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Cette chaĂźne est sur un but unique celui d'ĂȘtre cultiver sur le plan juridique

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5/31/2025, 9:39:42 PM
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5/31/2025, 9:39:43 PM
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5/24/2025, 7:35:48 PM

L’article 122-1 du Code pĂ©nal dispose que “n’est pas pĂ©nalement responsable la personne qui Ă©tait atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrĂŽle de ses actes“. Cela signifie qu’il n’est pas possible de retenir la responsabilitĂ© pĂ©nale de la personne qui, au moment des faits, a subi un trouble psychique ou neuropsychique qui a supprimĂ© intĂ©gralement son discernement. L’abolition du discernement doit ĂȘtre prouvĂ© par la personne qui l’invoque. Cela peut notamment rĂ©sulter d’expertises mĂ©dicales, psychologiques ou psychiatriques. Si le trouble psychique ou neuropsychique n’a fait qu’altĂ©rer le discernement de l’auteur de l’infraction ou entraver ses actes alors il sera possible de retenir sa responsabilitĂ© pĂ©nale. La juridiction en tiendra toutefois compte dans le prononcĂ© de la peine. L’article 122-1-1 du Code pĂ©nal prĂ©voit qu’il n’y pas d’irresponsabilitĂ© pĂ©nale “si l’abolition temporaire du discernement de la personne ou du contrĂŽle de ses actes au moment de la commission d’un crime ou d’un dĂ©lit rĂ©sulte de ce que, dans un temps trĂšs voisin de l’action, la personne a volontairement consommĂ© des substances psychoactives dans le dessein de commettre l’infraction ou une infraction de mĂȘme nature ou d’en faciliter la commission“. Engage donc sa responsabilitĂ© pĂ©nale celui qui consomme des produits stupĂ©fiants juste avant de commettre une infraction, et ceci dans le but de se motiver Ă  commettre ladite infraction, Contrainte : L’article 122-2 du Code pĂ©nal dispose que “n’est pas pĂ©nalement responsable la personne qui a agi sous l’empire d’une force ou d’une contrainte Ă  laquelle elle n’a pu rĂ©sister“. La personne ne doit pas avoir Ă©tĂ© en mesure de rĂ©sister Ă  la contrainte. Cela signifie donc que la contrainte doit avoir les caractĂ©ristiques de la force majeure : irrĂ©sistibilitĂ©, extĂ©rioritĂ© et imprĂ©visibilitĂ©. La contrainte doit ĂȘtre prouvĂ©e par celui qui l’invoque.

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5/31/2025, 9:39:40 PM

Accepter une succession : une dĂ©cision Ă  ne pas prendre Ă  la lĂ©gĂšre Lorsqu’une personne dĂ©cĂšde, ses biens — mais aussi ses dettes — sont transmis Ă  ses hĂ©ritiers. On parle alors de succession. Beaucoup pensent que l’hĂ©ritage ne concerne que les choses positives : maisons, terrains, argent... Mais c’est une erreur ! En droit, accepter une succession, c’est accepter l’ensemble du patrimoine du dĂ©funt, qu’il soit positif (actif) ou nĂ©gatif (passif). Autrement dit, si le dĂ©funt devait de l’argent (emprunt bancaire, dettes fiscales, etc.), les hĂ©ritiers seront tenus de rembourser ces dettes sur leurs propres biens, s’ils acceptent la succession purement et simplement. C’est pourquoi il est essentiel de bien Ă©valuer la situation financiĂšre du dĂ©funt avant de prendre une dĂ©cision. Heureusement, le droit prĂ©voit plusieurs options : Accepter purement et simplement la succession (tout accepter, y compris les dettes). Accepter Ă  concurrence de l’actif net (on paie les dettes uniquement Ă  hauteur de ce que le dĂ©funt possĂ©dait). Refuser la succession (on n’hĂ©rite ni des biens, ni des dettes). 👉 Conclusion : HĂ©riter, c’est parfois hĂ©riter de problĂšmes. Il faut donc rĂ©flĂ©chir, se renseigner, et si besoin, demander conseil Ă  un notaire avant d’accepter une succession.

