Le CHU Brazzaville est devenu un mouroir public, par manque de plateau médical adéquat, manque de logistique literie toilettes (WC DOUCHE) lumière et médicaments de première nécessité en pharmacie hospitalière. À cela, s'ajoute le manque de professionnalisme du personnel de santé. Les médecins (docteurs) prescrivent des ordonnances fantaisistes en surplus qui ne sont pas prévus aux traitements des patients. Les malades sont obligés d'aller faire des examens médicaux coûteux dans les cliniques privées du choix des médecins docteurs. Le sens du commerce devient développé en milieu médical.