Alioune NDIAYE Écrivain

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Alioune NDIAYE Écrivain
5/20/2025, 5:46:11 AM

Les chroniques de la participation citoyenne (152) L’écrivain Alioune Ndiaye : une plume engagée au service de la transformation systémique du Sénégal Dans le tumulte de la société sénégalaise contemporaine, où les défis se multiplient et les repères vacillent, Alioune Ndiaye s’impose comme une voix rare, lucide et résolument tournée vers l’action. Plus qu’un écrivain, il est un éclaireur engagé, un penseur du réel, un stratège du changement qui mobilise sa plume comme une arme de reconstruction nationale. À travers une œuvre aussi foisonnante qu’exigeante – plus de cinquante ouvrages publiés sur Amazon –, il explore les chemins de l’éducation, de la formation professionnelle, de la justice sociale et de la souveraineté intellectuelle. Son credo : écrire pour transformer, non pour séduire. Penser pour agir, non pour distraire. Une trajectoire nourrie par l’engagement et l’expertise Alioune Ndiaye n’est pas un écrivain de salon. Il est un homme d’action, de terrain, de convictions forgées par l’expérience. Formé en développement international à Séoul, ancien élève de prestigieux intellectuels comme Souleymane Bachir Diagne, il a travaillé au cœur des politiques publiques, notamment à la tête de la cellule d’évaluation du ministère sénégalais de la formation professionnelle. Cette double légitimité – académique et institutionnelle – donne à ses écrits une densité rare, alliant rigueur analytique, vision stratégique et appel à la mobilisation citoyenne. Un combat pour la dignité humaine par l’éducation Au centre de sa pensée se trouve une idée force : la transformation systémique du Sénégal passe par l’investissement massif dans le capital humain, notamment dans les mille premiers jours de vie, l’alphabétisation des masses, et l’orientation vers une formation technique et professionnelle ancrée dans les réalités locales. Loin des slogans, Alioune Ndiaye propose des plans d’action, des dispositifs législatifs concrets, des modèles d’évaluation participative, et une refonte de l’école pour en faire un levier de justice sociale et de compétitivité. Une critique sans complaisance des modèles dominants L’auteur ne se contente pas d’analyser ou de décrire. Il interroge, dérange, remet en cause les modèles importés et les dogmes technocratiques. Il dénonce les formes de dépendance cognitive, les politiques dictées par l’extérieur, et appelle à une souveraineté intellectuelle, politique et économique réellement assumée. Mais cette critique n’est jamais nihiliste : elle est constructive, étayée, orientée vers la refondation des institutions et l’émergence d’une citoyenneté active. Une parole libre, ancrée dans le réel Dans un contexte où la parole publique est souvent aseptisée ou opportuniste, Alioune Ndiaye se distingue par sa liberté de ton, son audace intellectuelle et sa cohérence morale. Ni opposant systématique ni thuriféraire des pouvoirs en place, il assume une position de veilleur citoyen, toujours prêt à collaborer avec ceux qui partagent son idéal de transformation. Il ne se réclame d’aucune chapelle partisane, mais agit en patriote radical, au service de la justice, de l’équité et de la vérité. Vers une révolution éthique et participative Au-delà des politiques publiques, l’écrivain appelle à une révolution éthique : réconcilier l’élite et le peuple, valoriser l’intégrité, restaurer la confiance dans les institutions, promouvoir la vérité dans l’action publique. Il milite pour une démocratie participative, où chaque citoyen est acteur et non spectateur de la transformation. Dans ses dernières publications, il propose la création de fondations éducatives, d’observatoires citoyens, et de pôles d’innovation sociale, afin de rendre durable le changement. Une œuvre au service de l’avenir Alioune Ndiaye est de ces intellectuels rares qui refusent la résignation, qui préfèrent la complexité du réel au confort des idées reçues. Sa plume est celle de la conscience éveillée, de l’action réfléchie, du patriotisme éclairé. Il nous rappelle que l’écriture n’est pas un luxe, mais un acte de responsabilité envers les générations futures. Dans un Sénégal en quête de repères, sa voix compte. Elle dérange parfois, inspire souvent, mais toujours pousse à penser autrement et à agir mieux. Car au fond, c’est cela qu’il nous enseigne : la transformation ne se décrète pas, elle s’écrit, se construit, se vit. Alioune Ndiaye Expert en développement international Écrivain Militant de la Transformation Nationale

