Ce qui devait être un rêve est devenu un carnage.
Elles ont cru à une transformation. Elles ont reçu la dévastation. Sous couvert de chirurgie esthétique à bas prix, Laura J., une intermédiaire basée en Martinique, a mis en place un système froid, structuré et cynique, destiné à exploiter les corps et les économies de femmes vulnérables.
 Elle encaisse des sommes énormes — jusqu’à 10 000 € en liquide — sans garantie, sans contrat, sans cadre légal.
Pas de suivi médical. Pas de sécurité. Pas d’humanité. Les victimes sont expédiées vers Saint-Domingue, livrées à un gynécologue qui n’a aucune qualification en chirurgie esthétique.
Un homme dont les interventions ont déjà causé des décès dans son pays.
Un homme qui continue d’opérer dans l’ombre, en toute impunité, pendant que Laura J. recrute encore. Certaines patientes ne seront jamais opérées. D’autres ressortent tailladées, infectées, marquées à vie.
Aucune explication. Aucun remboursement.
Juste un mépris glacial, et le silence. Les dégâts sont multiples :
Des corps mutilés. Des ventres déformés. Des douleurs permanentes. Des cicatrices visibles et invisibles.
Mais aussi des femmes psychologiquement brisées, piégées dans une honte dont elles ne sont pas responsables. Pendant ce temps, Laura J. continue.👉🏽 Son compte Instagram : @muneca_dolls_house
Elle efface les traces, change de numéro, crée de nouveaux comptes, et pioche dans l’angoisse d’autres femmes.
Chaque message privé, chaque promesse de "prix réduit", cache une bombe à retardement. Ce n’est pas une erreur. Ce n’est pas un cas isolé.
C’est une chaîne d’exploitation bien huilée, un business sans morale, où le corps féminin est traité comme un produit à broyer. Et tant que cette affaire n’éclate pas, elle continuera. Aucune victime ne doit être blâmée. 
 Partage. Dénonce. Préviens. Sources : Plusieurs victimes et France Antilles