
Être Comme Jésus
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Apprendre à ressembler chaque jour un peu plus à Jésus ✝️
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Donnez l'exemple du caractère sacré du sabbat et enseignez-le, 19 mai « Et ces paroles que je te donne aujourd'hui seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes fils et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. » (Deutéronome 6:6-7 NVS78P) Vous avez manqué, au sein de votre famille, à apprécier le caractère sacré du sabbat, à l'enseigner à vos enfants et à leur inculquer l'importance de le respecter conformément au commandement. Votre sensibilité n'est pas assez claire pour discerner le niveau élevé que nous devons atteindre afin d'être des observateurs des commandements. Mais Dieu vous aidera dans vos efforts lorsque vous vous attellerez sérieusement à cette tâche. Vous devez exercer un contrôle parfait sur vous-même ; vous réussirez alors mieux à contrôler vos enfants lorsqu'ils sont indisciplinés. Vous avez devant vous une grande tâche pour réparer les négligences passées, mais vous n'êtes pas tenu de l'accomplir par vos propres forces. Des anges gardiens vous aideront dans cette tâche. N'abandonnez pas le travail et ne mettez pas de côté ce fardeau, mais saisissez-le avec volonté et réparez votre longue négligence. Vous devez avoir une vision plus élevée des exigences de Dieu à votre égard en ce qui concerne son jour saint. Tout ce qui peut être fait pendant les six jours que Dieu vous a donnés doit être fait. Vous ne devez pas priver Dieu d'une seule heure de temps saint. De grandes bénédictions sont promises à ceux qui accordent une grande valeur au sabbat et qui réalisent les obligations qui leur incombent en ce qui concerne son observance : « Si tu retiens ton pied pendant le sabbat, Pour ne pas faire ta volonté en mon saint jour, Si tu fais du sabbat tes délices, Pour sanctifier l’Éternel en le glorifiant, [...] je te ferai monter sur les hauteurs du pays, Je te ferai jouir de l’héritage de Jacob, ton père; Car la bouche de l’Éternel a parlé. » (Ésaïe 58:13-14 LSG). Lorsque le sabbat commence, nous devons veiller sur nous-mêmes, sur nos actes et nos paroles, de peur de priver Dieu en nous appropriant à notre usage ce temps qui appartient strictement au Seigneur... Rien de ce qui, aux yeux du Ciel, est considéré comme une violation du saint sabbat ne doit être laissé de côté, ni dit ou fait pendant le sabbat. Dieu exige non seulement que nous nous abstenions de tout travail physique pendant le sabbat, mais aussi que notre esprit soit discipliné pour s'attarder sur des thèmes sacrés. — Testimonies for the Church 2:701-703.


Un jour pour faire preuve de miséricorde, le 18 mai « A toi aussi, Seigneur! La bonté; Car tu rends à chacun selon ses œuvres. » (Psaumes 62:13 LSG) Le Seigneur Dieu de Sabaoth entendra les prières sincères. Il conduira ceux qui se sentent dépendants de lui et guidera les ouvriers de telle sorte que de nombreuses âmes parviendront à la connaissance de la vérité. La vérité telle qu'elle est en Jésus exerce une influence transformatrice sur l'esprit de ceux qui la reçoivent. Que personne n'oublie que Dieu est toujours majoritaire et qu'avec lui, le succès couronne tous les efforts missionnaires. Ceux qui ont une relation vivante avec Dieu savent que la divinité agit à travers l'humanité. Toute âme qui coopère avec Dieu agira avec justice, aimera la miséricorde et marchera humblement avec Dieu. Le Seigneur est un Dieu miséricordieux, et il prend soin même des bêtes muettes qu'il a créées. Lorsqu'il guérit quelqu'un le jour du sabbat et qu'on l'accuse d'avoir enfreint la loi de Dieu, il dit à ses accusateurs : « Est-ce que chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache pas de la crèche son bœuf ou son âne, pour le mener boire? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat? Tandis qu’il parlait ainsi, tous ses adversaires étaient confus, et la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qu’il faisait. » (Luc 13:15-17 LSG) Le Seigneur regarde avec compassion les créatures qu'il a faites, quelle que soit leur race. Dieu « a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure; il a voulu qu’ils cherchassent le Seigneur, et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est ce qu’ont dit aussi quelques-uns de vos poètes: De lui nous sommes la race… » (Actes 17:26-28 LSG) S'adressant à ses disciples, le Sauveur a dit : « Vous êtes tous frères. » Dieu est notre Père commun, et chacun de nous est le gardien de son frère. — The Review and Herald, 21 janvier 1896.