Alioune NDIAYE Écrivain
5/20/2025, 5:46:09 AM

Les chroniques de la participation citoyenne (153) Le Dialogue national : Symptôme, Diagnostic et Thérapie d’un Sénégal en quête de refondation Le Dialogue national prévu le 28 mai 2025 sous l’impulsion du président Bassirou Diomaye Faye n’est pas un simple rendez-vous politique. Il constitue une radiographie des tensions et aspirations profondes de la société sénégalaise, révélant les lignes de fracture autant que les germes d’un renouveau. À ce titre, il offre une lecture précieuse de l’étiologie politique, sociale et institutionnelle du pays. 1. Un symptôme de crise systémique La seule nécessité d’un dialogue national montre que le Sénégal traverse une crise de confiance entre gouvernants et gouvernés, entre majorité et opposition, entre promesses démocratiques et réalités vécues. Cette initiative est le signe manifeste d’un système en recherche de respiration, pris en étau entre lassitude citoyenne et espoirs de rupture. 2. Un diagnostic collectif des urgences nationales Les formations qui y adhèrent posent des exigences claires : aborder la dette, l’injustice fiscale, la précarité, l’exclusion de la diaspora, l’emploi des jeunes. Autant de sujets qui dépassent les joutes partisanes pour révéler une aspiration à une démocratie utile, au service des urgences concrètes. Le Dialogue devient ainsi un scanner du réel, loin des discours creux. 3. Un révélateur de fractures Les réserves de certains partis politiques (UDS/A, PIT) révèlent une autre vérité : le mal démocratique sénégalais est aussi institutionnel et moral. L’érosion des libertés, la crispation politique, la demande de garanties minimales de transparence sont les signes d’un climat de suspicion, qu’aucun slogan ne peut guérir. 4. Une opportunité historique de thérapie collective Si le Dialogue est conduit avec sincérité, dans l’écoute et l’équité, il peut devenir le cœur battant d’une refondation nationale. Une démarche de vérité partagée. Une réconciliation lucide. Une boussole pour bâtir un nouveau pacte social basé sur la dignité, la justice et la solidarité. Ce Dialogue national, dans sa forme et son fond, agit comme un acte clinique de la nation : il expose les blessures, invite à les comprendre, et propose de les soigner ensemble. Il ne s’agira pas de sauver le système, mais de réinventer le vivre-ensemble sénégalais, à hauteur d’homme et à la mesure des défis du siècle.

Alioune NDIAYE Écrivain
5/25/2025, 11:19:52 AM
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Alioune NDIAYE Écrivain
5/20/2025, 5:46:12 AM