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5/28/2025, 1:16:23 PM

Un secret d'État est une information ou un fait dont la divulgation est considĂ©rĂ©e comme susceptible de porter gravement atteinte Ă  la sĂ©curitĂ© nationale ou aux intĂ©rĂȘts fondamentaux d'un pays. Il est donc protĂ©gĂ© par la loi et rĂ©servĂ© Ă  certaines autoritĂ©s habilitĂ©es. Exemples de secrets d'État : Les plans militaires stratĂ©giques. Les activitĂ©s de renseignement. Les nĂ©gociations diplomatiques sensibles. Les mesures de sĂ©curitĂ© nationale (ex : lutte antiterroriste). En droit : La divulgation d’un secret d’État par une personne non autorisĂ©e peut entraĂźner des sanctions pĂ©nales trĂšs lourdes (prison, amende). Les journalistes ou fonctionnaires peuvent ĂȘtre poursuivis s’ils rĂ©vĂšlent ce type d’information sans autorisation. Imaginons qu’un haut responsable bĂ©ninois rĂ©vĂšle Ă  la presse que l’État a mis sur Ă©coute des personnalitĂ©s politiques dans le cadre d'une enquĂȘte sur un complot. Si ces Ă©coutes sont classĂ©es secret dĂ©fense, leur divulgation constitue une violation du secret d’État, car cela pourrait compromettre : La sĂ©curitĂ© des institutions, La discrĂ©tion des opĂ©rations de renseignement, Et crĂ©er une crise politique ou diplomatique. Dans ce cas, le fonctionnaire ou le journaliste ayant rĂ©vĂ©lĂ© l'information pourrait ĂȘtre poursuivi.

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5/24/2025, 7:33:02 PM

Lorsqu’une personne est arrĂȘtĂ©e par les forces de l’ordre, elle est gĂ©nĂ©ralement menottĂ©e pour des raisons de sĂ©curitĂ©. Cependant, il est souvent remarquĂ© que certaines personnes sont menottĂ©es Ă  l’arriĂšre, tandis que d’autres le sont Ă  l’avant. Cette diffĂ©rence n’est pas due au hasard, mais elle rĂ©pond Ă  des rĂšgles de sĂ©curitĂ©, Ă  la situation spĂ©cifique de l’arrestĂ©, et Ă  l’apprĂ©ciation des agents de police. Voici les raisons principales de cette distinction : 1. Le menottage Ă  l’arriĂšre : la norme en matiĂšre de sĂ©curitĂ© Dans la majoritĂ© des cas, les personnes interpellĂ©es sont menottĂ©es les mains dans le dos. C’est la mĂ©thode standard pour plusieurs raisons : Elle limite la libertĂ© de mouvement, rendant plus difficile toute tentative de fuite ou d’agression contre les policiers. Elle empĂȘche d’atteindre facilement des objets dangereux ou des preuves, dissimulĂ©s par exemple dans les poches. Elle est jugĂ©e plus sĂ©curisante pour les agents comme pour le suspect. Ce type de menottage est donc prioritairement utilisĂ© pour les personnes jugĂ©es potentiellement dangereuses, agressives, ou non coopĂ©ratives. 2. Le menottage Ă  l’avant : une exception adaptĂ©e Ă  certaines situations Dans certains cas, les policiers peuvent choisir de menotter une personne les mains Ă  l’avant. Cette exception est envisagĂ©e lorsqu’une des conditions suivantes est remplie : ProblĂšmes mĂ©dicaux ou physiques : si le suspect souffre de douleurs, de blessures, ou a des limitations physiques, le menottage Ă  l’arriĂšre pourrait aggraver son Ă©tat. VulnĂ©rabilitĂ© particuliĂšre : cela concerne les personnes ĂągĂ©es, femmes enceintes, ou encore des personnes visiblement fragiles ou malades. Comportement coopĂ©ratif : si l’individu se montre calme, respectueux et ne prĂ©sente pas de menace particuliĂšre, les agents peuvent juger qu’un menottage Ă  l’avant est suffisant. En milieu sĂ©curisĂ© : lorsque l’individu est dĂ©jĂ  placĂ© dans un lieu ou un vĂ©hicule sĂ©curisĂ©, les menottes Ă  l’avant peuvent ĂȘtre autorisĂ©es pour des raisons de confort. 3. Un choix laissĂ© Ă  l’apprĂ©ciation des forces de l’ordre Il faut noter que le choix entre les deux types de menottage est souvent laissĂ© Ă  l’apprĂ©ciation des agents en fonction du contexte : le lieu de l’arrestation, le comportement de la personne, les risques potentiels, etc.