Le sabbat commémore un jour littéral, le 22 mai « Dieu tonne avec sa voix d’une manière merveilleuse; Il fait de grandes choses que nous ne comprenons pas. » (Job 37:5 LSG) Lorsque Dieu a prononcé sa loi d'une voix audible depuis le Sinaï, il a introduit le sabbat en disant : « Souviens-toi du jour du sabbat, pour le sanctifier. » Il déclare ensuite clairement ce qui doit être fait pendant les six jours et ce qui ne doit pas être fait le septième jour. Il donne ensuite la raison pour laquelle il faut observer ainsi la semaine, en nous renvoyant à Son exemple lors des sept premiers jours du temps. « Car en six jours, l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour ; c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du sabbat et l'a sanctifié. » Cette raison semble belle et convaincante lorsque nous comprenons que le récit de la création doit être pris au sens littéral. Les six premiers jours de chaque semaine nous sont donnés pour travailler, car Dieu a employé la même période de la première semaine pour l'œuvre de la création. Dieu a réservé le septième jour comme jour de repos, en commémoration de son repos pendant la même période après avoir accompli l'œuvre de la création en six jours. Mais l'hypothèse infidèle selon laquelle les événements de la première semaine ont nécessité sept périodes vastes et indéfinies pour s'accomplir, frappe directement le fondement du sabbat du quatrième commandement. Elle rend indéfini et obscur ce que Dieu a rendu très clair. C'est la pire forme d'infidélité, car pour beaucoup de ceux qui professent croire au récit de la création, c'est une infidélité déguisée. Elle accuse Dieu de nous avoir commandé d'observer la semaine de sept jours littéraux en commémoration de sept périodes indéfinies, ce qui est contraire à Sa manière d'agir avec nous et constitue une atteinte à Sa sagesse... La Parole de Dieu est donnée comme une lampe à nos pieds et une lumière sur notre sentier. Ceux qui rejettent Sa Parole et cherchent par leur propre philosophie aveugle à pénétrer les mystères de Jéhovah trébucheront dans les ténèbres. Un guide a été donné aux mortels afin qu'ils puissent retracer Ses œuvres dans la mesure où cela est pour leur bien. L'inspiration, en nous donnant l'histoire du déluge, a expliqué de merveilleux mystères que la géologie seule n'aurait jamais pu percer. — The Signs of the Times, 20 mars 1879.


Les commandements sont pour tous, 20 mai « Et les étrangers qui s’attacheront à l’Éternel pour le servir, Pour aimer le nom de l’Éternel, Pour être ses serviteurs, Tous ceux qui garderont le sabbat, pour ne point le profaner, Et qui persévéreront dans mon alliance, Je les amènerai sur ma montagne sainte. » (Ésaïe 56:6-7 LSG) Sous la loi mosaïque, les étrangers et les eunuques étaient exclus du plein exercice des privilèges accordés à Israël. Mais le prophète déclare qu'un temps viendra où ces restrictions cesseront. Les oracles sacrés étaient spécialement confiés aux Juifs ; ne pas être Israélite, c'était ne pas appartenir au peuple privilégié de Dieu. Les Juifs en étaient venus à se considérer de plus en plus comme supérieurs, de droit divin, à tous les autres peuples de la terre ; pourtant, ils n'avaient pas pris soin de maintenir leur caractère distinct et saint en obéissant à tous les commandements de Dieu. Or, le prophète déclare que l'étranger qui aimera et obéira à Dieu jouira des privilèges qui appartenaient exclusivement au peuple élu. Jusqu'alors, la circoncision et l'observance stricte de la loi cérémonielle étaient les conditions auxquelles les païens pouvaient être admis dans la congrégation d'Israël ; mais ces distinctions devaient être abolies par l'Évangile. [Ésaïe 56:6-8 cité.] ... La