Les chroniques de la participation citoyenne (141) L’Écrivain Nouveau : Porte-voix de la Transformation Sénégalaise Par Alioune Ndiaye, expert en développement international Le Sénégal est à la croisée des chemins. Une jeunesse en quête de sens, des citoyens de plus en plus exigeants, des institutions appelées à se réinventer… Dans cette mutation profonde, une figure se dresse : celle de l’écrivain nouveau, non plus reclus dans sa tour d’ivoire, mais debout, engagé, enraciné, éclairant. Loin d’être un simple conteur d’histoires, l’écrivain du XXIe siècle est un acteur stratégique du changement. Il prend la plume non pas pour fuir le réel, mais pour le transfigurer. À travers ses mots, il secoue les consciences, défie l’inertie, et propose une vision alternative de notre devenir collectif. *Écrire pour éveiller* : la plume comme projecteur de vérité Dans un pays où l’information est souvent biaisée ou instrumentalisée, l’écrivain s’érige en veilleur lucide. Il scrute les inégalités, dénonce les abus, et rend visibles les invisibles : talibés abandonnés, femmes rurales sacrifiées, jeunes désorientés, travailleurs marginalisés. Son œuvre devient une lumière dans les zones d’ombre, un acte de résistance face au mensonge organisé. *Écrire pour bâtir* : un levier pour la citoyenneté active L’écrivain n’est plus seulement un critique. Il est pédagogue de l’espoir. Il éclaire la voie de la citoyenneté, vulgarise les lois, valorise les savoirs endogènes, encourage l’esprit critique et l’engagement civique. Il parle au peuple dans une langue qui touche, qui éveille, qui rassemble. Chaque livre, chaque article, chaque poème devient un outil de formation populaire, une pierre posée sur l’édifice d’un Sénégal souverain, inclusif et durable. *Écrire pour inspirer :* une parole visionnaire Plus que jamais, le pays a besoin de voix qui rêvent haut et fort. L’écrivain devient prophète de possibles, en imaginant un avenir qui dépasse les clivages politiques ou les pesanteurs sociales. Il appelle à une transformation holistique : du système éducatif au modèle économique, des mentalités à la gouvernance. Il ne promet pas l’utopie, mais trace les sentiers d’un progrès ancré dans notre dignité. Une posture nouvelle : présence, action, solidarité L’écrivain nouveau ne se contente pas de publier. Il s’engage sur le terrain. Il parle dans les écoles, les prisons, les quartiers. Il co-construit avec les jeunes, les femmes, les exclus. Il fait corps avec son peuple. En ce sens, il ne fuit pas la réalité, il l’embrasse. Il ne juge pas d’en haut, il agit d’en bas. Il allie le verbe à l’action, le cri à la construction, la critique à la solution. La responsabilité d’une voix libre Dans un Sénégal en quête de renouveau, l’écrivain n’est plus un témoin passif. Il est un acteur essentiel de la refondation nationale. Son rôle est vital : dire l’indicible, élever le débat, relier les cœurs, éveiller les esprits. Il ne cherche ni la gloire ni le consensus. Il cherche la vérité. Et dans cette quête, il devient plus qu’un écrivain : il devient un artisan de la transformation.

Alioune NDIAYE Écrivain
5/19/2025, 7:34:18 AM

Les chroniques de la participation citoyenne (153) Le Dialogue national : Symptôme, Diagnostic et Thérapie d’un Sénégal en quête de refondation Le Dialogue national prévu le 28 mai 2025 sous l’impulsion du président Bassirou Diomaye Faye n’est pas un simple rendez-vous politique. Il constitue une radiographie des tensions et aspirations profondes de la société sénégalaise, révélant les lignes de fracture autant que les germes d’un renouveau. À ce titre, il offre une lecture précieuse de l’étiologie politique, sociale et institutionnelle du pays. 1. Un symptôme de crise systémique La seule nécessité d’un dialogue national montre que le Sénégal traverse une crise de confiance entre gouvernants et gouvernés, entre majorité et opposition, entre promesses démocratiques et réalités vécues. Cette initiative est le signe manifeste d’un système en recherche de respiration, pris en étau entre lassitude citoyenne et espoirs de rupture. 2. Un diagnostic collectif des urgences nationales Les formations qui y adhèrent posent des exigences claires : aborder la dette, l’injustice fiscale, la précarité, l’exclusion de la diaspora, l’emploi des jeunes. Autant de sujets qui dépassent les joutes partisanes pour révéler une aspiration à une démocratie utile, au service des urgences concrètes. Le Dialogue devient ainsi un scanner du réel, loin des discours creux. 3. Un révélateur de fractures Les réserves de certains partis politiques (UDS/A, PIT) révèlent une autre vérité : le mal démocratique sénégalais est aussi institutionnel et moral. L’érosion des libertés, la crispation politique, la demande de garanties minimales de transparence sont les signes d’un climat de suspicion, qu’aucun slogan ne peut guérir. 4. Une opportunité historique de thérapie collective Si le Dialogue est conduit avec sincérité, dans l’écoute et l’équité, il peut devenir le cœur battant d’une refondation nationale. Une démarche de vérité partagée. Une réconciliation lucide. Une boussole pour bâtir un nouveau pacte social basé sur la dignité, la justice et la solidarité. Ce Dialogue national, dans sa forme et son fond, agit comme un acte clinique de la nation : il expose les blessures, invite à les comprendre, et propose de les soigner ensemble. Il ne s’agira pas de sauver le système, mais de réinventer le vivre-ensemble sénégalais, à hauteur d’homme et à la mesure des défis du siècle.