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5/20/2025, 8:42:09 PM

[16/05 Ă  20:34] +229 69 28 52 32: L’erreur de droit : dĂ©finition et rĂ©gime juridique DĂ©finition : L’erreur de droit est une apprĂ©ciation erronĂ©e d’une rĂšgle de droit conduisant un individu Ă  croire, Ă  tort, qu’il pouvait lĂ©gitimement accomplir un acte. Lorsqu’elle est prouvĂ©e, l’erreur de droit constitue une cause d’irresponsabilitĂ© pĂ©nale en vertu de l’article 122-3 du Code pĂ©nal. Les conditions de l’erreur de droit Pour que l’erreur de droit soit retenue, plusieurs conditions doivent ĂȘtre rĂ©unies : 1. L’erreur doit porter sur une rĂšgle de droit : Elle concerne la mĂ©connaissance de l’existence, de l’interprĂ©tation ou de la portĂ©e d’une rĂšgle juridique. Il ne s’agit donc pas d’une erreur sur les faits, mais bien sur le droit applicable. 2. L’erreur doit ĂȘtre insurmontable : Elle ne doit pas avoir pu ĂȘtre Ă©vitĂ©e par une personne raisonnable, mĂȘme en faisant preuve de diligence. Cela est souvent admis lorsque l’autoritĂ© compĂ©tente fournit une information erronĂ©e (ex. : Cour de cassation, crim., 11 mai 2006, n°05-87.099). 3. L’auteur doit avoir cru lĂ©gitimement en la lĂ©galitĂ© de son acte : L’individu ne doit pas avoir doutĂ© de la lĂ©gitimitĂ© de son action. Il doit prouver qu’il a tout mis en Ɠuvre pour s’assurer de la conformitĂ© de son comportement Ă  la loi (ex. : Cass. crim., 13 mai 2003, n°02-84.028). 4. Elle ne s’applique qu’aux infractions intentionnelles : En cas d’infraction non intentionnelle, l’auteur reste responsable, mĂȘme en cas d’erreur de droit. Les effets de l’erreur de droit Au pĂ©nal : L’erreur de droit constitue une cause subjective d’irresponsabilitĂ© pĂ©nale. Elle ne profite qu’à la personne qui l’invoque et ne s’étend ni aux coauteurs ni aux complices. Dans certains cas, elle peut s’appliquer aux personnes morales si l’erreur est reconnue chez leurs reprĂ©sentants lĂ©gaux. Au civil : L’erreur de droit n’a aucun effet. La rĂšgle Nul n’est censĂ© ignorer la loi y demeure pleinement applicable. Ainsi, mĂȘme si une personne est pĂ©nalement irresponsable pour cause d’erreur de droit, elle pourra toujours ĂȘtre tenue civilement responsable et devoir rĂ©parer le prĂ©judice causĂ©. [17/05 Ă  20:28] +229 69 28 52 32: Culture juridique et cinĂ©ma Ce soir, parlons d'une sĂ©rie culte : SUITS. C’est une sĂ©rie amĂ©ricaine qui nous plonge dans l’univers des avocats d’affaires Ă  New York. On y suit Harvey Specter, un avocat brillant et charismatique, qui embauche Mike Ross, un jeune homme surdoué  mais qui n’a jamais fait d’études de droit ! À travers leurs aventures, la sĂ©rie met en lumiĂšre : La stratĂ©gie juridique, La nĂ©gociation, Les jeux de pouvoir dans un cabinet d’avocats, Et les dilemmes Ă©thiques que rencontrent souvent les juristes. Pourquoi regarder Suits quand on est Ă©tudiant en droit ? Pour enrichir ta culture juridique dans un format divertissant, Pour apprendre Ă  mieux argumenter et nĂ©gocier, Pour t’inspirer de personnages comme Harvey, Jessica ou Louis, Et aussi pour mieux comprendre le fonctionnement des grands cabinets. Petit bĂ©mol : la sĂ©rie est basĂ©e sur le systĂšme amĂ©ricain (common law), donc certaines pratiques sont diffĂ©rentes de celles du droit bĂ©ninois (civil law). Mais c’est un excellent complĂ©ment pour stimuler ta passion pour le droit. Qui ici a dĂ©jĂ  regardĂ© Suits ? Quel personnage vous inspire le plus ? Partagez vos avis ! [18/05 Ă  20:34] +229 69 28 52 32: PROCÈS HISTORIQUE Édition #1 : Le Rivonia Trial – Nelson Mandela face Ă  l’Apartheid Contexte : Nous sommes en Afrique du Sud, dans les annĂ©es 1960. Le rĂ©gime d’apartheid impose une sĂ©grĂ©gation raciale violente. Les Noirs sont privĂ©s de droits fondamentaux : pas de droit de