https://www.instagram.com/p/DJ2gkFZMM5C/?igsh=MXZpd2puN2ozajR2aw== La toxicité relationnelle…ces liens où l’on subit plus de mal-être que de bien-être.. Ce n’est pas toujours une gifle ou un cri. Parfois, c’est un silence lourd, une remarque acide, un regard qui vous diminue. Ce sont ces liens qui, au lieu de vous nourrir, vous épuisent. Dans le couple, cela prend la forme d’un déséquilibre invisible : conflits cycliques, jeux de pouvoir, besoin de dominer plutôt que d’aimer. Mais ce poison se glisse aussi dans la famille ou l’amitié, là où on ne pense pas à se protéger. On parle de relation toxique lorsque le mal-être l’emporte sur le bien-être. Quand l’autre vous fragilise plus qu’il ne vous soutient. Et cela touche plus de monde qu’on ne l’imagine : 84 % des femmes et 75 % des hommes disent avoir déjà eu un ami toxique. La toxicité ne connaît ni genre, ni milieu, ni degré d’intimité. Les signes sont parfois discrets, mais récurrents :
 • Des critiques qui rongent et servent à diminuer, même derrière un sourire.
 • Des réussites minimisées, et des échecs exagérément pointés pour créer une dépendance émotionnelle.
 • Une jalousie masquée en inquiétude, un contrôle en affection pour isoler.
 • Des conflits en boucle, sans résolution, juste pour user l’autre. Les cycles « je te quitte, je reviens »
 • Et cette manipulation subtile — le doute qui s’installe, l’impression que « c’est toi le problème ». Un parent peut exercer un chantage affectif. Un ami peut briller en votre absence, mais s’éteindre dès que vous allez bien. Un conjoint peut vous faire douter de vos intuitions jusqu’à ce que vous ne sachiez plus qui vous êtes. Ce genre de relation vous tire vers le bas. Elle pèse sur l’estime de soi, bloque les projets, provoque stress, anxiété, fatigue chronique. Elle vous fait douter de votre valeur, jusqu’à parfois préférer la solitude. Alors oui, mieux vaut parfois être seul que mal entouré. Identifiez les dynamiques. Mettez des mots sur ce que vous ressentez. Posez vos limites. Entourez-vous de ceux qui vous élèvent. Reposez-vous sur un thérapeute, un allié, un groupe qui vous comprend. Vous n’avez pas à tout endurer. Vous méritez des liens qui construisent, pas des relations qui rongent.