Alioune NDIAYE Écrivain
5/21/2025, 6:42:25 AM

Les chroniques de la participation citoyenne ( 157) L’Afrique en Marche : Quand la Jeunesse Prend le Commandement de l’Histoire L’heure n’est plus à la plainte. Elle est à l’action. Une génération nouvelle prend les rênes. Décomplexée, formée, connectée et résolue. Cette jeunesse africaine ne se contente plus de dénoncer l’injustice : elle décide. Elle pose les fondations d’une souveraineté réelle, brise les chaînes du néocolonialisme et remet l’Afrique au centre du jeu mondial. Une rupture historique portée par des leaders de vérité À Dakar, à Ouagadougou, à Bamako, un signal fort est lancé : l’Afrique n’est plus à vendre. Des figures comme Diomaye Faye, Ousmane Sonko, Ibrahim Traoré incarnent une volonté de transformation radicale. Ce ne sont pas des hommes de compromis, ce sont des hommes de conviction. Le programme « Sénégal 2050 » symbolise cette ambition : rompre avec les dépendances, restaurer la dignité nationale, bâtir une économie souveraine et orientée vers le peuple. Alioune Ndiaye Expert en développement international Écrivain Militant de la Transformation Nationale

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Alioune NDIAYE Écrivain
6/5/2025, 6:36:57 PM

Une candidature à l’ONU doit susciter le débat, non l’anathème Par Alioune Ndiaye, Expert en développement international La récente tribune de M. Mouhammad Cissé, intitulée « Candidature de Macky Sall à la tête de l’ONU : un sacrilège pour la conscience universelle », appelle une réponse. Non pas pour défendre ou rejeter la potentielle candidature de l’ancien président sénégalais, mais pour rétablir un cadre d’analyse plus équilibré, respectueux du pluralisme d’idées et des principes de débat démocratique. 1. Une mémoire politique à contextualiser Il est incontestable que le bilan de Macky Sall, comme tout dirigeant, appelle à être jugé par l’histoire, la justice et la mémoire collective. Les périodes de tension politique, les pertes humaines lors des manifestations et les controverses sur la gouvernance économique du pays doivent être examinées avec rigueur. Mais il est tout aussi nécessaire d’inscrire ces faits dans un contexte institutionnel, régional et mondial complexe. Réduire Macky Sall à un « bourreau de son peuple » revient à nier tout un pan de son action diplomatique, son rôle dans l’intégration africaine, sa présidence de l’Union africaine, et ses engagements sur la scène climatique et multilatérale. 2. L’ONU n’est pas un tribunal moral L’Organisation des Nations Unies est un espace politique, façonné par les équilibres géostratégiques et les compromis diplomatiques. Être Secrétaire général ne suppose pas une sainteté personnelle, mais une capacité de négociation, de médiation et de représentation des intérêts collectifs des États membres. António Guterres, Ban Ki-moon ou encore Kofi Annan ont tous exercé dans un contexte de critiques, mais leur légitimité s’est construite par leurs actions diplomatiques, pas par un passé parfait. 3. Le devoir de nuance dans le débat public Qualifier une candidature de « sacrilège » relève d’une rhétorique violente, presque religieuse, qui ferme la porte à toute réflexion contradictoire. Or, dans une démocratie, les opinions doivent s’exprimer dans la nuance, le respect et la rationalité. Le devoir de mémoire ne saurait devenir un instrument de vengeance ou d’ostracisme permanent. Interroger la pertinence d’une telle candidature est légitime. L’anéantir d’avance par le procès d’intention l’est moins. Le peuple sénégalais a déjà sanctionné ou légitimé Macky Sall dans les urnes à plusieurs reprises. La justice, si elle est saisie, peut faire son travail. La communauté internationale, elle, décidera en toute souveraineté si un tel profil mérite sa confiance. 4. Ce que nous devons à l’ONU, c’est l’exigence, pas le mépris Plutôt que de diaboliser une candidature, engageons-nous à élever le débat sur ce que nous attendons réellement du futur Secrétaire général : un réformateur audacieux ? Un médiateur neutre ? Un avocat du Sud global ? Un diplomate expérimenté ? Si Macky Sall est candidat, jugeons-le sur un programme, une vision multilatérale, une capacité à rassembler, et non sur des accusations non encore établies par une instance compétente. L’Afrique mérite d’être présente dans ces débats, mais elle mérite aussi des citoyens capables de juger avec discernement. 🖋 Alioune Ndiaye Expert en développement international, auteur de l’essai à paraître : « Les clés du pouvoir mondial : diplomatie, justice et représentations »