vote, pas d’égalitĂ©, pas de libertĂ© de mouvement. Nelson Mandela, avocat et militant du CongrĂšs National Africain (ANC), passe Ă  la lutte clandestine avec le groupe Umkhonto we Sizwe (La lance de la nation). Il est arrĂȘtĂ© en 1962, puis en 1963, lors d’un raid dans une ferme nommĂ©e Rivonia, la police dĂ©couvre des documents prouvant des actes de sabotage contre le gouvernement. Le procĂšs (1963-1964) Mandela et ses coaccusĂ©s sont poursuivis pour : Sabotage, Tentative de renversement de l’État, Complot contre le gouvernement. Ils risquent la peine de mort. Mais au lieu de nier, Mandela plaide coupable du sabotage — tout en justifiant ses actes comme une rĂ©ponse lĂ©gitime Ă  l’oppression. Il prononce un discours historique de prĂšs de 4 heures, dans lequel il dit notamment : > « J’ai combattu la domination blanche et j’ai combattu la domination noire. J’ai chĂ©ri l’idĂ©al d’une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique et libre dans laquelle toutes les personnes vivraient ensemble en harmonie et avec des chances Ă©gales. C’est un idĂ©al pour lequel je suis prĂȘt Ă  mourir. » DĂ©cision finale : Mandela est condamnĂ© Ă  la rĂ©clusion Ă  perpĂ©tuitĂ© au lieu de la peine de mort. Il passera 27 ans en prison, avant d’ĂȘtre libĂ©rĂ© en 1990, puis Ă©lu prĂ©sident de l’Afrique du Sud en 1994. Enjeux juridiques majeurs : La lĂ©galitĂ© contre la lĂ©gitimitĂ© : quand la loi dĂ©fend l’injustice, que faire ? Le droit Ă  la dĂ©fense dans un rĂ©gime autoritaire Le procĂšs politique : instrument de justice ou d’oppression ? [18/05 Ă  20:44] +229 69 28 52 32: https://youtu.be/WzPjeLQwEc4?si=FE2gyeKsM4_DlR7Y Cliquez sur ce lien pour suivre le film [19/05 Ă  20:31] +229 69 28 52 32: Le droit Ă  l’image est le droit de toute personne physique Ă  disposer de son image entendue comme l’ensemble des caractĂ©ristiques visibles d’un individu permettant son identification. Le fondement juridique de ce droit est le droit au respect de la vie privĂ©e. Sur internet, la diffusion, la publication et l’exposition de photographies et vidĂ©os sont limitĂ©es par le droit Ă  l’image, consacrĂ© aussi bien au niveau interne qu’europĂ©en. L’article 9 du Code civil dispose que « Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e », alors que l’article 8.1 de la Convention de sauvegarde des Droits de l’Homme et des LibertĂ©s fondamentales dĂ©clare que « Toute personne a droit au respect de sa vie privĂ©e et familiale, de son domicile et de sa correspondance ». Le droit Ă  l’image, en tant qu’attribut de la personnalitĂ©, fait partie de la vie privĂ©e. Toute atteinte au droit Ă  l’image constitue de ce fait une violation de la vie privĂ©e. Le droit Ă  l’image est applicable quel que soit le mode de diffusion de la photographie ou de la sĂ©quence vidĂ©o. Ainsi, toute personne dont la vie privĂ©e/intime est exposĂ©e sur Internet, notamment par un tiers sans le consentement de l’intĂ©ressĂ©, pourra obtenir rĂ©paration du prĂ©judice subi par des dommages et intĂ©rĂȘts et/ou demander le retrait immĂ©diat du contenu litigieux diffusĂ©. L’infraction existe dĂšs que les Ă©lĂ©ments relevant de la sphĂšre privĂ©e sont diffusĂ©s Ă  un public autre que son destinataire initial et exclusif. À titre d’exemple d’atteintes au droit Ă  l’image, on peut citer les photos prises dans le cadre de la vie privĂ©e, une image caricaturale, une image dĂ©valorisante (photo embarrassante, etc..), une image inexacte ou trompeuse (montage pour faire croire quelque chose). L’article 514 du Code du NumĂ©rique en RĂ©publique du BĂ©nin interdit la captation, l’enregistrement et la diffusion d’images ou de paroles d’une personne sans son autorisation. Une infraction peut entraĂźner jusqu’à 5 ans de prison et 10 millions de francs CFA d’amende.