première partie d'Ésaïe 58 nous montre un peuple qui semble se complaire dans le service de Dieu ; il le cherche chaque jour, « Comme une nation qui aurait pratiqué la justice Et n’aurait pas abandonné la loi de son Dieu. » (Ésaïe 58:2). Pourtant, sa vie n'est pas droite devant le Seigneur, car il commande à son prophète : « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, Élève ta voix comme une trompette, Et annonce à mon peuple ses iniquités, A la maison de Jacob ses péchés! » (Ésaïe 58:1 LSG). Cette prophétie s'étend sur les siècles jusqu'à l'époque où l'homme pécheur a tenté d'annuler l'un des préceptes de la loi de Dieu, de fouler aux pieds le sabbat originel de Jéhovah et d'exalter à sa place l'une de ses propres créations. Et lorsque le monde chrétien a mis de côté le saint sabbat de Dieu et a accepté à sa place un jour ouvrable ordinaire, sans l'approbation d'un seul « Ainsi parle l'Éternel », il a encouragé l'infidélité et a pratiquement reconnu la suprématie de la puissance par l'autorité de laquelle seul ce changement a été effectué. Le rejet du sabbat a conduit au rejet de toute la loi, et des milliers de chrétiens professants le déclarent maintenant audacieusement nul et non avenu. — The Signs of the Times, 28 février 1884.


Le sabbat, signe d'une alliance, 16 mai « Ce sera entre moi et les enfants d’Israël un signe qui devra durer à perpétuité; car en six jours l’Éternel a fait les cieux et la terre, et le septième jour il a cessé son œuvre et il s’est reposé. » (Exode 31:17 LSG) Si les hommes et les femmes reconnaissaient le véritable sabbat, ils ne mépriseraient pas la Parole de Dieu comme ils le font actuellement. L'observance du septième jour serait une chaîne d'or qui les relierait à leur Créateur. Mais le commandement qui désigne le véritable Dieu, le Créateur et le Souverain de la terre, est déshonoré et désobéi. C'est la raison pour laquelle il y a si peu de stabilité dans le monde. Les Églises ont refusé le signe de Dieu et ont déformé son caractère. Elles ont détruit le jour de repos sacré de Dieu et ont exalté à sa place un faux sabbat. Oh, que les hommes et les femmes cessent de se fermer eux-mêmes la porte du ciel par leur perversité ! — Manuscript Releases 5:82. Une brèche a été faite dans la loi de Dieu, et il appelle un peuple qui réparera cette brèche. Un faux sabbat a été exalté à la place du sabbat de Jéhovah. Bientôt, des lois seront adoptées pour obliger tout le monde à observer le premier jour de la semaine au lieu du septième. Nous devons faire face à cette difficulté, et nous aurons assez de problèmes sans susciter de querelles parmi ceux qui professent garder les commandements de Dieu. — Manuscript Releases 5:82, 83. Avec ces paroles claires [Exode 31:16, 17] devant nous, qui parmi ceux qui connaissent la vérité osera minimiser les caractéristiques distinctives de notre foi ? C'est un fait établi, qui doit être mis en évidence devant toutes les nations, toutes les tribus, toutes les langues et tous les peuples, que le Seigneur Dieu a créé le monde en six jours et s'est reposé le septième jour. « Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite: et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait faite. » (Genèse 2:1-2 LSG) — Manuscript Releases 5:83. Le sabbat était le signe de Dieu entre lui et son peuple, la preuve de sa bonté, de sa miséricorde et de son amour, un signe distinctif qui distinguait son peuple de tous les faux religieux du monde. Et Dieu s'est engagé à les bénir dans leur obéissance, se montrant ainsi comme leur Dieu, les ayant pris dans une relation d'alliance avec lui-même, et à accomplir sa promesse envers tous ceux qui lui obéissent. — Manuscript Releases 5:84.