Alioune NDIAYE Écrivain
5/30/2025, 6:54:01 PM
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Alioune NDIAYE Écrivain
5/20/2025, 5:46:09 AM

Les chroniques de la participation citoyenne (142) Réinventer l’éducation pour ne pas disparaître : l’heure d’agir a sonné Alors que le monde avance à pas de géant, porté par l’intelligence artificielle, les technologies disruptives et une économie du savoir en perpétuelle mutation, le retard de nos systèmes éducatifs devient un fardeau insupportable. Le diagnostic est sans appel : si nous ne réagissons pas maintenant, nous serons phagocytés, relégués à la périphérie d’un monde qui n’attend personne. L’urgence est là, criante. Il ne s’agit plus de réformer à la marge, mais de réinventer en profondeur. Trois axes majeurs doivent guider cette transformation : 1. Refondre les programmes et les arrimer aux réalités contemporaines Nos curricula sont trop souvent figés, hérités d’un autre siècle, incapables de préparer nos enfants aux défis actuels. Il faut les déconstruire pour mieux les reconstruire, à partir des besoins des populations, des exigences du marché du travail et des ambitions de développement durable. 2. Former des esprits agiles et lucides L’école doit cesser de formater pour commencer à libérer. Il faut préparer des citoyens capables de comprendre, d’anticiper et d’agir dans un monde complexe : des jeunes ouverts à l’innovation, à l’entrepreneuriat, à la science, mais aussi enracinés dans leurs cultures et conscients de leurs responsabilités. 3. Cultiver un patriotisme éclairé et une ouverture stratégique Ce n’est pas un repli identitaire que nous prônons, mais une fierté assumée. Il faut éduquer à l’amour de la patrie tout en préparant à la coopération internationale. Le patriotisme farouche n’exclut pas l’intelligence du dialogue avec le monde. Ce projet est ambitieux, mais il est à notre portée. Nous disposons d’experts compétents, d’enseignants engagés, de jeunes talents brillants. Ce qu’il nous faut, c’est une volonté politique claire, résolue, audacieuse. L’éducation n’est pas un luxe. C’est notre seul passeport pour l’avenir. À nous de choisir : subir ou bâtir. Alioune Ndiaye Expert en développement international Écrivain Militant de la transformation nationale

