télécommunication et de
l’économie numérique de ce jeudi 06 février 2025.
Dans le contenu de l’article intitulé « Publication des médias sénégalais : Dakaractu injustement
exclu, ferme ses bureaux au Sénégal et s'établit à l'étranger » paru en ligne jeudi 6 février sur le site Dakaractu,
il est clairement mentionné «nous exigeons le rétablissement de nos droits ». Il faut souligner que Dakaractu n’a jamais respecté les droits des travailleurs qui exercent depuis des années dans la boite. Ils avaient rangé dans les tiroirs nos droits les plus élémentaires et aujourd’hui que l'organe est exclu, l'organe parle de rétablissement de ses droits.
Depuis que l’Etat a exigé aux médias de se conformer aux dispositions fiscales, l'entreprise de presse Dakaractu a tout simplement renvoyé presque tout le personnel au chômage prétextant des difficultés financières. Beaucoup de pères et mères de familles sont restés des mois sans salaires. En termes simples, les responsables de Dakaractu ont laissé pourrir la situation obligeant la quasi totalité des employés à partir. Ils ont ensuite procédé à la « liquidation » des travailleurs de manière individuelle sans fondement légal bafouant les règles et droits des travailleurs. Ils ont proposé 3 mois de salaires. Face à cette situation insoutenable, beaucoup ont accepté de se faire rembourser leurs arriérés en plus d'un ou de 2 mois de salaires
faisant objet de leurs départ définitif de la boite. Il faut aussi préciser qu’aucun travailleur de
Dakaractu ne bénéficie de contrats de travail et les gens étaient payés par billetage. Le personnel qui était là-bas jusqu’à jeudi (06 février 2025) était considéré comme stagiaire hormis un groupe restreint au service choisi par les responsables pour faire le travail sinon ce sont des proches parents du DG.
Par ailleurs, il faut rappeler que tous les travailleurs n’ont pas été « indemniser » jusqu'ici et ont été surpris par la décision du groupe de fermer et de s’installer à l’étranger. Une décision qui impacte des
personnes soutiens de familles qui sont restés plus de 7 mois sans salaires.
En dehors de l’exclusion du groupe Dakaractu des médias, il faut comprendre simplement que les travailleurs n’ont jamais signé de contrats avec leur employeur, les aides à la presse n’ont jamais
impacté les conditions de travail, le misérabilisme des salaires, les droits des travailleurs bafoués
(absence de cotisations à l’Ipres, absence de prise en charge etc.).
Nous réclamons une assistance pour que le groupe Dakaractu indemnise dans les règles de l’art les
travailleurs démis ou liquidés. hormis un groupe restreint au service choisi par les responsables pour faire le travail sinon ce sont des proches parents du DG.
Par ailleurs, il faut rappeler que tous les travailleurs n’ont pas été « indemniser » jusqu'ici et ont été surpris par la décision du groupe de fermer et de s’installer à l’étranger. Une décision qui impacte des
personnes soutiens de familles qui sont restés plus de 7 mois sans salaires.
En dehors de l’exclusion du groupe Dakaractu des médias, il faut comprendre simplement que les travailleurs n’ont jamais signé de contrats avec leur employeur, les aides à la presse n’ont jamais
impacté les conditions de travail, le misérabilisme des salaires, les droits des travailleurs bafoués
(absence de cotisations à l’Ipres, absence de prise en charge etc.).
Nous réclamons une assistance pour que le groupe Dakaractu indemnise dans les règles de l’art les
travailleurs démis ou liquidés.