Jésus a observé le sabbat en faisant le bien, 21 mai « Et Jésus leur dit: Je vous demande s’il est permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une personne ou de la tuer. » (Luc 6:9 LSG) Il n'y a pas violation du sabbat à accomplir des travaux nécessaires, comme soigner les malades ou les personnes âgées, et soulager la détresse. De telles œuvres sont en parfaite harmonie avec la loi du sabbat. Notre grand modèle était toujours actif le jour du sabbat, lorsque les besoins des malades et des souffrants se présentaient à lui. Les pharisiens, à cause de cela, l'accusaient d'avoir violé le sabbat, comme le font aujourd'hui de nombreux ministres qui s'opposent à la loi de Dieu. Mais nous disons : Que Dieu soit vrai, et que tout homme soit menteur qui ose porter cette accusation contre le Sauveur. Jésus répondit ainsi à l'accusation des Juifs :« Si vous saviez ce que signifie: Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices, vous n’auriez pas condamné des innocents. » (Matthieu 12:7 LSG). Il leur avait déjà déclaré qu'il avait observé les commandements de son Père. Quand il fut accusé d'avoir violé le sabbat en guérissant la main desséchée, il se tourna vers ses accusateurs et leur demanda : « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une vie ou de tuer ? » En résumant sa réponse aux questions des pharisiens, il dit : « Il est donc permis de faire du bien les jours de sabbat. » (Matthieu 12:12 LSG). Ici, Christ justifie son œuvre comme étant en parfaite harmonie avec la loi du sabbat. — Les Signes des Temps, 28 février 1878. Ceux qui soutiennent que Christ a aboli la loi enseignent qu'il a violé le sabbat et justifié ses disciples d'en faire autant. Ils adoptent ainsi la même position que les Juifs cavaliers. Ce faisant, ils contredisent le témoignage du Christ lui-même, qui a déclaré : « J'ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour » (Jean 15:10). Ni le Sauveur ni ses disciples n'ont enfreint la loi du sabbat. Le Christ était un représentant vivant de la loi. Aucune violation de ses saints préceptes n'a été trouvée dans sa vie. Considérant une nation de témoins qui cherchaient une occasion de le condamner, il pouvait dire sans être contesté : « Qui de vous me convaincra de péché? » (Jean 8:46 LSG)... « Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le sabbat » (Marc 2:27), a dit Jésus. Les institutions que Dieu a établies sont pour le bien de l'humanité.... Dieu a donné à son peuple, comme une bénédiction, la loi des dix commandements, dont le sabbat fait partie. « L’Éternel nous a commandé de mettre en pratique toutes ces lois, et de craindre l’Éternel, notre Dieu, afin que nous fussions toujours heureux, et qu’il nous conservât la vie. » (Deutéronome 6:24). — The Desire of Ages, p. 287, 288.


Croyez en la Parole de Dieu, pas en la raison humaine, 24 mai « Les choses cachées sont à l’Éternel, notre Dieu; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. » (Deutéronome 29:29 LSG) Satan s'est donné pour mission particulière d'inciter l'humanité déchue à se rebeller contre le gouvernement de Dieu, et il a trop bien réussi dans ses efforts. Il a essayé d'obscurcir la loi de Dieu, qui est en soi très claire. Il a manifesté une haine particulière contre le quatrième commandement du Décalogue, car il définit le Dieu vivant, le créateur des cieux et de la terre. Cédant à ses stratagèmes, les gens se sont détournés des préceptes les plus clairs de Jéhovah pour accepter des fables infidèles. Ils seront sans excuse. Dieu a donné suffisamment de preuves sur lesquelles fonder la foi, si l'on veut croire. Dans les derniers jours, la terre sera presque dépourvue de la vraie foi. Sous le moindre prétexte, la Parole de Dieu sera considérée comme peu fiable, tandis que le raisonnement humain sera accepté, même s'il est en contradiction avec les faits clairs de l'Écriture. Les hommes et les femmes s'efforceront d'expliquer par des causes naturelles l'œuvre de la création. Mais Dieu n'a jamais révélé aux mortels comment il a accompli son œuvre. La science humaine ne peut percer les secrets du Dieu du ciel... Des êtres humains qui se disent ministres de Dieu s'élèvent contre l'étude des prophéties et disent au peuple que les prophéties, en particulier celles de Daniel et de Jean, sont obscures et que nous ne pouvons les comprendre. Pourtant, certains d'entre eux acceptent avec empressement les suppositions des géologues qui contestent le récit mosaïque. Mais si la volonté révélée de Dieu est si difficile à comprendre, les gens ne devraient certainement pas fonder leur foi sur de simples suppositions concernant ce qu'Il n'a pas révélé. Les voies de Dieu ne sont pas nos voies, et ses pensées ne sont pas nos pensées... Les hommes, avec leur raisonnement vain, font un mauvais usage de ces choses que Dieu a destinées à les amener à l'exalter. Ils tombent dans la même erreur que le peuple avant le déluge : ils ont transformé en malédiction ce que Dieu leur avait donné comme un bienfait, en en faisant un mauvais usage. — The Signs of the Times, 20 mars 1879.