Alioune NDIAYE Écrivain
5/19/2025, 7:34:17 AM

Les chroniques de la participation citoyenne (152) L’écrivain Alioune Ndiaye : une plume engagée au service de la transformation systémique du Sénégal Dans le tumulte de la société sénégalaise contemporaine, où les défis se multiplient et les repères vacillent, Alioune Ndiaye s’impose comme une voix rare, lucide et résolument tournée vers l’action. Plus qu’un écrivain, il est un éclaireur engagé, un penseur du réel, un stratège du changement qui mobilise sa plume comme une arme de reconstruction nationale. À travers une œuvre aussi foisonnante qu’exigeante – plus de cinquante ouvrages publiés sur Amazon –, il explore les chemins de l’éducation, de la formation professionnelle, de la justice sociale et de la souveraineté intellectuelle. Son credo : écrire pour transformer, non pour séduire. Penser pour agir, non pour distraire. Une trajectoire nourrie par l’engagement et l’expertise Alioune Ndiaye n’est pas un écrivain de salon. Il est un homme d’action, de terrain, de convictions forgées par l’expérience. Formé en développement international à Séoul, ancien élève de prestigieux intellectuels comme Souleymane Bachir Diagne, il a travaillé au cœur des politiques publiques, notamment à la tête de la cellule d’évaluation du ministère sénégalais de la formation professionnelle. Cette double légitimité – académique et institutionnelle – donne à ses écrits une densité rare, alliant rigueur analytique, vision stratégique et appel à la mobilisation citoyenne. Un combat pour la dignité humaine par l’éducation Au centre de sa pensée se trouve une idée force : la transformation systémique du Sénégal passe par l’investissement massif dans le capital humain, notamment dans les mille premiers jours de vie, l’alphabétisation des masses, et l’orientation vers une formation technique et professionnelle ancrée dans les réalités locales. Loin des slogans, Alioune Ndiaye propose des plans d’action, des dispositifs législatifs concrets, des modèles d’évaluation participative, et une refonte de l’école pour en faire un levier de justice sociale et de compétitivité. Une critique sans complaisance des modèles dominants L’auteur ne se contente pas d’analyser ou de décrire. Il interroge, dérange, remet en cause les modèles importés et les dogmes technocratiques. Il dénonce les formes de dépendance cognitive, les politiques dictées par l’extérieur, et appelle à une souveraineté intellectuelle, politique et économique réellement assumée. Mais cette critique n’est jamais nihiliste : elle est constructive, étayée, orientée vers la refondation des institutions et l’émergence d’une citoyenneté active. Une parole libre, ancrée dans le réel Dans un contexte où la parole publique est souvent aseptisée ou opportuniste, Alioune Ndiaye se distingue par sa liberté de ton, son audace intellectuelle et sa cohérence morale. Ni opposant systématique ni thuriféraire des pouvoirs en place, il assume une position de veilleur citoyen, toujours prêt à collaborer avec ceux qui partagent son idéal de transformation. Il ne se réclame d’aucune chapelle partisane, mais agit en patriote radical, au service de la justice, de l’équité et de la vérité. Vers une révolution éthique et participative Au-delà des politiques publiques, l’écrivain appelle à une révolution éthique : réconcilier l’élite et le peuple, valoriser l’intégrité, restaurer la confiance dans les institutions, promouvoir la vérité dans l’action publique. Il milite pour une démocratie participative, où chaque citoyen est acteur et non spectateur de la transformation. Dans ses dernières publications, il propose la création de fondations éducatives, d’observatoires citoyens, et de pôles d’innovation sociale, afin de rendre durable le changement. Une œuvre au service de l’avenir Alioune Ndiaye est de ces intellectuels rares qui refusent la résignation, qui préfèrent la complexité du réel au confort des idées reçues. Sa plume est celle de la conscience éveillée, de l’action réfléchie, du patriotisme éclairé. Il nous rappelle que l’écriture n’est pas un luxe, mais un acte de responsabilité envers les générations futures. Dans un Sénégal en quête de repères, sa voix compte. Elle dérange parfois, inspire souvent, mais toujours pousse à penser autrement et à agir mieux. Car au fond, c’est cela qu’il nous enseigne : la transformation ne se décrète pas, elle s’écrit, se construit, se vit. Alioune Ndiaye Expert en développement international Écrivain Militant de la Transformation Nationale

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