Culture Juridique
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5/20/2025, 8:40:36 PM

Le droit des affaires regroupe les textes lĂ©gaux qui s'appliquent aux entreprises. A titre d'exemple, il peut concerner des litiges concernant un contrat commercial ou la propriĂ©tĂ© intellectuelle. Sans autre prĂ©cision, on considĂšre le terme "droit des affaires" comme une branche du droit privĂ©. NĂ©anmoins, le droit des affaires peut Ă©galement ĂȘtre rattachĂ© au droit public, on parle alors de droit public des affaires. Que comprend le droit des affaires ? Plusieurs branches du droit constituent le droit des affaires. Droit commercial : il rĂ©git les actes de commerce et les relations entre entreprises et consommateurs. Droit des sociĂ©tĂ©s : il concerne la vie des sociĂ©tĂ©s, de leur constitution Ă  leur cessation. Droit de la distribution : il s'intĂ©resse aux rĂšgles concernant la distribution d'un produit ou d'un service. Droit de la propriĂ©tĂ© intellectuelle : il inclut le droit d'auteur, des marques et des brevets. Droit fiscal : il s'intĂ©resse aux impĂŽts des sociĂ©tĂ©s, aux taxes et aux cotisations sociales. Droit de la concurrence : il traite de problĂ©matiques comme la concurrence dĂ©loyale, l'entente illicite entre industriels ou encore l'abus de position dominantePlusieurs branches du droit constituent le droit des affaires. Droit commercial : il rĂ©git les actes de commerce et les relations entre entreprises et consommateurs. Droit des sociĂ©tĂ©s : il concerne la vie des sociĂ©tĂ©s, de leur constitution Ă  leur cessation. Droit de la distribution : il s'intĂ©resse aux rĂšgles concernant la distribution d'un produit ou d'un service. Droit de la propriĂ©tĂ© intellectuelle : il inclut le droit d'auteur, des marques et des brevets. Droit fiscal : il s'intĂ©resse aux impĂŽts des sociĂ©tĂ©s, aux taxes et aux cotisations sociales. Droit de la concurrence : il traite de problĂ©matiques comme la concurrence dĂ©loyale, l'entente illicite entre industriels ou encore l'abus de position dominante.

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5/22/2025, 1:03:45 AM

Article 226-4 du Code PĂ©nal bĂ©ninois dispose : L'introduction ou le maintien dans le domicile d'autrui Ă  l'aide de manƓuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas oĂč la loi le permet, est puni d'un an d'emprisonnement et d'une amende. La violation de domicile ne peut ĂȘtre lĂ©gitime que si l'occupant lĂ©gitime du domicile a donnĂ© son consentement ou si la loi le permet (par exemple, dans le cadre d'une enquĂȘte policiĂšre avec mandat). Sanctions pĂ©nales: *Emprisonnement : Une peine d'emprisonnement d'au moins un an. *Amende : Une amende dont le montant peut varier selon la gravitĂ© des faits Exceptions lĂ©gitimes: Certaines intrusions dans le domicile peuvent ĂȘtre lĂ©gitimes, notamment dans le cadre d'une enquĂȘte judiciaire, si l'opĂ©ration est autorisĂ©e par un mandat judiciaire, ou en cas d'urgence ProcĂ©dure en cas de violation de domicile: *Plainte : En cas de violation de domicile, la personne peut porter plainte auprĂšs du commissariat de police ou de la gendarmerie la plus proche. *EnquĂȘte : La police ou la gendarmerie ouvre une enquĂȘte pour dĂ©terminer les faits et identifier l'auteur de l'infraction. *Instruction et jugement : Si l'auteur est identifiĂ© et que l'enquĂȘte Ă©tablit la violation de domicile, le dossier est transmis au procureur de la RĂ©publique qui peut dĂ©cider d'ouvrir des poursuites judiciaires.

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5/29/2025, 1:53:54 AM

Espionner la vie privĂ©e d’autrui Ă  des fins malsaines est un acte punissable par la loi. Ce comportement est sanctionnĂ© par l’article 226-1 du Code pĂ©nal, qui protĂšge les droits individuels et la confidentialitĂ©. La loi souligne qu’une personne commet un acte d’espionnage si elle porte atteinte Ă  l’intimitĂ© de la vie privĂ©e d’autrui. De ce fait, jeter un Ɠil dans le tĂ©lĂ©phone d’une personne sans sa permission et utiliser une camĂ©ra cachĂ©e constituent dĂ©jĂ  des actes d’espionnage en soi. Du fait de l’évolution technologique, l’espionnage se pratique actuellement Ă  l’échelle mondiale. En effet, il est de plus en plus simple d’accĂ©der aux informations personnelles d’une personne grĂące Ă  Internet et Ă  divers logiciels espions. Ainsi, il est possible qu’une personne malintentionnĂ©e obtienne vos mots de passe et vos codes d’accĂšs personnels (tĂ©lĂ©phone, comptes de rĂ©seaux sociaux, etc.). Le cas Ă©chĂ©ant, elle risque de vous harceler ou de vous menacer via des messages, des appels ou d’autres moyens de communication. Certains espions vont mĂȘme jusqu’à affecter financiĂšrement la victime en faisant de fausses dĂ©clarations administratives ou financiĂšres.

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