Le sabbat nous rappelle la puissance créatrice de Dieu, 23 mai « L’Éternel est grand et très digne de louange, Et sa grandeur est insondable. » (Psaumes 145:3 LSG) Les géologues infidèles affirment que le monde est beaucoup plus ancien que ne le dit la Bible. Ils rejettent le témoignage de la Parole de Dieu à cause de ce qui, pour eux, constitue des preuves provenant de la terre elle-même qu'elle existe depuis des dizaines de milliers d'années. Et beaucoup de ceux qui professent croire en la Bible sont incapables d'expliquer les choses merveilleuses qui se trouvent sur la terre, estimant que la semaine de la création n'a duré que sept jours littéraux et que le monde n'a maintenant que six mille ans environ. Pour se libérer des difficultés que leur posent les géologues infidèles, ils adoptent l'idée que les six jours de la création ont été six périodes vastes et indéfinies, et que le jour de repos de Dieu a été une autre période indéfinie, rendant ainsi absurde le quatrième commandement de la sainte loi de Dieu. Certains acceptent volontiers cette position, car elle détruit la force du quatrième commandement et les libère de ce qu'ils considèrent comme une exigence. On trouve des ossements d'êtres humains et d'animaux dans la terre, dans les montagnes et dans les vallées, ce qui prouve qu'il existait autrefois des êtres humains et des animaux beaucoup plus grands. On trouve parfois des instruments de guerre, ainsi que du bois pétrifié. Comme les ossements trouvés sont beaucoup plus grands que ceux des êtres humains et des animaux qui vivent aujourd'hui ou qui ont existé pendant de nombreuses générations, certains en concluent que la terre était peuplée bien avant la création par une race d'êtres d'une taille largement supérieure à celle des êtres qui vivent aujourd'hui. Ceux qui raisonnent ainsi ont une idée très limitée de la taille des hommes, des animaux et des arbres avant le déluge, ainsi que des grands changements qui se sont alors produits sur la terre. Sans l'histoire biblique, la géologie ne peut rien prouver... Lorsque les êtres humains s'éloignent de la Parole de Dieu et cherchent à expliquer ses œuvres créatrices à l'aide de principes naturels, ils se trouvent dans un océan d'incertitude sans limites. Dieu n'a jamais révélé aux mortels comment il a accompli l'œuvre de la Création en six jours littéraux. Ses œuvres créatrices sont aussi incompréhensibles que son existence. — The Signs of the Times, 20 mars 1879.


Une journée de guérison et de joie, le 17 mai « Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait opéré cette guérison un jour de sabbat, dit à la foule: Il y a six jours pour travailler; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. » (Luc 13:14 LSG) « Jésus enseignait dans une des synagogues, le jour du sabbat. Et voici, il y avait là une femme possédée d’un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans; elle était courbée, et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu’il la vit, Jésus lui adressa la parole, et lui dit: Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Et il lui imposa les mains. A l’instant elle se redressa, et glorifia Dieu. » (Luc 13:10-13 LSG) Le cœur compatissant du Christ fut touché à la vue de cette femme souffrante, et nous devons supposer que tous ceux qui la regardaient se réjouissaient qu'elle fût délivrée de son esclavage et guérie d'une affliction qui l'avait courbée pendant dix-huit ans. Mais Jésus percevait, à l'air sombre et courroucé des prêtres et des rabbins, qu'ils ne ressentaient aucune joie à la délivrance de cette femme. Ils n'étaient pas prêts à prononcer des paroles de reconnaissance parce qu'une personne qui avait souffert et avait été défigurée par la maladie avait retrouvé la santé et la symétrie. Ils ne ressentaient aucune gratitude que son corps difforme ait été rendu beau et que le Saint-Esprit ait réjoui son cœur jusqu'à ce qu'il déborde de reconnaissance et qu'elle glorifie Dieu. Le psalmiste dit : « Celui qui offre pour sacrifice des actions de grâces me glorifie. » (Psaumes 50:23 LSG). Mais au milieu des paroles de gratitude, on entend une note discordante. « Et le chef de la synagogue répondit avec indignation, parce que Jésus avait guéri le jour du sabbat. » Il était indigné que le Christ ait fait entendre une note de joie à une femme malheureuse le jour du sabbat. D'une voix forte, dure de passion, il dit au peuple : « Il y a six jours où les hommes doivent travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. » Si cet homme avait vraiment eu des scrupules de conscience quant à la véritable observance du sabbat, il aurait discerné la nature et le caractère de l'œuvre accomplie par le Christ... L'œuvre accomplie par le Christ était en harmonie avec la sanctification du jour du sabbat. Les gens, de part et d'autre, s'étonnaient et se réjouissaient de ce qui avait été fait pour la femme souffrante ; et il y en avait dont le cœur était touché, dont l'esprit était éclairé, qui se seraient reconnus disciples de Christ, si les visages sombres et courroucés des rabbins ne les en avaient empêchés. — Les Signes des Temps, 23 avril 1896.


Le sabbat, conçu pour nous mettre en harmonie avec Dieu, 15 mai « Puis il leur dit: Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat. » (Marc 2:27 LSG) Lorsqu'il fut accusé d'avoir enfreint le sabbat à Bethesda, Jésus se défendit en affirmant sa filiation avec Dieu et en déclarant qu'il œuvrait en harmonie avec le Père. Maintenant que les disciples sont attaqués, il cite à ses accusateurs des exemples tirés de l'Ancien Testament, des actes accomplis le jour du sabbat par ceux qui étaient au service de Dieu. Les enseignants juifs se vantaient de leur connaissance des Écritures, et la réponse du Sauveur contenait une réprimande implicite pour leur ignorance des Écritures sacrées. « Jésus leur répondit: N’avez-vous pas lu ce que fit David, lorsqu’il eut faim, lui et ceux qui étaient avec lui; 4. comment il entra dans la maison de Dieu, prit les pains de proposition, [...] bien qu’il ne soit permis qu’aux sacrificateurs de les manger? » (Luc 6:3-4 LSG). « Puis il leur dit: Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat. » (Marc 2:27). « N’avez-vous pas lu dans la loi que, les jours de sabbat, les sacrificateurs violent le sabbat dans le temple, sans se rendre coupables? Or, je vous le dis, il y a ici quelque chose de plus grand que le temple. » (Matthieu 12:5, 6). « Le Fils de l'homme est maître même du sabbat » (Marc 2:28).... Jésus ne laissa pas passer cette occasion sans réprimander ses ennemis. Il déclara que, dans leur aveuglement, ils s'étaient trompé sur le but du sabbat. Il dit : « Si vous saviez ce que signifie: Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices, vous n’auriez pas condamné des innocents. » (Matthieu 12:7). Leurs nombreux rites sans cœur ne pouvaient suppléer à l'absence de cette intégrité sincère et de cet amour tendre qui caractérisent toujours le véritable adorateur de Dieu... C'est le service de l'amour que Dieu apprécie. Quand celui-ci manque, la simple répétition des cérémonies est une offense à Dieu. Il en va de même pour le sabbat. Il a été conçu pour amener les hommes et les femmes en communion avec Dieu ; mais lorsque l'esprit était absorbé par des rites fastidieux, l'objectif du sabbat était contrecarré. Sa simple observance extérieure était une moquerie. — The Desire of Ages, p. 284-286.
